31 Août 2024
Inscription des kayakistes à 7h00 sur la plage de Ploemeur, puis des nageurs.
Départ 8h20, en kayak pour Port Tudy, Île de Groix.
6 km 800. Petite houle de 20cm, léger courant de travers. Temps nuageux. Suivi des nageurs en navettes bateaux. Regroupement sur le port des 140 kayakistes, et des 140 nageurs, des bénévoles.
Briefing des organisateurs, puis départ des binômes. Suivi de David le nageur, avec Philippe accompagnateur sécurité pour une traversée de 2h40. La houle passe à 30cm, avec des vagues plus longues, toujours de travers. La traversée se passe bien, mais reste sportive pour les nageurs, par ces conditions.
Arrivée sur la plage du Petit Pérello, applaudissements pour les nageurs, suivi du binôme.
Très belle organisation du Rotary Lorient Porte des Indes. Il apporte son soutien aux personnes autiste du pays de Lorient, à travers les promesses de dons des entreprises.
Philippe
5 participants, 2 €.
Sortie très classique avec embarquement au parking du stade rennais, remontée de la Vilaine jusqu’à Robidou et de l’Ille jusqu’au Bourg l’évêque.
RAS si ce n’est un martin pêcheur qui nous a accompagné sur notre parcours sur l’'Ille et qui n’était pas avare de nous montrer ses plumes.
Patrick
Nous étions 6 à vouloir profiter de cette super météo pour aller au cap Frehel. Mais il semblerait que la terre entière : du p’tit jeune en conduite accompagnée, en passant par les triathlètes de St Luuu, jusqu’au teuton en énorme camping car, s’était liguée pour nous faire rater la marée.
Et ils ont réussi car quand nous avons passé la pointe du Fort la latte, la renverse était faite et nous avons dû composer avec le courant contraire jusqu’au cap. Cela ne nous a pas empêché de parvenir à notre objectif: les grottes de la pointe du Jas.
La houle était minime et le niveau d’eau correct, nous avons pu les parcourir dans les deux sens sans problème. Nous avions bien mérité le pique nique sur une plage découverte à marée basse, l’occasion de rappeler les fondamentaux de l’arrivée de plage: to surf ou no to surf, that is the question.
Le pique nique avalé nous rentrons avec un nouveau passage par les grottes pour ceux qui n’ont pas peur de rayer le gelcoat de leur polyéthylène.
Cette fois-ci le courant nous pousse. Comme les torda ont déserté la cathédrale, nous pouvons la contourner avec une gêne minimale: quelques cormorans juvéniles qui n’ont pas encore compris qu’on ne voulait pas les manger.
Arrivés au Fort la latte, nous sommes confrontés au contre courant de la baie de la Fresnaie qui finit de mettre à plat les batteries. Hé les gars, faut passer au lithium ou aller chercher les contres du contre au ras des berges. Il faut encore remonter les kayaks en haut de port St Géran, charger, accrocher la remorque dans le parking très pentu. La route du retour est très calme et peu chargée jusqu’à la route de St Malo où il semble que tout l’intérieur a voulu profiter, comme nous, de ce beau dimanche et a décidé de renter à la même heure que nous. Le tuyau est trop petit et ça bouche beaucoup. Nous prenons notre mal en patience et finissons par arriver fourbus mais très contents de cette belle journée de très beau kayak.
Les stats: 6 teviens, 18 km de kayak, 221 de camion pour 17 €
Patrick
La trace GPS animée : 'TEV sortie à Frehel le 17 sept 2024' | Relive
Les photos ici : TEV-15sept2024-Frehel – Google Drive
LA CONFERENCE EMBARQUEE DE CE SAMEDI 12 OCTOBRE 2024 !!!
Bonjour à Tous,
Dans le cadre du Festival des Sciences, la Conférence Embarquée du samedi 12/10/2024 (organisée par Mr Eric Lepage) a réuni 14 participants.
Cette balade aquatique, animée par Mme Agnès Shermann (Biologiste à Rennes Beaulieu), a permis au public de découvrir le milieu aquatique de la Vilaine, en liaison avec la végétation de ses rives.
Le courant de la Vilaine étant plus puissant que les autres années, nous avons commencé par les ronces qui ont la particularité de se renouveller par marcottage :
l’aulne, le saule et leur développement par photo-synthèse :
Le peuplier qui est une variété sexuée (ou dioïque) :
Nous avons re-découvert le fusain près du pont du Petit Bras :
et pour finir le houblon près du Manoir de Tizé :
Merci à Mme Shermann qui nous fait découvrir, chaque année, le milieu naturel qui nous entoure…
Merci à Muriel, Luc, Daniel, Didier L , Didier G, Fabien et sa Collègue pour leur aide à la logistique et à la sécurité sur l’Eau …
A l’année prochaine !!! Thierry …
Nous étions 4 au départ du club et 6 à Pont Huan pour profiter de cette première Rouvre.
Après un pique-nique vite expédié car la rivière est à la baisse, nous engageons la descente en formation sécurité avec Théo en poisson pilote.
Les premiers arbres apparaissent 500 m après le premier rapide. Portage.
Nous passons Taillebois et portons un tronc un peu limite. L’entrée du second rapide est bloquée par un arbre. Nous parpinons par la gauche, ce qui est fatal à Christine.
Nous arrivons à Segrie Fontaine où l’échelle est à 132, limite basse pour descendre cette magnifique rivière.
Nous nous méfions du rapide de la passerelle disparue. Il y a un arbre à gauche mais il y a une bonne passe à droite.
En dessous les roches d’Oétre nous trouvons un arbre sur la gauche mais ça passe à droite. Le soleil est splendide et il a une pluie de feuilles mortes. Magique !
Arrivés dans le planiol de fin un petit peuplier barre la rivière. Nous le traversons couchés sur le bateau, pagaie en long.
Débarquement, goûter, et nous rentrons par Mortain et Ducey pour éviter les déviations de l’aller.
Superbe journée de kayak.
Patrick
Nous étions 5 à vouloir naviguer ce dimanche 3 Novembre.
Pour économiser du temps et améliorer notre bilan carbone, nous proposons aux fougerais (Melanie et Fabien) de nous rejoindre à Saint Briac, pendant que Emmanuel,Marco et Muriel chargent les kayaks de MER et s’en vont vers SAINT BRIAC sur MER , en face de Saint Jacut de la MER pour faire du Kayak sur la MER.
Mais Fabien et Mélanie battent de la goule et se retrouvent à Saint Briac en TERRE (près de plancoët) !!!
Fisa ils nous retrouvent à Port Hue avec un peu de retard …
Embarquement à 11h15 , Passage par les haches ,arrivée sur la plage de Saint Cast à 13h00
Pic Nic , Retour en passant par la pointe de Saint cast pour attendre la marée qui arrive comme prévue à 14h30 et le soleil qui lui n’arrive pas …
Retour à Port Hue à 15h45 après une balade de 19 kms sans voir de dauphins ni de baleines …
La bonne nouvelle était que la paillotte de PortHue était ouverte et que nos étourdis du matin ont pu solder leur compte très agréablement.
Une peite trace GPS avec qqn photos ici https://www.relive.cc/view/v1vjYXNWxJq
Conditions : Pétole, grisaille , BM 14h30, Coeff 80
Ont participés : Emmanuel, Muriel, Mélanie, Fabien, Marco
Cout : 13€ pour le Camion de Marco
MARATHON KAYAK DE L’ARDECHE 2024 ET DESCENTE DU CHASSEZAC !!!
Bonjour à Tous,
4 Teviennes et 5 Teviens s’étaient donnés RV au Club à 5 h 45, le vendredi 8/11/2024, pour participer au « 40 ième Anniversaire du Marathon Kayak sur l’'Ardèche »… Départ 6 h 00… Route sans souci jusqu’au gîte à Sampzon près de Vallon Pont d’Arc… Accueil sympathique du propriétaire qui a fait du kayak dans sa jeunesse… Le gîte est très confortable et fonctionnel…
Nous filons, avant la nuit, observer l’arrivée à Maison Neuve du Chassezac pour voir "si y a d’l’eau !!! C’est ok pour le lend’main !!!
Soirée au gîte avec rougaille/saucisse, cakes salés, fromages et gâteaux…
Commentaire du Chassezac par Patrick C (samedi 9/11)
Après avoir déposé nos affaires au gîte nous filons à l’arrivée du Chassezac. Il y a un bon niveau d’eau et nous décidons de tenter la descente le lendemain. Ce sera une première pour le club.
Après une bonne nuit nous nous retrouvons au pont des Vans. Je file faire la navette à vélo. Navette qui sera épique. Le GPS m’envoie pour Chassagne. La rue principale est étroite mais j’y crois. Au détour d’un virage la rue traverse une porte fortifiée étroite. Je n’ai plus qu’à décrocher, pousser la remorque et reculer…
Je vérifie le GPS, il est en mode vélo, ceci explique cela…
Je reprends la montée vers le plateau et je redescends par le bois de païoli. C’est un endroit superbe. Le calcaire bleu fracturé et attaqué par l’érosion est envahi par une forêt de chênes verts. Mais c’est aussi le paradis des sangliers donc des chasseurs. Et c’est le jour de la battue.
Je ne suis pas très rassuré et je klaxonne beaucoup. Je dépose le camion au pont de Maisonneuve et je remonte en vélo électrique. Le sonnette sonne en passant devant les chasseurs pour qu’ils ne me prennent pas pour un sanglier.
J’arrive sans encombre au départ et je trouve le groupe en grand souci pour un petit chat piegé sur une pile du pont. Après avoir essayé de le récupérer sans succès, nous appelons les pompiers et donnons le premier coup de pagaie à 11h.
La rivière est bien en eau car le barrage en amont lâche de l’eau pour soutenir le niveau de l’Ardèche en vue du marathon. J’estime le niveau à 15 m3/s, ce qui rend la descente très agréable. Nous adoptons une formation sécurité avec Fred en poisson pilote. Nous enchaînons à vue planiols, rapides à vagues drossages … Le tout dans le cadre d’une gorge magnifique connue pour ses sites de varappe et ses chercheurs d’or.
Vers la fin du parcours se situe le rapide du labyrinthe. Après une reco rive droite et le pique-nique, nous décidons de porter rive gauche.
Nous portons une première série de bateaux . Le rapide est plus engageant vu du bas rive droite, nous sommes trois à tenter l’aventure, sans problème.
Comme il a un accès voiture au camping du Chaulet et que la suite promet d’être plus compliquée : on quitte la gorge pour rentrer dans la forêt avec des risques d’embacle, deux passages scabreux repérés sur Google earth, nous arrêtons les K2.
Les 5 k1 continuent. La rivière se divise et ce n’est pas évident de trouver la bonne passe. Heureusement nous rattrapons un groupe en canoës gonflables. Le guide a l’air de bien connaître et nous les suivons à bonne distance. Un passage consiste en un virage serré avec branches à la réception.
Ça se passe correctement et nous arrivons sans problème au pont de Maisonneuve où le débarquement est beaucoup plus facile que prévu au niveau de la première pile du pont.
Il ne reste plus qu’à récupérer les K2, le vélo et filer à Vallon. Mais le chat est toujours là. Nous faisons une dernière tentative, sans succès et rappelons les pompiers. In chat là…
Suite du déroulement par Thierry :
Après la descente du Chassezac, nous filons au repas de l’ouverture officielle du 40 ième Marathon sur l’Ardèche… Nous retrouvons Alain Gadet d’Annecy et le Club de Pont Réan dont Christine…
Dimanche 10/11 :
Lever matinal à 5 h 30 pour déposer , dans la brume, le groupe et les kayaks à Vallon Pont d’Arc… Navette kayak et remorque vers Saint Martin d’Ardèche en découvrant le soleil au-dessus de la brume dans les gorges (magnifique !!!)
Retour en bus avec la navette officielle du Marathon…
Jonction avec la troupe, déguisement « Afro » en attendant le départ en aval du Pont de Salavas.
Descente du Marathon des gorges d’Ardèche par Norbert (dimanche 10/11) :
.
Le samedi 09 soir (à 21h00) retrait des dossards à la salle des fêtes de Vallon-pont-d’Arc, après confirmation de n⁰ de participarion la veille par SMS, cérémonie d’ouverture par les discours des officiels avec le rappel historique; les mots des marraines, parrains et sponsors puis boissons et diner au couscous végétarien très délicieux
.
Le dimanche 10, réveil à 5h00; petit déjeuner puis départ pour déposer les kayaks au point d’embarquement à 8h00, situé en aval de pont du Salavas.
Nous y avons accédé très rapidement par une très délicate manipulation de la barrière.
Après le déchargement des bateaux, Patrick et Thierry font la descente à St Martin (point d’arrivée) par le minibus, puis ils sont retournés par la navette mise en place par l’organisation.
En attendant l’heure du départ, pause toilette, un groupe est parti faire le tourisme au centre ville de Vallon-Pont-D’arc en prenant du café ou thé .
Un autre groupe est resté sur place pour contempler le paysage et le ballet des bateaux de compétiteurs.
Vers 10h00 : Préparation des bateaux (2 k2 et 6 k1) ; habillage, déguisement pour certains puis prise des photos, quelques rencontres avec d’autres compétiteurs.
11h00 : Nous laissons passer quelques bateaux des compétiteurs afin de se lancer avec moins d’embouteillage possible .
Nous découvrons quelques participants clandestins, ambiance bonne enfant.
Nous commençons la descente en amont de la ligne départ; puis nous la franchisons sous les encouragements des badauds et spectateurs venus nombreux sur les deux rives de l’Ardèche.
Nous continuons la navigation, avec le passage mouvementé du rapide du Charlemagne puis nous continuons jusqu’au magnifique et spectaculaire Vallon-Pont-D’arc avec prise des photos et contemplation du paysage.
Nous poursuivons la descente jusqu’ à Gournier, point de ravitaillement ( boisson; fromage; dattes, fruits secs, café, pains, soupe, pâté, etc…) avec un pause d’environ de 20 à 25 minutes.
Nous reprenons la navigation avec quelques rapides intéressants jusqu’à l’arrivée à Saint Martin vers 16h30, avec un magnifique soleil et sous les applaudissements des badauds.
Peu avant l’arrivée, nous avons aperçu une évacuation sanitaire d’un accidenté par l’hélicoptère , pour finir annulée car la personne avait fini par retrouver ses esprits.
Débarquement, retrait de ticket pour la boisson chaude et le goûter (sandwich, bouteille d’eau, pomme, bière …) offert par l’organisation.
Portage et chargement des bateaux, retour par la route jusqu’au au gîte vers 18h00; préparation pour la cérémonie de clôture, remise des prix, dîner au lentilles + dessert, le groupe de musique « N102 ».
Nous sommes partis dès la 2ème chanson afin d’optimiser la récupération.
Quelques chiffres :
- 36 km de parcours Marathon.
- Niveau d’eau 60 m3 avec le lâcher sur le Chassezac.
- plus de 1700 participants.
- 9 Teviens
- 3 h 30 de parcours
- 0 bain
Le lundi 11, réveil à 7 h 00, petit déjeuner, remise en ordre du gîte, départ à 9 h 00 pour le domaine de Tizé.
Retour sans souci pour arriver au Club vers 20 h 00.
Le camion prêté par le garage Nissan a été nettoyé, aujourd’hui, avant d’être ramené à Noyal.
Compte-rendu mutualisé par Patrick, Norbert et Thierry !!!
A bientôt sur l’eau … Thierry …
Les chiffres Coût du transport : 148,00 € x 9 personnes = 1 332,00 € - 336,93 de gas oil = 995,07 € (virement fait sur CCP du Club, ce jour)
Voilà, j’ai rassemblé un peu les photos de chacun et chacune (vous pouvez en rajouter également) :
https://drive.google.com/drive/folders/1VO3DjY0UdntAAiZmv4hEkBq3RZc7hElG?usp=sharing
Article de presse :
Nous étions 3 pour reconnaître le Couesnon cet après-midi.
Niveau 66 pour 6,8 M3/s. Un niveau idéal. Par contre pour les branches, c’est pas l’idéal. Au niveau du départ un saule barre les 3/4 de la rivière. Ça passe à droite. C’est bon jusqu’à la glissière où nous sommes obligés de scier du bois et de le remorquer pour dégager le passage. Le rapide suivant est top avec une vague à surf où l’on peut se mettre à 3.
Nous enchaînons en coupant quelques branches mal placées, passons sous un arbre ( A 75 ça passe plus…), jumpons un autre et débarquons quand une série d’arbres bloque la rivière dans la dernière ligne droite.
Ya encore du boulot avant de pouvoir emmener tout le groupe du samedi. Pour l’instant il vaut mieux réserver la descente aux bien dégrossis.
Patrick
Les photos de Thierry :
https://drive.google.com/drive/folders/1B7SeUJly4UD9wFxpeIItILGvUwqtrGfr?usp=sharing
age Débranchage Couesnon, 30 Novembre 2024,
Séance de débranchage organisée par Serge Mulot permanent du club des 3 Rivières (Saint Domineuc), et relayé par le CDCK35. La section prévue est du parking avant la carrière de Vieux-Vy jusqu’à Romazy. Trois km prévus pour une compétition de descente en janvier pour des jeunes avec un objectif plus général : Rendre le Couesnon navigable pour tous les pratiquants.
Nous sommes trois du club, Jean-Pierre et moi même en canoé open, et Phillipe en kayak. Pour le transport nous nous joignons à REN qui font le déplacement à 5 kayakistes.
Le RV à 9h30 est au grand parking rive droite, en amont du moulin de Guémorin et de la carrière. On retrouve 6 personnes du club de Saint Do et deux de celui de Feins. La journée s’organise, on se met en tenue, il devait pleuvoir un peu mais pas une goutte, super. Navette et c’est parti. Nous nous occupons JP et moi de couper les branches basses gênantes avec le grand sécateur et la petite scie. Etre en canoë pour
ce travail est vraiment pratique. Il y a deux autres canoës open avec du matériel dont une petite tronçonneuse et le reste du groupe en kayak. Pas de tronc complètement en travers, mais plusieurs en épi. Il y a du boulot. Arrivés au moulin de la Mondrais, nous dégageons l’étroite passe à canoë, les kayaks sautent le déversoir. Le groupe va discuter avec les propriétaires du moulin, très sympas. Pendant cet arrêt, notre canoë part tout seul continuer la descente. Heureusement qu’il restait quelques kayaks sur l’eau qui ont fait la récup… Le niveau au pont de Romazy sur la D175 donne un niveau de 55 cm, plutôt bas. Le pont suivant est bien dégagé. Arrêt un km rive droite, après un magnifique champ d’herbe à éléphant, débarquement difficile, c’est bien gras…Le pique nique est le bienvenu car il est 14h30. Boissons chaudes, crêpes, far breton etc…Nous nous quittons vers 15h30.
Ce fut une journée de plein air bien agréable, ciel gris mais sans pluie ni vent. Nous n’avons pas du tout eu froid. Cela nous a permis aussi de faire connaissance avec les autres clubs que l’on rencontre rarement. C’était bien sympa.
A refaire sur une autre section.
A bientôt
Bernadette
Salut à Tous,
350 printemps et 200 ans de pratique du kayak. Voilà ce que cumulaient les 5 retraités qui s’étaient donné rendez-vous au barrage de Vezins pour descendre la Selune. Pique-nique et navette tassés dans la voiture de Thierry en direction du pont de la République qui se trouve à Virey où nous avons eu une pensée pour Mr Barnier …
Et c’est parti pour 12 km d’une descente très agréable où, entre deux spots d’eau vive, nous avons les discussions de tamalou normales à nos âges.
On déplore cependant un blessé léger qui, avant l’embarquement, a voulu tester la solidité de son hayon. Skoda 0 bobo, testeur 1 bobo. Heureusement qu’on avait des pansements.


Une Selune très agréable à 0,91, ça passe nickel en kmer. J’ai testé pour vous.
Merci à Bernard pour ses délicieux Kouign Amann !!!


Patrick
Les photos/vidéos de cette sortie :
https://drive.google.com/drive/folders/16MNf2P7V-6kvHtx9a3GvB1QR--waR1rv?usp=sharing
Nous étions 8 de 3 clubs partis descendre le Couesnon par un frais après midi de décembre par un niveau de 60 à Romazy. La rivière était à la baisse, il y avait donc moins d’eau que la dernière fois où le niveau de Romazy était identique mais à la hausse.
Nous avions pris du matos dans un canoë pour continuer le déboisage de la dernière fois.
Pendant que les kayaks jouaient, Bernard sciait gaîment.
Nous avons dégagé 5 spots mais le temps passant nous décidons d’enchaîner. Un peu avant l’arrivée à moulin Guyot 5 arbres barrent la rivière. Nous débarquons avant et remontons par le chemin.
Le goûter est copieux, for, clafouti, pudding.
Nous n’avons pas fini le chantier petit déboisage mais le gros déboisage dépasse nos compétences.
La rivière est descendable jusqu’en amont de moulin Guyot pour des pagayeurs dégourdis.
Patrick
Compte-rendu à cinq mains (Mathieu, Mélanie, Muriel, Philippe, Emmanuel) et six pagaies…
Entre deux repas de fêtes, cinq TEV (Mélanie, Muriel, Mathieu, Philippe, Emmanuel) ont réussi à caser un stage de deux jours pour découvrir la Sèvre nantaise, à l’invitation de Pont Réan, qui connait bien le coin. Vendredi 27 au soir après deux heures de route, 15 personnes de quatre clubs (CKPR, REN, TEV, CKPB) se retrouvent donc au gite du club du canoë-kayak d’Évrunes près de Mortagne sur Sèvre.
Samedi matin, la navette nous dépose à Saint Laurent sur Sèvre, et c’est le départ à 10h15 pour 12km de descente jusqu’à notre gîte de Gazeau. Nous avons la chance d’être guidés par Steve, un jeune du club local, fort en gueule et passionné de kayak freestyle. Le parcours consiste en une trentaine de chaussées à franchir, de ponts et passerelles, et alterne entre passages manoeuvriers et planiols (parfois un peu longs). Le niveau d’eau est dans la limite basse de navigabilité 70 cm, il y a donc pas mal de roches qui affleurent, et le fond de la rivière n’est jamais très loin, ce qui est un peu flippant lors des bains. Et oui, on se baigne dans la Sèvre fin Décembre, moi (Emmanuel) du moins… et quelques autres dont je tairai le nom.
On descend à allure modérée pour profiter des passages ludiques, et aussi pour récupérer les dits baigneurs.
En esquimautant, Philippe casse le manche de sa pagaie (la pagaie de Muriel en fait !). Fort heureusement, Muriel avait prévu une pagaie de secours dans son kayak. Philippe, un des petits baigneurs, fera donc la majeure partie de la descente avec une pagaie mer de 2,20m, ce qui ne le gênera pas plus que ça.
Certains passages (sous des ponts et passerelles notamment) nécessitent une trajectoire maîtrisée. On n’a déploré aucune casse dans les ouvrages d’art croisés sur notre parcours, mais on a vu certaines trajectoires un poil moins maîtrisées, qui ont pu déboucher sur une chute. Le courant relativement vif à ces endroits, les roches apparentes, le fond assez proche, et l’eau fraiche : autant dire que les bains étaient sportifs. Après avoir été déséquilibrée par une roche affleurante, Muriel a testé l’utilité de son casque en encaissant un bon choc sous l’eau dans le passage de Rochard.
Peu après, lors d’un passage sous une passerelle, c’est Emmanuel qui se fait déséquilibrer par une vague scélérate (n’ayons pas peur des mots), et qui s’adonne aux joies de la balnéo hivernale dans les rapides.
Bref, les obstacles s’enchaînent, la faim commence à poindre, aidée par le froid et les bains.
On est donc heureux et vermoulus quand on revient au gite à 14h30. Le repas de midi finalement pris à 16h est vraiment une bonne récompense. En guise de séance de décrassage, une balade sur les rives de la Sèvre finit par nous amener à point nommé sur la place du village de Mortagne, où se tient une mini fête de Noël. Muriel paie une tournée générale de vin chaud (meilleure plongeuse de TEV en Sèvre Nantaise) , ce qui finit par nous rappeler que le repas de “midi-16h” est déjà bien loin, et qu’on a déjà les crocs. Retour au gite en pleine nuit à la lampe torche. Et là, c’est notre chef Philippe qui prend le relais, avec une paella magique qui ravit nos estomacs affamés, puis Mathieu qui concocte des bananes cuites au chocolat en dessert. Je vous passe les cakes salés de Muriel, divers breuvages à base de houblon ou de raisin, il est scientifiquement prouvé que le kayak, ça creuse.
Dimanche matin, on va naviguer sur le stade d’eau vive de Mortagne. Pas de piquets, mais des roches, propices à faire des gammes. Deux groupes de niveaux sont constitués, sous la direction de Eric R1 (un autre local affuté), et de Sylvain R1 de Pont Réan.
Le groupe de Sylvain (Mélanie, Philippe, Emmanuel), travaille à déconstruire les mouvements parasites mal acquis lors des stops ou des reprises avant, puis en arrière. Exercices appliqués sur les trains de vagues (bac, reprise, surf). Puis sur la première pour tous, Philippe et Mélanie se débrouillent comme des chefs. Dixit Sylvain R1, Mélanie a le style le plus délié et le niveau le plus avancé. On le savait déjà, mais c’est bien confirmé.
Le groupe des fortiches dont fait partie Mathieu, sous la houlette de Eric le local se lance rapidement dans de petits jeux : ancrages, reprises, stops serrés. Quelques descentes en marche arrière, puis vient l’heure du surf dans la belle vague. Y rentrer n’est pas si simple et il faut s’y essayer à plusieurs reprises pour réussir à rester. Mais on ne s’arrête pas là, et on enchaîne surf - demi-tour - reprise - stop … dans un sens et dans l’autre. Pas de bain à déplorer, mais quelques esquimaux qui permettent de goûter la température de l’eau (un peu fraîche quand même…).
Trois heures d’exercices, ça creuse, il est temps de rentrer manger, puis de faire le ménage, de charger le matos, et de rentrer au bercail. Arrivés à 18h30 au club après deux heures de route.
Une rivière ludique, à découvrir par nos clubs bretons, car elle reste naturelle avec ces paysages granitiques, où chaque kayakiste pourra trouver ses spots , ainsi que son niveau d’eau variable et exigeant selon la météo. Terrain de jeu propice à de nouvelles aventures lors d’un prochain week-end sur la Sèvre Nantaise ? Rdv est pris dès que le niveau sera supérieur à 75, avis aux amateurs de l’eau vive !
Bonne Année 2025 à tous.
Quelques photos et vidéos du premier jour, ainsi que la trace GPS : Evrunes2829dec2024 – Google Drive
Un topo de navigation plus détaillé sera rédigé plus tard, pour un possible séjour avec TEV sur cette rivière.