Ce sujet est uniquement fait pour archiver les comptes-rendus des sorties ou stages de la saison 2011/2012.
Merci aux R1 de poster leur compte-rendu AUSSI dans le sujet concernant leur sortie, où pourra être continuée la discussion.
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ORNE 25 MARS
Que du bonheur de descendre l’orne par une météo aussi printannière !!! 11 kayakistes (7 Teviennes - iens + 4 kayakistes de Bain) s’en sont donnés à coeur joie… Départ 9 h 00 du Club, arrivée Rabodanges à 11 h 00, casse croûte, manip et c’est parti pour une descente avec répétition de la “Pierre Plate”. Beaucoup de clubs étaient présents dans une ambiance bon enfant… Pas de surprise pour cette descente qui était une 1ière pour Jessica. Départ retour 16 h 00 pour une arrivée au club à 18 h 00.
Thierry
TOUR DE BRETAGNE PÂQUES
7 participants depart club 13h45
Embarquement Benodet 17h15, remontée de l’Odet avec la fin du flot, la renverse se fait au niveau du chateau de Perennou. Nous redescendons gentiment et débarquons en face du restau oú nous mangeons très bien.
Balade pédestre et digestive vers Beg Meil.
Dimanche grosse journée. Départ pte de Mousterlin vers 10h15 cap Loctudy.
Traversée directe en deux heures, pique nique au soleil .
Retour vers l’île Tudy pour un café au bistrot en face du restau le Malamok qui nous fait bonne impression pour une future étape.
Nous nous engageons dans la rivière de Pont Labbé avec le flot et le vent ds le nez. Nous renonçons au tour de l’île Chevalier faute d’eau et continuons la remontée. Certains pousseront jusqu’à Pt l’abbé. La remontée contre le flot est sportive. Le retour est un peu long, nous en laissons à la sortie de Benodet.
Repas dans notre bungalow aussi rustique que délicieux : saucisse lentilles , promenade digestive, sommeil réparateur.
Lundi, avis de grand frais: nous décidons de naviguer á l’abri du surroi : Port la foret Beg Meil en faisant du rase cailloux.
Nous traversons vent ds le nez pour couper le fond de baie et rasons les cailloux jusqu’au sémaphore.
Pique nique copieux à 100 m du sémaphore sous un léger crachin. Le retour ai portant est expédié en 25 mn.
Béné nous offre gentiment café et gâteau.
Retour club prévu vers 17h30.
Prix: 34 d’hébergement, 26,40 de trajet + le restau
Le château où les filles ont essayé de se faire inviter à la fête est le manoir de Kerbrandy.
Celui où nous avons fait demi-tour est celui de Perennou
Plus haut nous aurions pu voir le château de Kérambleïz.
Patrick
Samedi 24 Mars par un soleil estival (pour Saint malo) 3 Teviennes et 2 Teviens embarquèrent à la pointe de la Varde pour une virée tranquille jusqu’au Meinga.
première en K1pour Maryse et Myriam qui commencent assimiler la gîte et reprise en douceur pour béné, François et Didier veillant au grain.
Petites manoeuvres dans les cournts montants au retour et papotage avec un groupe de vieux briscards de KMCE.
Petite boisson diététique de l’effort au Cessonnais puis repas chez Edgar pour conclure ce dbut de WE avant d’alle tater les rapides de l’Orne sous le soleil pour Didier et François.
François
QUATRE TEVIENS MOTIVES: CRISTELLE,MYRIAM,DIDIER et moi-même ; quatre K1 ;un temps superbe ,une luminosité incroyable,une palette de bleus plus que variée , un peu de piment ( force 4/5),et l’aventure commence autour de l’archipel de BREHAT .Nous entamons la traversée à 11h30 sur une mer bien "formée ".C’était une première pour MYRIAM et moi, mais ça c’est bien passé !Nous avons fait le choix de pique niquer près de la cabane de la SNSM sur la pointe du GOAREVA.Puis avons continué notre découverte en allant rejoindre le moulin à marée du BIRLOT ; ensuite direction la pointe de BIRLOT pour atteindre le pont AR PRAT et avons fait demi tour pour découvrir l’archipel étonnamment varié en paysages comme en conditions de navigation SUR le chemin du retour après avoir slalomé entre les ilots, avons pris un gouter sur une ile face au phare du PAON( je pense ) .Enfin avons ré embarqué et affronté un vent tenace.Étions de retour au club à 19h30.TRÈS BONNE SORTIE( même sur la journée) et qui de plus alliait plaisir de naviguer et convivialité(far breton , gâteau au chocolat… ) MARYSE
Début difficile avec une arrivée sous des trombes d’eau à Bedous, réveil le lendemain avec de la pluie-neige et les tentes en mode water ploof.
Après 2 changement de moquettes et l’achat massif de bottes et chausettes, TEV bat en retraite en Espagne.
Cherchage de camp un peu laborieux, mais au final installation sur le gallego à Murillo.(Camping ++)
Dans la nuit, une tempête avec des vents à plus de 85 km/h tente de plier la tente en 2 !!!
Après réparation au moment de mettre en branle la troupe, l’espace de JC refuse toute collaboration.
on trouve des cables, mais pas la batterie de Bebert (sous les pied du conducteur !!!), finalement descente du rio gallego de toute beauté avec un vent à décorner des boeufs et entame de match difficile pour didon l’syphon.
Après renseignements , les rivières espagnoles sont séches à cause du froid, nous décidons donc de nous déplacer sur le salat (400 kms!!) où le niveau d’eau monte.
Le camping d’Oust ne peut nous recevoir faute de sanitaires (dégât des eaux du au gel !!!). Installation au camping du haut-salat à Seix après une descente du salat.
On prend 2 bungalows sur les conseils de JP et on plante la grande tente devant. On est prêt !!!
Mercredi : Première descente des gorges du garbet pour JC et Alan et poursuite jusqu’à Oust pour l’ensemble de la troupe puis le bas Alet avec des embarquements successifs.
Jeudi 2 plans : Visite de la haute Ariège ( à sec) et de l’Oriège pour un groupe, descente du salat pour un autre. La découverte de l’oriège augure d’un prochain déplacement en masse des teviens vers ax les thermes !!! en effet nous avons du renoncer sur le rapide d’Orlu (IV-V) pour cause de tempête de grêle et on fait la traversée d’Ax sur un rivière en crue (0.99 sur vigicrue). ça envoie du lourd !!! Reste une belle section à découvrir entre le barrage et et Ax. Le retour au camp est marqué par la fameuse et inoubliable blanquette de Thierry (Bravo !!!)
Vendredi 4 Descentes !!! l’Arac , le Moyen Salat, le Garbet et le Haut Salat en sprint (<30 mns !!!)
et SAMEDI : Les dieux nous convient à un festin sur l’Estours en belles eaux : Du soleil, de l’eau bleuté, des rochers et un public enthousiaste pour une descente mémorable.
En prime toutes les descentes ont été filmées et près des centaines de photos ont été prises. Donc gaffe au calendrier !!!
TEV a encore prouvé sa capacité d’adaptation et la force d’un groupe .
Bravo et merci à tous pour cette semaine mémorable
En Résumé :
13 Participants (12 TEviens + Alan)
Nombre de kms : 2600
Cout de la sortie : 300 €
Troisième édition du festival organisé par Paul Villecourt, reporter Photographe outdoor, à Mirabel et Blacon sur la Drôme.
Départ vendredi 6 vers 14h, escale dans mon QG de Bourgogne pour la nuit après une copieuse entrecôte charolaise et arrivée en fin de mat. le samedi sur zone.
Le camping est très bouillasseux suite aux intempéries, mais la Drôme charrie beaucoup d’eau. Nous assistons Claude et moi à quelques ateliers : Séchage de légumes divers, sécurité, essais d’Open canöes puis Paella sous le Tipi suivi d’un concert folk. Nous retrouvons des têtes connues ou fréquentées sur les forums anglais et français.
Dimanche embarquement pour 28 km de Drôme en compagnie d’une bonne centaine d’autres canoës. Nous retrouvons notre compagnon de l’an dernier : Greg, sa femme, sa fille, son chien (Yak fait même un gilet spécial doggies).
Le temps est toujours crado mais les rapides (classe II) sont amusants en OC.
Dîner des régions le soir toujours sous le Tipi et grande tombola où nous ne gagnons rien (le lot principal était un magnifique C2 de chez Esquif).
Nuit ventée et pluvieuse, lundi il fait assez beau et nous assistons à nouveau à des ateliers et nous participons à une petite descente pour tester des bateaux. Fin du festival.
Le mardi en guise d’after nous organisons une descente internationale sur 10km de Drôme : Anglais, Hollandais, Allemands + Claude et moi. Claude est maintenant quasiment bilingue.
Mercredi déplantage de la guitoune trempée et boueuse et transfert sur l’Ardèche au camping des trois eaux. Quelques verres de picrate en compagnie d’anglais sympas nous avaient convaincus d’abandonner le Tarn.
L’Ardèche est tellement haute que la navigation est interdite aux bateaux de loc. et le rapide du Charlemagne n’est plus qu’un gros train de vagues. Julian et Cathy prennent un méga bain à l’entrée du rapide et nous ne les récupérons qu’au dessous du Pont D’arc.
Le soir bien au chaud et au sec dans notre bungalow (ras le bol du camping sous la pluie) nous nous faisons une petite bouffe et préparons la grande descente du lendemain.
Jeudi, manip matutinale jusqu’à Sauze et embarquement à 10h30 pétantes. L’Ardèche est toujours haute et la descente se fait rondement sous un temps acceptable voire même avec un peu de soleil. Pas d’aventures et une magnifique découverte pour nos copains d’outre- Manche.
Vendredi rangement tranquille de la remorque et remontée jusqu’à Mâcon pour mettre Claude au train puis poursuite de l’aventure vers les pentes (très ) enneigées de Flaine avec Martine et nos trois petits-enfants pendant la semaine de la croisière TEV.
CR François
12 teviens 2 bainais 399 km 24 euros 10 pour jeunes et chomeurs
La pluviosite réelle etant plus faible que prévue, suivant le conseil de
François, nous avons decidé de filer sur le moyen Ellé.
Descente école jusqu’aux Roches, reco par les fines pagaies puis Manon,
Niels, Guillaume sont partis à l’assaut des Roches, 66 p 100 de pertes
puisque Niels et Manon nagent. Niels fait le bas à la nage, Manon s’étant
baignée au début et s’étant récupérée rive G, nous lui livrons son bateau et
elle finit la descente sans gros pb.
Repas rapide puis on recommence.
Cette fois ci c’est le sans faute pour les nouveaux mais Jessica, obnubilée
par sa mission d’encadrement de Manon, oublie de regarder devant et nage sur
le bas.
Les + motivés des cadres enchainent encore qqs descentes avant un retour
sous la dépression qui a une dizaine d’heures de retard.
Le changement de météo plombe le plan 7 îles pour mardi mais relance le plan
eau vive de Marco. Il va peut être même falloir arbitrer entre Rouvre et
Ellé…
Patrick
fete du bo kayak 01/05/2012
5 teviens
Départ 8h30 pour le o tellé 86 au compteur vigicrue.
Première descente sans histoire si ce n’est un bain de jess au niveau du barregan. Le grand pont nous dit 90!!!
Frecho nous fait la manip pour la deuxième dans la foulée, on rencontre un open canoeïste sur le parking
Nique pique au soleil et hophophop direction le scorff où l’on retrouve l’affluence des grands jours. 2 descentes rapidement expédiées grace aux manipeurs des autres club malgré le contre temps dû a notre cadet du jour marco qui apres avoir failli perdre son kayak sur la route faute de l’avoir attaché, se rend compte une fois arriver a l’embarquement que sa pagaie est restee sur le bas du scorff. Pour conclure cette magnifique journée, direction la sarre pour une descente bucolique et manoeuvriere qui valait bien les gorges du semnon. Le tout sous un soleil radieux.
Bertrand fut content egalement puisqu’il n’a pas croisé de baobab
Vive le bo kayak
Le lien vers les photos de Bertrand : https://plus.google.com/photos/10197467 … banner=pwa
Jessica
14 teviens 2 bainais 4 euros
Sous la conduite d’Alan nous avons descendu le Semnon entre le moulin de Quénouard et celui de l’Ardouais.
Après un premier passage amusant la rivière court gentiment dans une ambiance canyonesque puis ça s’élargit et se calme. la rivière longe le célèbre tertre gris jusqu’au moulin de Roudun. La rivière s’anime sur 1 km avec des spots à potentiel playboating si + d’eau.
La vague du moulin de l’Ardouais, où nous avons débarqué, a l’air assez rétentive.
En résumé une petite descente sympa à refaire avec + d’eau
Vigicrue: http://www.vigicrues.ecologie.gouv.fr/n … tation=912 annonçait 80 cm.
Patrick
5 participants 12 euros
Notre devoir fait nous partîmes gaiement vers la côte N. Pique nique face à la mer à Pt Picain.
Premier coup de pagaie 13h15. Le vent n’a pas molli comme prévu. C’est du F4 aussi pour ne pas se faire trop secouer au Grouin, nous remontons vers les Rimains, faisons le tour du rocher de Cancale avant d’attrapper le courant qui nous ramènera à l’étal à la Pte du Grouin. La remontée avec du F4 ds le nez est sportive. Nous franchissons la vieille rivière arrivons sous la pointe puis nous décidons de retraverser pour passer dans le chenal ay N de l’île des landes. Le passage du chenal est sportif mais nos pagayeurs (euses) sont motivés.
Le retour se fait tranquillement.
Gâteau de rigueur retour club 18h30.
J’ai pu essayer ma voile et je suis très content.
Patrick
2 Téviens & 1 Bainais, 15€uros
(Bertrand, Ronan & myself)
Vers 14h30, le spot de Pont-Lorois nous accueil sous un soleil radieux : seuls au début, mais rapidement rejoins par quelques mordus de free style…
… échauffements tranquille, les yeux rivés vers l’amont et ses vagues grandissantes : miam-miam, l’après-midi s’annonce exceptionnel par un coef. de 108 !
La 1ère heure ne s’est pas terminée qu’une nuée de céistes & kayakistes slalomeurs viennent nous faire un show d’enfer :
Surf sur les plus grosses vagues en C1, chandelles et autres figures nous impressionnent (bateaux en fibre de toute beauté & fines pagaies s’en donnent à cœur joie).
Ronan ne voulant pas être en reste se donne un peu trop sur la grosse vague de gauche (réservée aux meilleurs) …
… et plouf, la fatigue le transforme en baigneur l’espace d’un instant : vidage de bateau et on remet ça !
On s’observe, apprend, corrige les enchainements pour finalement progresser un peu !
Mais la fatigue s’invitant avec l’approche de l’étale, nous obligeant à faire demi-tour en direction du débarquement, las mais satisfaits…
Retour hésitant en voyant de gros nuages plein Est : ils ont coupé l’éclairage là-bas !
… pause troquet autour d’une boisson houblonnée, afin de profiter un peu plus longtemps du soleil.
Retour pour 20 heures à Bain de Bretagne, en se promettant rdv lundi soir 18h à TEV, direction le mascaret de la Sélune.
Alan
À l a mémoire d’Isabelle Anglade.
Lundi 14 mai
La nouvelle était tombée samedi : Isabelle nous avait quittés, ses cendres allaient être dispersées au pied du phare du Paon samedi et Claude, Luc et moi nous étions bien décidés à être là. Daniel avait choisi de rester à Rennes pour coordonner la petite cérémonie alors nous avons changé notre fusil d’épaule, remis la randonnée canoë-camping sur la Dordogne à plus tard et pris la route de Florac pour descendre les gorges du Tarn en randonnée à la journée. Voyage sans histoires et arrivée suffisamment tôt pour que Luc et moi puissions descendre en kayak le sympathique petit parcours Cocurès camping du Pont du Tarn. Niveau bas mais les petits rapides sont toujours aussi amusants et nous nous régalons.
Installation dans notre Mobil-home et nous nous attaquons à la popote : ce soir c’est poulet tandoori. Oui, Mobil-home. Pour 4 jours sur place avec un vent glacial, les quinquas et sexas que nous sommes avons opté pour le confort.
Mardi 15
Embarquement matutinal depuis le camping pour rejoindre Blajoux dans les gorges. Une vingtaine de km de II (3) avec le célèbre rapide du Cantonnet. Luc en Overflow, un peu plus glisseur que son Burn et Claude et moi en Pocket canyon. Très agréable descente malgré un vent froid et contraire. Quelques passages approximatifs du Canoë, un petit rodage est toujours nécessaire, et remontée en taxi car je n’ai pas eu de chance au stop contrairement à deux marginaux avec chien qui se sont fait charger sans difficulté pendant que nous avalions une boisson diététique de l’effort au bistrot du coin en attendant le taxi. Ce soir c’est Claude qui coiffe la toque de chef et nous régale d’une ratatouille très maitrisée (il avait fait ses classes sous la férule d’un chef connu : Jacqueline H.)
Mercredi 16
Aujourd’hui trente bornes de classe I -II au programme, de Blajoux au pas de Soucy. Nous préparons notre pique nique dans des boîtes hermétiques et optons pour la tactique du relais pour éviter 86€ de taxi, chiffre astronomique annoncé par ma charmante conductrice de la veille. Claude et moi embarquons à Blajoux jusqu’à St Enimie pendant que Luc manipe. Luc embarque jusqu’à la Maléne dans le Pocket pendant que Claude manipe. Enfin je débarque pour la dernière étape pendant que Claude et Luc pagaient. La recherche du débarquement au pas de Soucy (chaos infranchissable) n’est pas une mince affaire car les loueurs se font la guéguerre et gèrent chacun leur débarquement privé. Je dégote un petit ponton 2km avant le pas et promptement le Pocket et son équipage font leur apparition au détour d’une boucle de la rivière. Nous avons bouclé le trip en 4h et pu tout de même admirer les magnifiques paysages des gorges du Tarn et nous amuser du courant vif et des petits rapides malicieux. Retour à Florac pour réhydratation et préparation par Luc d’un roboratif plat de saucisses aux lentilles. Quelques gouttes d’un breuvage venant des Antilles et aux vertus soporifiques nous préparent pour la nuit.
Jeudi 17
Dernière partie des gorges, le parcours Les Vignes-Le Rozier (10km de II (3)) est un pur régal. Il nous faut une petite heure de route pour y arriver et nous rencontrons un troupeau d’étudiants de l’UFR STAPS (profs de sport) de Toulouse à l’embarquement. L’impressionnante glissière du départ est franchie sans encombre. L’accélération du canoë y est phénoménale mais grâce aux francs-bords élevés du Pocket nous n’embarquons pas une goutte d’eau. Nous nous régalons des nombreux petits rapides et j’entraîne Claude dans de nombreux stops bacs et reprises jusqu’à ce qu’il maîtrise parfaitement les appels débordés (JP a maintenant un challenger). Pique-nique sympa au milieu du parcours puis arrivée au Rozier. C’est Luc qui se colle à la manip. Il met son casque et arbore son gilet ce qui lui vaut d’être pris en un temps record. Nous chargeons la remorque en 2mn 30 chrono devant un amas d’étudiants de Staps vautrés sur le parking au milieu de leurs bateaux et de leur mouillasse et reprenons le chemin de Florac par les pittoresques gorges de la Jonte. Nous faisons un crochet par le Mont Aigoual pour y admirer la vue et nous faire malmener le brushing (il y vente environ 300 jours par an). Notre habituel bistrot de Florac nous fournit notre ration quotidienne de houblon et nous écumons les rues à la recherche d’un restau (Daniel nous ayant fait faux-bond, personne n’est là pour assurer aux fourneaux) après quelques hésitations le choix se porte sur une petite pizzéria. Nous retournons au camp prendre une douche chaude dans le confort de notre mobil-home et propres et parfumés comme des slips de mariées nous nous attablons devant de superbes pizzas cuites au feu de bois suivies de glaces maousses. Nous buvons italien. Le restau est plein de touristes et de randonneurs sur le chemin de St Jacques de Compostelle.
Vendredi 18
Pliage, chargement et récurage du mobil home en un temps record et avec une précision TEVienne sous une pluie battante, cap sur le défilé des Ajustons sur le Lot pour une descente à la volée avant de remonter vers Rennes. Nous tâtonnons un peu trop en repérages et malgré un niveau d’eau correct nous renonçons, il se fait tard et la perspective d’un lever à 5h30 le samedi matin nous rebute un peu. Longue remontée facile, arrivée au club à 18h45. Déchargement et retour au bercail auprès de nos sages Pénélopes.
Demain nous allions à Bréhat pour accompagner notre copine dans sa « Voga Longa ». Bon vent Isabelle ! maintenant j’aurai encore plus envie d’aller faire le tour de Bréhat pour te faire un petit coucou, de même, chaque fois que je descends l’Ubaye, j’ai une pensée pour notre amie Anne Moloney qui y a perdu la vie il y a plus de 20 ans.
Bien à vous
François
Compte rendu de la sortie mer, Tour de Bretagne, Perros, les 12 et 13 mai 2012.
8 participants : Cristelle, Jean, Frécho, Hubert, Jean-Pierre, Bernadette (R1), Greg qui nous rejoint le matin à Plougrescant, et Thierry qui nous rejoint le soir à Trélévern.
Chargement au club à 9h30, départ à 10h du club.
En arrivant à la cale de Beg Ar Vilin de Plougrescant vers 12h, le vent est fort, la mer agitée au loin et un grand soleil. Un groupe d’une dizaine de kayaks de mer est en train de rentrer. Nous allons les questionner pour connaître l’état de la mer à la pointe du Château. En fait, nous sommes arrivés dans une cérémonie funéraire, dispersion des cendres et pose d’une plaque commémorative, suite au décès de Jacques Droniou, un membre éminent du kayak du département 22. La parking est plein et nous croisons beaucoup de têtes connues, Fred Castryck, Mich et Nagwa. Triste coïncidence juste le lendemain du décès d’Isabelle.
Pour ce qui est de notre randonnée, le vent de NE est un bon force 4, le courant est descendant, les avis sont partagés pour passer ou non la pointe du Château qui nous a refoulés l’année dernière. Les kayakistes du coin nous disent que çà va remuer mais que c’est faisable. Dans un premier temps nous optons pour la prudence mais notre Cristelle insiste pour nous convaincre de tenter notre chance, puisque la pointe est à 2 milles et que si c’est trop dur, nous pouvons faire demi tour. C’est donc d’accord, on partira d’ici après le pique-nique.
Nous embarquons vers 13h30, la navigation est facile dans la baie tant que nous sommes abrités de l’île Loaven, puis les vagues se lèvent, droites et rapprochées. Greg pense « que çà le fait largement ! » Bon alors on y va, Greg nous fait couper la pointe par des passes à cailloux qui cassent les vagues. C’est parfois impressionnant, mais c’est magnifique.
Passons au port de Buguéles, Port Blanc, Trévou-Tréguignec. Cristelle se laisse embarquer par une petite vague dans une passe sans eau et déssale. Pas de bobo sur les cailloux.
Cela fait 3 heures que l’on est sur l’eau et nous cherchons notre camping. Il est bien caché derrière la pointe de Trélévern, où nous le découvrons. Thierry est là à nous attendre avec le camion. Le portage est très court, super. Surprise au camping, nous sommes en Hollande……le camping est tenu par une Hollandaise et plein de Hollandais. Nous sommes les seuls Français. Mais l’herbe est verte, douce et accueillante, le camping est très bien tenu, il n’y a que le prix qui pèche.
Installation des tentes, manip, et apéro offert par Thierry qui arrose la naissance de son premier petit enfant Mattheo. L’enfant est arrosé copieusement au Sainte Croix du Mont……
Au souper bœuf bourguignon, pdt, salade, fromage et pommes.
Promenade digestive sur le sentier côtier, coucher de soleil et rayon vert, la totale.
Nuit étoilée sous les vrombissements des ronfleurs qui se relayent d’une tente à l’autre……
Dimanche matin lever 8h, pliage et manip. La manip entre Trelevern et l’Ile Grande est très longue, 1h15. Le temps est superbe et le vent est tombé. Quittons Trelevern à 10h45 et traversons la baie de Perros avec un petit courant contraire et nous rapprochons des granits roses de Ploumanach. Nous naviguons entre les blocs à marée haute dans les passes bien connues de Greg. Pique nique vers 13h à l’entrée du chenal de Ploumanach sur la plage de l’île du château de Costaérès. IDYLLIQUE. Puis navigation tranquille jusqu’à l’Ile Grande, Arrivons vers 15h30 à l’école de voile où nous attend le camion.
Remanip pour aller chercher la voiture de Thierry, et retour à Tizé.
Rinçages, rangements et comptes jusqu’à 19h15.
Camping 9,60€, bouffe 8€, transport 28€ pour 467km.
Ce fut un magnifique WE sous le soleil, le long d’une des plus belles côtes de Bretagne.
On reviendra.
Bernadette
Pendant que les tarnivores roulaient, nous dormions …
Départ 08h00 pour essayer d’être synchro avec l’équipe de Lannion. Opération réussie car quand nous sommes arrivé au barrage, Mich’ rentrait juste de la navette.
Première descente du barrage jusqu’à Treignac avec des fortunes diverses pour les lannionais. les baptèmes de la vézère peuvent être humides !!!
On en laisse 2 à Treignac et on continue jusqu’à Chingeat avec sécu active et les bains programmés ont bien eu lieu Goujonnière , Serpents, la totale quoi!
Camping de la plage et pates bolo sans embuches.
le lendemain on commence par une partie basse pour acclimater tout le monde. Rebelote pour certains (on a même loupé le trou du curé…).
Après un nique-pique avec les moustiques, descente de Treignac-Lapeyre. Bains habituels sont un d’un certain mister G.
Binouses à treignac en regardant la fin de la compèt puis au camping. TEV s’active aux fourneau.
Le Lundi la majeure partie de la rivière étant interdite, on décide d’aller sur la section Vigeois-Estivaux puis l’auvézère.
la section vigeois-Estivaux est une jolie balade classe II, II+ avec un superbe embarquement et une vallée très boisée.On l’a faite à 0.90 à la station de uzerche et c’est un peu juste , visiblement l’eau de treignac arrive vers 15h00 (1.10).
Nique pique au pont de comborm. Le CK Lannion déclare forfait pour l’auvézère en raison de l’heure.
TEV avale vite fait son sandwich rillettes et Hop c’est parti pour une balade dans le Limousin.
Les routes limousines ont raison de la remorque de marco et on retrouve les kayaks en vrac sur la route !!!. Mais il en faut plus pour nous arrêter. On recharge, on sangle la remorque et on finit par trouver l’auvezère à la forge de Savignac.
3.5 kms de classe III(4) avec surtout un superbe seuil de 3m.Niveau 1.56 à la station de Cubas. C’est le niveau mini. Avec 20-30 cms de plus ça doit envoyer !!!(1.80 le 22/05)
Super WE avec en prime la découverte d’une nouvelle rivière. Spécial remerciement au CK Lannion pour la logistique.
TEV : (Marco, Fecho, bertrando)
97 € : 15 € de nouriture, 11 € de camping, 6€ péage, 65 € transport (1090 kms)
Merci aux poloistes de nous avoir ouvert le club tôt le dimanche matin… sauf qu’au moment de partir… pas de clef pour fermer! merci Didier d’avoir vaillemment fait le nécessaire!.. Petit retard qui du reste a été bénéfique, puis qu’il nous a permis un RV très ponctuel avec notre invité du jour, ainsi que des retrouvailles avec notre ami local à Portivy. Partis pour faire le tour de la presqu’ile, celui-ci nous avertit : attention aux déferlantes, naviguez loin, très loin de la côte, et avec la houle, attention au mal de mer!! Eh oui, nous avons suivi à la lettre TOUTES ses remarques!!!.. si bien que, après avoir longé une côte sauvage magnifique, le soleil mettant en valeur grottes et arche (mais certes, ne pouvant l’admirer que dans le haut de la vague!!) notre enthousiasme a été freiné : nous décidons de débarquer sur la plage de Port-Maria… Heureuse, pour certaine, de mettre pied sur la terre ferme! Un petit coup pour trinquer aux retour des couleurs sur le visage pâle, un manip à pied, et tout le monde s’installe dans l’agréable maison des parents de marie à Kermorvan. Apéro dans le patio fleuri. Diner…végétarien (!) à l’intérieur, promenade nocturne vers Port-Haliguen, bain de minuit pour certaine…
Lundi, lever aux aurores , petit-déjeuner complet au lait de soja (!) (eh oui, tout s’innove, m^me à TEV!) pour assurer une longue manip à vélo, afin d’éviter trop de bouchons le soir. Départ de la plage de Port-Maria, grand détour, loin des déferlantes encore, vers le Conguel, (bien que certain ait choisi de couper court… et réussi!) avant de trouver le calme doux de la mer du côté baie… pour le plus grand bonheur de notre visage pâle! picnic…à Kermorvan (en fait, à 5 mn à pied de la maison!!), encore des fruits, chant, sieste au soleil. Rembarquement jusqu’à l’isthme en rase-cailloux pour certains, de balise en balise pour apprendre à se repérer sur la carte pour d’autres, admiration des petits villages bretons comprenant de temps en temps une architecture venue d’ailleurs… Même pas de portage, malgré la marée basse (merci les p’tits coeff!), débarquement au pied de la cale. Qq ralentissements sur la route, mais notre JeanPS national a su futer! retour club 20.00.
signé :Didier, Jean, Marrrrrryse, Myrrrrriam, Marrrrrie!
Samedi matin , 8h30, départ du club pour une sortie dans le Morbihan afin d’affronter l’Ellé et une éventuelle Isole (naviguable tous les 10 ans d’après Marco)
On se sépare en deux groupes , le premier, composé de François. Pa, Christelle, Jessica et Frécho (qui n’etait pas en retard ) , partira sur le Scorff par un bon niveau.
Le deuxième , composé de Marco, Patrick, JC, Youenn, Jérôme et François partiront eux de leur côté vers le Haut Ellé pour rejoindre leur compagnon Bertrand qui les rejoindra au débarquement.
A 11h, la descente de reconnaissance s’amorce avec Patrick, Jérôme, François, Marco et Youenn. Elle sera plutôt “tranquille” car il n’y aura aucun bain. On redescend des fous qui ont descendu la rivière en C2 gonflable.
On arrive en bas et c’est reparti avec une navette express vers l’embarquement, et une deuxième descente qui s’annonce avec tout le monde. Elle sera, quand à elle, un peu plus sportive due à un bain violent de Bertrand a Barrigant et une descente du bateau du début jusqu’à la fin et une récupération de bateau in extremis ( by Jérôme ) dans le dernier stop de la descente.
On reprend une troisième descente de ce magnifique haut éllé pendant que Bertrand remonte la rivière pour récupérer sa pagaie. Tout le monde ( sauf Bertrand et Patrick le navetteur) embarque donc et surprise, Marco le warrior se retourne à son tour dans le rapide de Barrigant. JC et Youenn parcourent donc une bonne distance tous les deux tandis que moi et Jérôme rattrapons le Java sous-marin. On le récupère apres une bonne trentaine de secondes bloqué dans le rapide de la pucelle et un ou deux virages après. JC et Youenn nous rattrapent tandis que les deux sauveurs de bateau s’accordent une petite pause. Marco nous rattrape, on réembarque en croisant Bertrand à qui on confie la pagaie que Marc a retrouvée lors de sa descente sur la rive. Nous finissons donc la descente par un ptit casse-croûte, à 13h45 il était temps !
Après un bon bourrage d’estomac, on met en place le projet Isole sur laquelle nous nous rendons. Après une petite demi heure de route et un ptit contôle de gendarmerie, on embarque sur l’Isole où il nous faut porter tout du long des 200 mètres qui séparent l’arrivée du départ. On s’aventure donc dans le maquis et on laisse Bertrand au milieu du rapide du “Chaos” et on monte jusqu’en haut. Après un peu de marche dans le maquis Morbihanais, Jérôme moi et Youenn ouvrons la rivières et nous postons en sécu en dessous du premier rapide. Fort heureusement nous étions là car le chef Patrick tombe et une récupération de bateau s’impose. Youenn se bloque dans un petit rappel, Jérôme ne le voyant pas lui rentre dedans et le débloque, il reste bloqué un petit peu a son tour et le bateau est récupéré quelques metres plus bas. Je reste en bas du rapide meurtrier avec JC et Marco(qui ont eux survécu) et Marco ouvre le rapide qui suit avec le rappel en question. Il reste dedans à son tour et du dessus nous pouvons voir son java qui vole dans tous les sens. Il s’en sort sain et sauf et c’est au tour de JC Hero. Il descend un peu trop prudemment et se fait voler sa stabilité à son tour. Il baigne donc après quelques rencontres caillouteuses et on récupère le Hero et son occupant sains et saufs eux aussi.
Au bilan de la journée, une journée fatiguante, éprouvante, mais quand l’eau est là ça fait du bien ! Une chandelle du diesel 65 de Bertrand perdue, une reserve vide qui trainait dans le bateau de Marco aussi. Et trois jeunes qui eux n’ont pas baigné… Aha !
On va cependant garder un souvenir ému de cet haut éllé qui passait à travers champs, et à la prochaine, on sera là !!
A la prochaine sur l’eau, François Jackson Point.
6 teviens 2 touristes pédestres. 10 euros
Jonction sur la plage des Longchamps avec Bertrand
Les vagues (+ 1m) sont au RV le vent de SO est F4 peu gênant.
Les inazoneurs se font rouster sévère sur leurs premiers surfs (on les avait pourtant prévenus que ça enfournait dur).
Au bout de 3/4 d’heure l’effet decendante se fait sentir : les vagues diminuent et les séries s’espacent un peu, mais ça reste bien agréable.
Nous sommes rejoints par Olivier Faguet, le local de l’étape qui nous fait une belle démo. Quand la marée basse ferme l’entrée vers 14h30, nous sortons .
Chocolat chaud au bistrot, retour, rinçage et collation au club.
Patrick
Go West young man!Lundi 9 juillet 9h
Entassement dans le camion de Pascal Lebée et route pêche vers Morgat, embarquement après un rapide sandwich et cap sur le cap de la chêvre, exploration des grottes sous une météo mitigée mais avec peu de vent. Arrêt goûter aux escaliers de Men Cos peu avant le cap et retour avec un petit vent portant. Installation au camping des Bruyères sur la route du cap et popote confortable au chaud et au sec dans notre mobil home.
Mardi 10
Courses puis transfert vers l’anse de Dinant, embarquement sur une mer de plus en plus clapoteuse,
picnic à l’anse de Pen Hir et café dans un bistrot pour laisser passer l’averse puis séquence émotion au passage de la pointe de Pen Hir en naviguant entre les tas de pois. La mer est assez musclée mais maniable et nous nous régalons du spectacle. La mer se calme après la pointe du Toulinguet et c’est une fin de randonnée tranquille qui nous amène à Camaret, son port, ses filles. Pascal part faire la manip puis après une boisson diététique de l’effort bien méritée nous rentrons au camping où Maryse nous concocte un poulet aux épices selon une recette de sa belle-maman de Pondichéry.
Nous faisons un sort aux divers apéros en attendant l’arrivée de Florence, la charmante compagne de Pascal. Une goutte de rhum arrangé nous envoie ensuite dans les bras de Morphée.
Mercredi 11
Le temps est frisquet mais nettement moins pluvieux que ce que nous craignions et nous attaquons la troisième branche de la croix de Crozon: la presqu’île de Quélern. Nous laissons la voiture de Florence cale de Quélern, coté rade et nous embarquons dans l’anse du Pouldu en face de Camaret coté mer. Petit vent de force 4 et mer un peu hachée mais maniable. Nous admirons les grands voiliers qui rentrent dans le goulet pour venir participer aux rencontres de Tonnerre de Brest. Tout se passe bien jusqu’à la pointe des Capucins à l’entrée du goulet car la marée quoique de petit coef descend et la rencontre du vent contre le courant sur un plateau rocheux lève des vagues maousses avec un peu d’écume au sommet de certaines. Nous nous décalons petit à petit vers le milieu du goulet pour échapper aux vagues les plus grosses et chacun s’efforce de garder son cap et son calme. Didier aurait préféré son gros Miwok au petit Shoreline qui danse sur les vagues, Maryse me suit courageusement sans montrer de signes de panique. La situation se calme après la pointe de Cornouailles et je peux envoyer la voile pour un bord sympa jusqu’à la pointe des Espagnols. Nous virons ensuite dans la baie de Roscanvel et une petit plage nous accueille pour un picnic et une petite sieste juste troublée par une petite ondée. Nous reprenons la route vers Quélern en faisant le tour d’un vieux grément anglais et nous nous agaçons du ballet des hélicoptères de la marine en pleines manoeuvres. Nous voyons même deux gus suspendus 20 mètres sous la carlingue se faire transbahuter sur des km avant de se faire plonger dans les eaux de la rade. Les Spountz peuvent attaquer, nous serons prêts! Débarquement, mini navette, retour au camping et départ pour une rando pédestre sur la lande depuis l’anse de Dinant vers les Tas de Pois. Même le plus insensible des béotiens ne pourrait résister au charme du paysage: le mauve de la bruyère et le jaune des pétunias (chuis nul en botanique) forment un tableau magnifique. Retour juste à temps pour l’apéro et une petite choucroute de la mer.
Jeudi 12
La vox populi ayant décrété que les émotions « çà suffisait comme çà » et le temps étant ce qu’il était: bouché et humide, la troupe après récurage du mobil home s’en fut au fond de la rade pour embarquer dans le charmant petit village de Landévénnec et remonter l’Aulne pour une promenade romantique. Au détour d’une boucle de la rivière nous tombons sur les carcasses amiantées et rouillées de quelques fiers destroyers et avisos de notre marine qui attendent un improbable démantèlement. Enki Bilal nous ferait certainement des dessins saisissants de ce lieu. Nous admirons ensuite le nouveau viaduc courbe de Térénez avant un rapide picnic et un retour sous la pluie qui n’allait pas nous quitter jusqu’à Rennes. Débarquement vers 14h, chargement, pillage de quelques hortensias par Maryse et long retour humide par le Nord. Arrivée 17h 30, déchargement,
Les kayaks ont déjà été rincé sur la remorque, petite bière finale pour faire les comptes et retour au bercail.
Les protagonistes: Maryse, Pascal « Polyf » Lebée, Florence, Claude, Didier et son shoreline neuf, François R1.
Transport 38€
Logement 37€
Nourriture 40€