Comptes-rendus des sorties 2020

Surfreport a donné de bonnes info, 1 seul participant, mais quel régal !!
Départ 8H30 sur l’eau à 10h30, et tout de suite de très bonnes conditions, ensuite le niveau a baissé un peu laissant un peu de temps pour travailler l’esquimautage, alternance de belles vagues et d’esquimaux, au bout de 3 hres de ce régime les épaules ont râler!!
Repas avec un magnifique soleil et de nombreux surfers.
Bernard

Pour un bon bilan carbone, venez au club à vélo et embarquez à Tizé pour une balade automnale jusqu’à Cesson.
Claude et Jean Pierre (nouvel adhérent) en Novacraft, Luc et patrick G.en Venture et François en Vertige étaient de la partie.
Un peu de slalom en eau plate au niveau du stade d’eau vive et on remonte prestement à Tizé en papotant.
On a aussi mesuré la hauteur d’eau dans l’étang à l’entrée du SEV à la demande d’un monsieur de Rennes Métropole qui nous promet qu’il va nous débarrasser de toutes les herbes envahissantes. On a aussi croisé une bande de mioches qui s’amusait bien sur l’eau en kayak ou en SUP.
Mardi prochain c’est Sélune.

Partis de Tizé vers 8 h 40, Thierry, Elsa, Hubert, Luc, Patrick et moi avons retrouvé Dominique et Bernard au Gué de l’épine une petite heure plus tard rive droite de la Sélune.


Nous avons vu passer un petit mascaret (coefficient de 100).
Puis Bernard a enfermé ses clefs de voiture dans sa voiture :astonished: Le temps que sa femme vienne lui apporter un double, nous les avons abandonnés avec des vestes prêtées et sommes passés leur déposer leur bateau à Ducey puis nous sommes allés embarquer dans le pré sous le barrage de la Roche qui boit. Nous sommes remontés jusque sous le barrage. Voici la photo du groupe devant le barrage que j’aurais pu faire si je n’avais pas oublié de mettre sa batterie dans mon appareil photo :
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Ensuite nous avons attaqué la descente avec un niveau un peu trop bas, 38 à l’échelle de Saint Aubin de Terregate, limite basse pour ne pas trop frotter. Cependant les 4 kilomètres jusqu’au point d’embarquement habituel se sont bien passés, en frottant un peu mais sans descendre de bateau. Ce parcours doit être encore plus sympa avec quelques centimètres de plus (la Sélune était à 75 après les pluies d’hier).
Après le passage du seuil de Quincampois nous avons retrouvé nos deux maloins qui nous avaient libérés la glissière de Ducey d’un tronc d’arbre.
Ci-dessous la photo de la glissière de Ducey que Thierry aurait pu faire s’il avait pris sa gopro :
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Nous avons piqueu-niqué sur l’herbe et sous un rayon de soleil. Bernard a partagé un bol de teurgoule achetée la veille après le mascaret.

Nous avons ensuite continué la descente. L’eau a changé de couleur après Ducey, rapport à la floculation. La végétation des berges étaient marquée en beige par les marées hautes à gros coeff’ précédentes. Ci-dessous la photo des berges que Patrick aurait pu prendre s’il avait eu son appareil photo :
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Elsa s’est arrêtée à Pontaubault.
Belle photo du pont de Pontaubault que quelqu’un aurait pu prendre s’il y avait eu un appareil photo dans le groupe :
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Nous avons fini la descente jusqu’au gué de l’épine (24 km environ du barrage de la Roche qui boit, il y a un agréable petit courant surtout au début mais il faut quand même les faire).

Nous étions 5 à partir du club pour une sortie open, c’est à dire ouvertes à des non adhérents, en l’occurrence mes ex collègues de travail.
Nous avions rendez vous avec elles et nos frères de la côte à la cale de Mordreuc à 10h30. Mais l’eau, elle, n’était pas au rendez-vous.
Nous décidons de remonter vers la cale du Vigneux pour avoir plus d’eau. C’est vers 11h30 que nous donnons le premier coup de pagaie en direction du sud.
Nous sommes 12 sur l’eau, dont quatre invité.e.s. Après un arrêt sous le château de la roche, nous passons le pont St Hubert où nous voyons un peu de clapot, effet du vent contre courant.


Nous filons vers la pointe de la chênaie et son beau château dont j’apprends qu’il a reçu la visite de Frédéric Chopin. Nous nous arrêtons un peu avant pour un changement de bateau suite à un problème de cale pied sur le shore line rouge.

Nous arrivons à la Moinerie où nous espérons voir le phoque de service. Pas de chance, une bande de djeunes squatte son ponton, alors, il boude. Après le pique nique nous allons pedibus rendre visite à la fontaine St Lunaire. Son eau miraculeuse soigne la cécité.

Au moment où nous réembarquons, le phoque montre le bout de son nez à la satisfaction générale.

Nous nous laissons ensuite pousser vers le nord par le courant qui est en avance sur l’horaire prévu. Objectif, le camp viking. Nous y arrivons sans encombre sauf pour quelques uns qui ratent le chenal et en sont quittes pour mettre les mains dans la vase. Une petite incursion dans le camp et nous ressortons car nous avons peur d’y rester coincés au vu du fonctionnement un peu erratique du barrage par rapport aux prévisions. Les bernaches nous accueillent de leurs cacardements au retour. Débarquement après quelques esquimautages de Mathieu à 16h15.
Chargement et dispersion. Retour club pour 1815, nettoyage du matos
Merci à Bernard et à Jean Luc pour nous avoir guidé et au phoque de sa participation.
Les liens pour les photos, merci à Henri et Jean Luc (à télécharger rapidement) :

Cocasse ! au milieu du vol de bernaches on aperçoit le vignoble du Mont Garot !!

Tout-à-fait, Claude !

Après une action de lobbying de Sam, nous décidons d’aller 'descendre 'La Sée ’ au lieu de visiter Fort Lalatte…
Nous étions 11 (7 kayakistes et 4 Marcheuses). Pour mettre un peu de distance sociale dans tout ça, nous prenons 3 véhicules .
Direction La GodeFroy où nous laissons les marcheuses espérant les retrouver en fin d’après midi puis Le club de kayak d’avranches pour embarquer .
Gros club avec un nombre de kayak impressionnant !!!
Et là bizzarement, on se trompe de sens et nous remontons la rivière !!!
Petite particularité de la Sée, ces sont les lacets ( :wink: ) : Pas plus de 50 m en ligne droite !!!
Après un pique nique Champêtre et ensoleillé, nous continuons la remontée jusqu’à un virage à droite avec un chêne et un saule (facile à reconnaitre).
La descente est très agréable et rapide (3h de montée, 1h de descente).
Retour au club de kayak d’où 4 repartent pour continuer la descente.
La jonction est faite avec les marcheuses et nous repartons attendre les courageux à la Roche de mirey. Avec une vue sur le mont au coucher de soleil à couper le souffle !!!
nos 4 compères arrivent à la nuit tombante , petit gateau préparé par Marie et retour au club pour 18h30.

pour les stats : 7 Kayakistes, 4 marcheuses, 150km, 12€ /pers.
virement effectué au club ce jour.

Une autre action de lobbying avait mené Patrick à accepter d’échanger l’Ellé contre la Vire. On se retrouva donc à 6 sur le pont de D674 entre Campeaux et Vire avec un niveau optimal.
Patrick et François étaient venus de Rennes, Dominique et Bernard de Plouër/saint Malo et Alain et Patricia Vallegeas (cdck 22 et grands connaisseurs de la Vire) de Dinan.
Niveau optimal: 1m à l’échelle de Malloué, mais alors question temps: la cata, les vannes célestes étaient ouvertes et on s’en est pris plein la tronche.
J’ai même été obligé de vider mon Vertige deux fois car il se remplissait comme une vulgaire baignoire.
1 portage quelques encablures après le départ et quelques branches fourbes qui mériteraient un coup de scie, mais on s’est quand même bien régalé des petits rapides et des déversoirs bien en eau et après 2h30 de navigation, un petit bain malencontreux d’un de nos preux au dernier déversoir un peu retentif et après 16km au compteur on se changeait rapido entre deux averses au petit camping de pont Farcy avant de remonter les malouins au départ et d’enquiller l’A84 jusqu’à Tizé.

6 personnes, 290km, 17€ de transport dans mon Scenic et avec ma remorque; Merci aux petits gars qui creusent des trous à Tizé et qui nous ont laissé passer à l’aller et au retour en bougeant leurs pelles à godets et autres jouets jaunes pour qu’on puisse accéder au local.
Pas de photos et le constat qu’il me faudra bientôt des lunettes dans les rapides mal éclairés.

Soucieux de ne point dépasser le périmètre des 20km assigné par nos gouvernants Patrick nous propose une petite reconnaissance du bras de L’Ille qui serpente au milieu des prairies Saint Martin.
Attestation remplie et masque sur le nez Claude et moi rejoignons Patrick sur le parking du stade rennais puis on charge barques et hommes sur ma remorque et dans mon Scenic et on monte à Saint Grégoire sur le parking en amont de l’Ille Robinson. On y retrouve Frécho venu à vélo et on s’embarque rapidement.
La glissière du club de ST Greg est avalée sans encombres et on musarde sur le canal en papotant, on double Ronan, le BE de St Greg, qui encadre un de ses élèves non-voyant et on débarque au pont du Bd d’Armorique pour un petit portage qui nous amène dans le bras de décharge de l’Ille.
On se faufile entre les rives, on passe sous quelques grosses branches, on jumpe un ou deux troncs et à part un petit portage pour le C2 ça passe bien et c’est vraiment le dépaysement total de ce paysage mi-urbain mi-champêtre.
On rejoint le canal au niveau du boulevard de Chézy et on passe le vannage bien remonté qui nous amène vers la confluence de l’Ille et de la Vilaine.
On commente les bâtiments divers qui jalonnent notre route et on caresse l’idée de s’arrêter boire une bière au Bacchus quand le virus se sera fait la malle puis on débarque prestement au niveau du vannage du Moulin du Comte sous l’oeil étonné de pochetrons aimables puis on recharge le matos sur la remorque de Patrick qui nous remonte au départ où l’on se disperse à la nuit tombante.
On a mis plus de 3h mais chut…
Patrick en kmer, Frécho en Sonic, Claude et François en Pocket Canyon.
8km de navigation environ.
A refaire.

Nous étions 7, 5+2 à profiter de cette première journée de déconfinement pour aller naviguer sur la Colmont. Malgré quelques retard sur la route, plein, déviations … nous arrivons vers 14h à Brecé pour faire la jonction avec Bernard et Dom. Nous nous changeons en vitesse sous un soleil quasi printanier expédions la navette et nous embarquons sur une Colmont en belles eaux. Le haut niveau fait qu’il faut se pencher fort sous le premier arbre ce qui nous amène à couper du gros lierre pour faciliter le passage. Les rapides s’enchainent ensuite sans problèmes. Entre les deux glissières un arbre bas nous amène à prendre une petite passe dans les branches. La deuxième glissière se passe comme une fleur par ce niveau d’eau. Quelques branches basses dans la forêt pimentent le passage mais le gros chêne a disparu. Pas d’acrobaties au débarquement et c’est une Colmont sans bain ni portage qui nous a réjoui cet aprem.


Patrick

Le lien Google Drive des photos/vidéos :smiley: :smiley:

A bientôt sur l’eau … Thierry … :wink:

5 participants 25€
Le Scorff est en petites eaux mais agréable.
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Nous enchaînons deux descentes sans problème.

Pique nique à l’endroit habituel à l’abri de la pluie. Nous filons ensuite à loge-coucou où le moyen Ellé est à 130. Navette en vélo électrique expédiée en 17mn. Un arbre un peu gênant dans les deux premiers kilomètres. Nous jouons dans les petits rapides. Une collision occasionne un petit bain. Il y a pas mal d’eau donc beaucoup de rouleaux à surfer.
Nous enchaînons sur les roches du diable qui se passent sans encombres. Nous essayons un nouveau chemin pour remonter : il est pire que le chemin habituel.
Un petit thé et nous repartons sans oublier le vélo.
Belle journée de kayak tranquille.
Patrick[attachment=1]IMG_20201216_122154_resized_20201216_093541502.jpg[/attachment]


6 participants 4 ( pc,bd, mc,bd) +2 (ab, cm) RDV club 7h15 , jonction 9h30 à Pont Calleck.
Le Scorff est en belles eaux. Première descente sans encombres suivie d’une seconde sans mollir. Nous mangeons au soleil avant d’enchaîner sur le Haut Ellé à 0,82 cc.
Nous sommes trois à embarquer. Le niveau est parfait. Nous descendons prudemment en cherchant les arbres annoncés. En vain, rien ne gêne notre navigation.
Il est temps d’enchaîner sur le moyen Ellé qui est à 1,76. Nous profitons de tous les stops et rouleaux. Comme Mathieu est néophyte en matière de rivières nous reconnaissons du haut. La passe de gauche semble bonne. On avisera au premier stop. Pas de bol Nanard dessale et son bateau se coince sous une falaise en amont de l’éléphant. Alain poursuit le baigneur et je décide pour assurer le passage de Mathieu de prendre la passe de gauche. Mauvais plan, elle est mal pavée et je dessale après deux esquimautages ratés. Heureusement Mathieu s’en tire mieux que moi et me repêche en bas, le monde à l’envers…
Il reste encore à sortir le bateau de Bernard ce que font brillamment Alain et Mathieu aidés d’un slalomeur ami . Ils arrivent à accrocher une corde et à haler le bateau plein d’eau.
Fin de la descente avec une belle chandelle d’Alain qui se termine par un esquimautage, réussi celui là.
Belle journée de kayak par un temps assez doux et de belles eaux.
Bravo à Mathieu pour ses débuts en descente de rivière.

4 partants ce mardi matin depuis Tizé. Une rocade quasi déserte. Tout baignait lorsque Dom et Bernard nous informent qu’ils étaient bloqués près de Lamballe à cause d’un accident.
On s’arrêta donc à Guéméné pour faire le plein de gazole et d’andouille pour les attendre.
À 11h20 ils nous rejoignaient à Pont Calleck pour un premier Scorff bien chargé en liquide. Le gros des troupes préféra embarquer au Bac à Vonnick pour s’épargner quelques branches traitresses. Claude et moi ouvrîmes le bal en k2 et les autres suivirent prudemment. Tout allait bien pour moi, la large carrure de Claude arrétait les vagues qui se fracassaient sur l’avant du k2. La carrière nous secoua bien puis Kerglohars, on sauta le déversoir de Coat Crenn et l’on commença à savourer les petits rapides de cette section boisée.
Pic Nic à l’endroit habituel puis 4 courageux s’élancent pour une version courte. Un valeureux se prit un croche-pied d’une vague fourbe et nagea. Son compère en cherchant à rattraper son bateau perdit sa pagaie mais termina à l’endroit dans un contre juste au début de la carrière. On termina la descente sans autre sketch mais toujours sous la pluie. Après le k2 j’avais bien apprécié cette descente en Open Canoë.
On quitta les malouins vers 15h30 et l’on prit la route du retour.
Elsa Claude Luc, François dans Bébert Dom et Bernard dans leur van.
Transport 30€ pour cause de petit nombre.
Mercredi c’est Rouvre.

6 + 1 , 18 €
Nous étions 6 au départ du club à 9h30. Compte tenu des fortes pluies de la nuit, nous avions scruté vigicrue Segrie Fontaine. La Rouvre semblait épargnée par la crue générale.
En échangeant au départ, nous comprenons la raison : la sonde est restée bloquée à 21h48, avant la montée des eaux. Une recherche sur les petits rus du secteur montre que ça a beaucoup monté dans l’Orne, reste à savoir de combien.
Sur la route nous réussissons à contacter une locale qui nous dit que le parcours classique est dégagé et nous indique 110 à l’échelle de Taillebois.
En arrivant à Craménil, la Rouvre est dans les champs. On a du mal à voir le lit entre les barbelés. On mange et on décide d’embarquer à Pont Huan pour P3 et P4 selon la classification EVO.
Ça crache bien sous le pont. Le rapide du S se passe bien à part un léger accrochage entre deux bateaux. Celui de Notre dame du rocher aussi, jusqu’au dernier seuil qui retourne les deux derniers. La récupération est longue car il faut éviter que le sauveteur ne finisse aussi à l’eau et les bords ne sont guère accueillants. Tout se règle en amont de la passerelle que l’on peut contourner par les champs.
Nous réembarquons jusqu’à Taillebois où nous avions pris la précaution de demander à la navette de se positionner au cas où …
Après conciliabule, nous décidons de shunter la fin du P3 car nous anticipons que les deux rapides en amont de Segrie Fontaine pourraient nous faire des misères.
Nous réembarquons donc au début du P4. Un coup d’œil à l’échelle Indique 2,75 m, record de TEV depuis Vigicrue. La Rouvre a pris un mètre dans la nuit, on comprend pourquoi ça dépotait.
La Rouvre à ce niveau mérite bien son surnom de petite Vézère. Une petite reco au rapide de la passerelle et nous nous lançons dans les longs rapides des roches d’Oêtre. Là, le pagayeur est confronté à deux options : suivre les veines d’eau qui zigzaguent au risque de se prendre des branches basses ou rester au milieu et se prendre des trous dont certains ne demandent qu’à vous garder. Chaque pagayeur jongle entre les deux options en fonction de son bateau et de sa technique. Cela donnera lieu à quelques sketches sans conséquences car tout le monde est très concentré …
Le planiol de l’arrivée inspire des pensées bucoliques car il y a moyen de couper dans les champs. Un pagayeur s’y risque, se ravise en voyant les barbelés à fleur d’eau, veut rejoindre le lit de la rivière mais se coince dans un bosquet d’aulnes. Il se dégage petit à petit, on y croit, on y croit, mais l’élasticité de la dernière branche le met à mal et à l’eau. La récupération du pagayeur et du bateau sera quelque peu compliquée par les barbelés et les murs de ronces.
Mais tout est bien qui finit bien et nous débarquons intacts et avec tout notre matériel, contents de cette descente même, et surtout, si elle nous a fait toucher les limites de notre art.
Mais nous avons gardé le meilleur pour la faim. En effet nous nous arrêtons sur le chemin du retour au Teilleul chez Jacky Leduc, roi de l’andouille de Vire, qui propose une gamme d’excellents produits normands et à Fougerolles du Plessis chez le champion de France de la brioche feuilletée. De quoi lutter contre la morosité en ces temps de solstice d’hiver et de Covid.

Patrick
Le lien avec les photos et vidéos de Thierry:
https://drive.google.com/drive/folders/1rj0tRFUzjGLYB_3VvwzRtMwBEKGyU6i5?usp=sharing

une petite Rouvre bien fraîche pour finir cette année !!!

Nous étions 6 pour faire la Der de 2020 (François, JP, Nanard, Fredo, Victor, Marco.)

Après un détour par Chasné pour récupérer un casque pour notre cadet du jour (son prénom commence par un F.) , nous embarquons à Pont-Huant pour une descente tonique jusqu’à Rouvrou avec navettes alternées. On décide de remettre ça en partant de Taillebois. Mais en route nous perdons un kayak, le cadet avait oublié de les attacher !!!

Belle deuxième descente , un peu plus fraîche que la première, sans encombre sauf pour notre padawan barbu qui en a crevé son bateau.

Niveau Vigicrue : 211

Coût de la sortie 20 €

NB: à ce niveau la partie Crasmenil-Pont Huant est faisable dixit des normands rencontrés à Rouvrou.
édité par François