Compte rendu des sorties 2018

Tous les compte-rendus des sorties, les niveaux d'eau requis pour les rivières, à lire et à relire au coin du feu.
Alain
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Promenade "Pépère" Anglo Normandes 14 au 20 aout

Message par Alain »

Donville – Goury via les îles anglo-normandes. 1er essai

Fort de plusieurs expériences au cours desquelles il a rallié toutes les îles anglo-normandes depuis le département de la Manche, Bertrand décide de proposer une randonnée ralliant Donville (à coté de Granville) à Goury, en passant par les îles anglo-normandes se trouvant sur le chemin (Chaussey, Les Minquiers, Jersey, Sark, et Alderney).

Lundi 13 Août 2018
Rendez vous le soir chez Bertrand, pour Patrick et moi même.

Correction marée St Malo / Anglo-normandes (Source : Almanach du marin breton, 1995)
Granville : Pleine Mer : + 0h10 (Vives Eaux et Mortes Eaux),
Basse Mer : +0h25 (VE), + 0h20 (ME)

Les Minquiers : PM : +0h11 (VE), +0h36 (ME) ;
BM : +0h00 (VE), +0h20 (ME) ;

Jersey (Saint Helier): PM : +0h14 (VE), +0h25 (ME) ;
BM : -0h03 (VE), +0h11 (ME) ;

Carteret: PM : +0h25 (VE), +0h35 (ME) ;
BM : +0h20 (VE), +0h35 (ME) ;

Guernesey (Saint Peter): PM : +0h26 (VE), +0h25 (ME) ;
BM : -0h11 (VE), +0h13 (ME) ;

Alderney (Braye): PM : +0h54 (VE), +1h15 (ME) ;
BM : +0h22 (VE), +1h16 (ME) ;
Les horaires de marée donnés plus bas sont les horaires de Saint Malo non rectifié.

Mardi 14 Août 2018 PM : 10H12 St Malo coef 107 BM: 17h11.
Donville – Les Minquiers
Départ de chez Bertrand à 7 heures, pour arriver à Donville à 8 h 25, où nous attend Yves, qui découvre le bateau qu’il va partager avec Patrick, le K2 du club, équipé de sa nouvelle voile. Il a du faire des infidélités à son Bélouga, mais Patrick pour ménager son épaule, tenait absolument à l’assistance éolienne. Pour les autres, c’est K1.
Premier coup de pagaie pour la traversée vers Chausey à 9h30, soit 48 minutes avant la Pleine Mer (toujours par rapport à Saint Malo).
Arrivée sur un îlot rocheux tapissé d’algues, au nord de Chausey à 13h, où nous nous restaurons rapidement pour repartir 0h30 plus tard, en direction des Minquiers, que nous ne voyons pas.
Cette île relativement basse est surtout visible de loin par gros coefficients et par basse mer. Elle n’est pas habitée quotidiennement, et lorsqu’elle l’est, l’Union Jack affiche les couleurs sur son mat. En général par beau temps et grands coefficients, quelques privilégiés, descendants des premiers occupants profitent de cette occasion pour pêcher.
Le reste du temps, l’île n’est habitée que par une importante colonie de goélands marins et argentés, et quelques autres espèces, elle est d’ailleurs classée « Réserve RAMSAR ».

Nous y arrivons à 17h15, après 7h15 de navigation pour environ 43 km parcourus, sans avoir rencontré de bateaux.
Trois malouins en virée de célibataires nous accueillent, Patrick se propose de les prendre en photos, en échange de la réciprocité. Ils nous avouent qu’il ne leur a fallu qu’une heure de Saint Malo pour arriver là, avec leur bateau à moteur. Ce qui nous fait penser que vu le peu de temps passé à Chausey, il pourrait être intéressant de partir de la pointe de la Varde (à coté de Saint Malo) pour gagner 2 heures de navigation, mais sans pause pour se dégourdir les jambes.
Après avoir demandé l’accord à deux autochtones, nous nous installons, trois tentes ça va, à partir d’une dizaine cela poserait problème.
Un zodiac chargé d’une dizaine de touristes débarquent et visitent l’îlot en cinq minutes et repartent.
Nous proposons à nos hôtes de partager notre dessert, un kouign aman accompagné de vin. L’ensemble voyage très bien en kayak. Nos invités arrivent à cinq avec une bouteille de vin australien. Ils sont tous à la retraite, habitent Jersey, étaient banquiers, avocats ou haut fonctionnaires et parlent tous très bien le français, et nous passons une agréable soirée. Nous faisons la publicité de Sark, que certains ne connaissent pas.
Dans la conversation, je m’intéresse aux mammifères que nous sommes susceptible de rencontrer, mon interlocuteur me dit qu’il est possible de voir des phoques, que j’ai moi aussi déjà vu précédemment, mais qu’il n’y a pas de dauphin. Mais on peut les voir entre Jersey et les Ecréhous.

Mardi 15 Août PM : 10h53 coef 98 BM : 17h49
Les Minquiers - Jersey
Départ à 9h30 . Un ressac assez important rend l’embarquement sur la cale assez délicat. Nous aidons le K2 à partir. Nos hôtes nous aident en maintenant la pointe arrière de nos kayaks, ce qui nous a bien aidé.
Nous ne croisons aucun bateau avant Jersey, et très peu après.
Nous arrivons à 14h15 sur une plage après la jetée de Sainte Catherine Point Break, où nous trouvons six kayakistes Jersiens qui ont fini de manger. La rencontre est très sympathique, mais en anglais cette fois. Ils nous indiquent leur spot de bivouac privé (49 degré 15.017 minutes, 2 degrés,05.362 minutes), mais ouvert aux kayakistes étrangers, nous demandent si nous connaissons certains kayakistes français, Patrick en connaît certain. Et ils nous invitent à la rencontre internationale qu’ils organisent en mai. Il est possible que nous les rencontrions un jour en Bretagne.
Ils nous quittent, et nous mangeons en prenant le temps. Vers 16 h, nous repartons, après que j’ai lesté mon « Shore Line » de quatre galets dans la pointe arrière, pour le rendre moins ardent (pointe avant qui remonte au vent).
Comme prédit la veille, une bande de dauphins est au rendez vous, l’un d’eux longe mon kayak à 1,5 m de moi, et prennent la pose pour les photos. Ils sont toutefois moins intéressés que les kayakistes, et les photos s’en ressentent.
Nous arrivons au port de « Bonne Nuit », le bien nommé, à 17h40, après avoir parcouru 35 km. Nous apercevons quelques kayaks sur des voitures, qui partent à notre arrivée.
Je répare mon kayak qui a un peu souffert lors du transport sur la remorque (dos d’âne), et qui prend un peu l’eau, grâce au matériel de Bertrand (Sikaflex) et d’Yves (Scotch), qui ont tirés les leçons d’une mésaventure survenue lors d’un séjour précédent sur cette île.
Bertrand part faire son footing pour repérer le point de bivouac indiqué, que nous n’avons pas vu.
Nous l’attendons au « Beach Cafe », l’unique lieu de restauration, qui est un restaurant thaïlandais, ne vend pas d’alcool, mais autorise que l’on l’apporte. Nous prenons donc un thé, avant de nous restaurer une fois que Bertrand revient. Il a trouvé le point de bivouac, avec un point de débarquement très discret, mais qui peut accueillir une vingtaine de personnes.
Les conditions météo pour les jours suivants ne sont pas favorable à la poursuite du trajet initialement prévu. Elles sont juste suffisantes pour le niveau technique du groupe, pour envisager un retour sur Carteret, avec des vagues de 1 à 2 m sur la fin du voyage. Patrick prévient Monique, qui doit modifier son programme pour venir nous chercher.
Nous montons les tentes à la tombée de la nuit.

Jeudi 16 Août 2018 PM :11h30 coef 85 BM:18h24
Jersey - Carteret
Nous démontons les tentes à 7 heures, pour embarquer vers 9h30.
Nous nous laissons porter par le courant au sud des Ecréhous, avec des pointes entre 13 et 15 km/h pour la première partie. Par la suite nous rencontrons une houle croisée avec sur la fin des creux, qui parfois font disparaître de vue le K2 et sa voile. Nous rencontrons un zodiac avec des plongeurs (?) et quelques pécheurs, Patrick fait un signe du pouce pour leur signaler que contrairement aux apparences, tout va bien. Mais qu’il n’en faudrait pas plus, même si nous avons connu pire.
Nous voyons la digue de pierres qui marque l’une des rives du fleuve de Carteret, mais ce jour nous constatons qu’il faut frôler la balise rouge et blanche, à prendre à droite.
Après un dernier effort, nous sommes à l’abri à 14 heures, après 4h30 de navigation pour environ 35 km.
Nous arrivons sur la cale, où un jet d’eau douce nous attend pour nous doucher et rincer notre matériel, malgré le début de pluie qui commence à tomber.
Nous attendons Monique, notre navette, au restaurant pendant qu’il tombe des cordes, la pluie s’est arrêté juste avant son arrivée. Finalement la météo était avec nous.

Yves a apprécie la voile sur le K2, sans elle j’étais devant, avec j’étais derrière. Il faudra juste revoir l’étanchéité des trappes. Ma réparation de fortune m’a assurée une étanchéité parfaite.

En trois jours, nous avons fait environ 113 km car l’endurance et la technicité du groupe l’autorisait.
Les conditions météo du début du mois d’Août aurait été plus favorable pour la réussite du projet, néanmoins rendez vous est pris l’année prochaine pour retenter l’expérience.
Un minimum d’endurance est demandé, mais le groupe peut s’agrandir un peu, huit au maximum. Avis aux amateurs

On en parle dans ce sujet.

Résumé en photos
pchauvel
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7 îles 02 9 18

Message par pchauvel »

7 pagayeurs dont un invité + une marcheuse. 22 €

Arrivée Ploumanac’h 10h15 , jonction avec bertrand, rencontre avec les Duc, venus voir une expo de peinture. Du coup, ils emmènent notre marcheuse.
Premier coup de pagaie 11h15. Arrivée à hauteur de l’île aux moines 12h après avoir vu une compagnie de dauphins.
Tour de l’île plate. Pique nique, balade pédestre sur l’île aux moines.
Nous rembarquons avant 14h, direction Rouzic. Le jusant est déjà bien établi, il faut pagayer énergiquement. Nous voyons plusieurs phoques qui font du gras sur les caillous.
Nous passons au Sud de Malban pour ne pas prendre trop de courant. Le dernier bac vers Rouzic se passe bien. Nous contournons par le sud. La côte Est est battue par le vent et le ressac rend les manœuvres délicates dans les caillous. Nous arrivons néanmoins au pied de l’arche sans encombres.
C’’est la traversée retour plein sud. Nous avons prévu de passer à l’Est de la bouée des Devrinis. Le violent courant au Nord nous oblige à nous battre pour réussir. Après c’est plus calme. Les voiles avant des K1 sont très efficaces et plus agréables que les voiles arrière.
Nous mettons 1h pour arriver sous Méan Ruz, soit un très bon chrono..
Débarquement, goûter, dispersion. Arrivée club 20h.

Très belle journée de kayak.

Patrick

PS : les petits sont d’abord blancs puis noircissent quand ils sont prêts à voler.
http://www.oiseaux-birds.com/fiche-fou-bassan.html

Aperçu photos
françois
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Norvège 2018

Message par françois »

Norvège 2018 – 14 au 23 août.

J’avais beaucoup apprécié Peter et Armelle, animateurs de canad.be lors d’une petite descente de l’Allier à la suite de l’Open Canoë Festival il y a quelques années. Par la suite, j’avais pas mal lorgné leurs propositions sur le web pour des séjours canot-camping en Norvège, et cette année je décidai de franchir le pas. Jean-Raymond avait accepté de m’accompagner pour former un tandem et c’est ainsi que mardi 14 août, nous nous retrouvâmes autour d’une bière à l’aéroport d’Oslo. Il venait de Paris et moi de Copenhague où j’avais laissé ma blonde chez une amie au nord de la Zélande.

On s’installa dans le bus pour Trysill et ce furent deux heures de route au milieu des sapins en compagnie de Maurilio, jeune thésard transalpin basé aux Pays-Bas qui complétait l’équipe.

Armelle, Peter et Steijn de Canad/Norway outdoors nous attendaient au pied du bus ainsi que Dimitri, alsacien féru de bushcraft et quatrième stagiaire. Repas dans un bistrot local puis on enquilla une petite heure de route avec vision au crépuscule de deux magnifiques élans (les seuls que nous vîmes pendant tout le voyage).

Nuit réparatrice dans un petit chalet, puis au réveil un superbe petit déjeuner de harengs et de fromages bizarres avant de préparer nos bidons, filmés par un vidéaste chargé de la promo de Canad. On chargea tout notre matos ainsi que d’imposantes glacières Coleman sur la remorque, et en une petite heure de route, nous fûmes à pied d’oeuvre sur les rives du Lac Femunden. Au départ, nous devions descendre une rivière en Open Canoë mais les niveaux d’eau très bas de cet été caniculaire nous avaient obligés à changer nos plans, et ce serait donc 5 jours de lac en Open, puis 3 jours de rivière en gonflables.

Le vent qui soufflait fort allait se charger de rompre la monotonie d’un voyage en eau calme. Les bateaux une fois chargés, nous mettons le cap sur une petite île pour un pique nique nichés au creux de la mousse. Le vent ayant forci et des creux imposants s’étant formés, Peter nous fit mettre le cap sur une deuxième île, en plein milieu du lac, et en un tour de main, il transforma les deux Canyons en catamaran grâce aux espars, sangles et bouts divers dont il s’était muni. La plateforme ainsi formée était devenue insubmersible et l’on hissa la voile. On atteignit facilement les 8 km h selon le GPS de Steijn. En milieu d’après midi, le bivouac fut atteint et on installa le camp : tarp pour la cuisine et feu de bois, tipi pour les uns et hamac pour les autres. Bon dîner de spaghetti bolognaise au tofu, puis on s’installa pour la nuit, en cherchant à compenser au mieux les inégalités du terrain constitué de mousse enrobant de gros blocs de pierre laissés par les glaciers.

Jeudi 16 août
Après un super petit déj et un déplantage tranquille, on remit le catamaran à l’eau et poussés par un bon 4 Beaufort, nous naviguons jusqu’au pique nique, que nous prenons à l’abri d’un des rares petits ports du lac. L’après-midi, le vent ayant forci, c’est sans voile que nous continuâmes à faire route jusqu’à un autre bivouac de rêve. Excellent dîner de champignons cueillis sur place, de falafels végétariens, suivis de brownies arrosés de crème anglaise. Fatigués par cette journée ventée, chacun gagna son duvet de bonne heure.

Vendredi 17 août
Démontage et démarrage cool. Le vent souffle toujours fort mais nous démontons le catamaran et chacun se débrouille avec son équipier. Le canot essaie parfois de partir au surf et le léger différentiel de poids entre Jean-Raymond à l’avant et moi rend le redressement parfois difficile. Au déjeuner, Peter nous conseille d’ajouter du lest et nous chargeons environ 10 kg de pierraille à l’arrière : le canot file maintenant parfaitement droit dans les vagues et nous nous amusons beaucoup. Nous atteignons un bivouac somptueux au pied de la montagne et Peter nous confectionne une ventrée de crêpes pour le goûter. Au dîner, c’est ragout de soja et céleri, accompagné d’une purée au lait de coco et d’airelles.

Samedi 18 août
Croquemonsieur au coeur de renne fumé pour le breakfast : excellent !
Le temps est exécrable avec beaucoup de vent et de la pluie : donc aujourd’hui, c’est rando en montagne. On prépare son pique nique dans des boites en plastique et on part sac au dos en suivant Peter. Ici point de sentiers balisés, mais des paysages superbes : mousses aux couleurs variées, lichens divers, bruyères, bouleaux, pins. Plein de traces et de crottes, mais hélas les élans, rennes et autres gloutons ne se montrent point. Retour en milieu d’après-midi pour un goûter bien mérité. Petite sieste de fin d’après midi et dîner de bonne heure car demain on démarre tôt pour échapper au vent. Un curry au crabe accompagné de riz nous cale pour la nuit.

Dimanche 19 août
Premier coup de pagaie 9h15, le vent est tombé et JR est à la barre. Nous remontons jusqu’à la tête du lac et nous atterrissons dans un petit port : un ponton et quelques maisonnettes en bois. Nous piqueniquons au soleil en faisant sécher le matos, en attendant l’arrivée d’Armelle qui va nous navetter jusqu’à la rivière. Voyage pittoresque par une route en terre pour regagner notre camp de base et y échanger nos canots rigides contre des gonflables de chez Gumotex. On refait aussi le plein de la cambuse et on repart pour trouver un coin de bivouac au bord de la rivière. On s’installe dans un lieu enchanteur en aval d’un gros rapide que nous ne franchirons pas. Peter nous régale d’une soupe de cerfeuil et d’un couscous aux figues. Il sort même d’un bidon une bouteille de vin rouge pour fêter son anniversaire.

Lundi 20 août
Armelle nous a quittés discrètement au petit matin au volant du camion et la remorque. Chargement des gonflables : 2 biplaces et 2 monoplaces pour nos guides ,afin de pouvoir embarquer tout le matériel. Nous chargeons même quelques bûches pour le feu du soir. Petit briefing de sécurité et c’est parti ! Les gonflables sont très agréables à naviguer et nous négocions sans problème les petits rapides qui se succèdent. Ils ne sont pas très difficiles car le niveau est bas, mais demandent quand même un peu de technique.
Après le pique nique, la rivière se calme mais les paysages sont toujours très beaux. Le sentiment d’isolement est un peu moins grand que sur le lac, car une route en terre longe la rivière et ,de temps à autres, nous apercevons une habitation. Peter essaie de nous trouver un bivouac vraiment sauvage, cela s’avère un peu compliqué et nous remontons quelques centaines de mètres à la cordelle pour nous installer près d’un abri coupe vent et de toilettes sèches. Pour la première fois du trip, le sol est vraiment plat et l’installation des matelas est facile. Dîner : soupe de crevettes, fricassée de champignons frais cueillis du jour, purée au lait de coco et épinard, accompagnées d’oeufs mollets. En dessert : des gaufres (Belgique oblige).
La nuit est froide et le lendemain matin, les chaussettes mouillées sont bien cartonnées. Mais le soleil du matin nous réchauffe.

Mardi 21 août
La rivière devient paisible et s’élargit même pour former un lac. Il fait chaud et nous nous arrêtons pour un long pique nique au soleil. En milieu d’après midi, nous faisons une pause sur une petite île qui pourrait être un bivouac de rêve mais il est un peu tôt et nous poursuivons jusqu’à l’entrée des rapides où nous établissons notre dernier camp. Nous allons à pied repérer le premier rapide que nous franchirons le lendemain : on frise le IV et des blocs coupants et peu engageants parsèment le passage. Ces blocs résultent de l’utilisation de dynamite pour permettre aux trains de bois flottés – qui autrefois descendaient la rivière - de passer plus facilement. Excellent dîner de pâtes à la crème de poireaux accompagnées de champignons et de maquereaux en boîte.

Mercredi 22 août
Réveil avec un vent fort. Démontage du tipi juste avant la pluie et petit déjeuner sous le tarp. Steijn s’active à la Kelly kettle pour produire plein d’eau chaude pour le petit déj. Peter a prévu de nous faire passer les rapides sans les bagages et rendez-vous a été pris avec Armelle pour les charger sur la remorque ; à l’heure dite la VHF de Peter grésille et nous apercevons le camion et la remorque sur l’autre rive. Nous traversons la rivière, fort large à cet endroit. Nous nous délestons de nos bidons divers et c’est allégés que nous allons repérer le premier rapide. La rive droite semble offrir la meilleure ligne et nous tentons de mémoriser les passes. Peter fait équipe avec Dimitri et se met à l’avant pour envoyer le bateau dans les bonnes passes. Passage impeccable, puis il se met en sécurité, et Jean Raymond et moi remontons à pied jusqu’au bateau. Nous sommes bien concentrés et tout se passe bien jusqu’à ce que je fasse une petite erreur qui nous envoie taper un rocher. JR est un peu déséquilibré mais on se remet dans la bonne ligne et on termine le rapide avec les honneurs. Steijn et Maurilio passent à leur tour sans problème. Nous continuons la descente encore un peu, franchissons un autre curieux rapide en S et quand nous apercevons un gilet fluo, accroché à un arbre, nous nous arrêtons : c’est la fin du trip ! Nous remontons les gonflables jusqu’à la remorque, nous nous changeons et pique niquons sous un grand tarp à l’abri de la pluie qui tombe dru. Nous regagnons notre camp de base pour une douche chaude, quelques bières fraîches revigorantes et un dîner servi à table par nos hôtes norvégiens. On finit nos sacs et au dodo avant un lever à 6h pour prendre le bus scolaire qui, en une heure, nous transportera à Trysill. Nous avalons un café à la station service avant d’embarquer dans le bus express qui nous conduira à l’aéroport. Déjeuner de poisson dans un des restos de l’aérogare puis chacun doit gagner sa porte d’embarquement : qui pour Amsterdam, qui pour Paris, qui pour Stuttgart, qui pour Copenhague. Je suis le premier à m’envoler pour retrouver ma blonde et poursuivre mon périple dans les pays du nord.
Au final, un excellent trip dans une ambiance conviviale, de beaux paysages, des guides au top, et une logistique impeccable (j’ai une petite expérience en la matière), des repas gastronomiques. Si vous êtes tentés, allez jeter un coup d’oeil sur leur site : canad.be

François Parigot
“Everyone must believe in something. I believe I'll go canoeing.”
Henry David Thoreau
pchauvel
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Cote N 13 9

Message par pchauvel »

4 teviens, 0 maquereau, 0 lieu , 0 dorade mais une belle après midi de kayak entre l’île des landes, les rimains et le rocher de Cancale.
Il faisait beau, un 3 bft gonflait gentiment nos voiles. On était bien.

Patrick
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bernadette
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Re: Compte rendu des sorties 2018

Message par bernadette »

Bonsoir à tous,

Belle sortie au Ehbiens aujourd'hui, ciel voilé, petit vent léger, pas de mer; Très bonnes conditions pour une reprise.
Chargement au club à 10h pour 12 participants. Départ 10h30 du club. Retrouvons le reste du groupe venu directement à la plage du Port Hue à Saint Briac avec leur matériel.
Départ de la plage à 12h15. Passons entre l'ile Agot et la terre, puis allons contourner l'ile des Ehbiens par le nord en profitant de la marée haute. Après une heure de navigation, arrêt pique nique sur la plage de l'Ouest. Puis bain, sieste, ou balade sur l'ile. Réembarquement à 14h30, pour une partie de rase cailloux jusqu'à la pointe nord des Haches., puis direction l'ile Agot que nous longeons par l'Ouest tout près de la côte. arrivée à 15h45 à la plage de port Hue. Exercices d'esquimautage et de récupération. En tout nous avons fait 10km de kayak.
Cidre ou jus de pomme après le chargement, sous un grand soleil, retour au club vers 18h, pas de bouchons!

15 participants : Cristelle, Henri, Claude, Jean, Christian, Mathieu, Patrick, Victor, Bernard, Frecho, Jean-Pierre, Bernadette R1.
Nous ont rejoint sur place Maryse et Didier, ainsi que Dominique.

Véhicules : BBR et grande remorque, Espace Ducouret et petite remorque.
175km, 11€/personne transportée. solde de 88€ pour le camion.

Les Ehbiens, c'est toujours aussi beau, on ne s'en lasse pas!
A bientôt sur l'eau
Bernadette

Le lien vers les photos d'Henri
pchauvel
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Traverseine 2018

Message par pchauvel »

10 participants TEV, renforcés par 5 malouins s’étaient motivés pour la Traverseine. Nous avons profité de notre « taupe » au sein de l’ASM, le club de Mantes la Jolie pour enrichir cette virée parisienne de deux belles balades sur la Seine en aval. En effet France et Yves s’étaient proposés de nous accueillir dans leur Club l’ASM et de nous organiser une nav sur Mantes la Jolie le vendredi après midi et de nous faire découvrir l’île du Platais le samedi matin.
Nous sommes donc partis vendredi vers 9h30 de Rennes et avons roulé en direction de Mantes par l’A84 et l’A13 jusqu’à Mantes où sommes arrivés vers 15h. Visite du club et embarquement pour une virée vers l’aval : passage sous le vieux pont, traversée vers le bras vif, descente de l’île l’Aumône avec un vent de3 à 4 bft dans le nez qui rendaient la navigation tonique. Nous rejoignons une petite île, le Morteau que nous contournons avant de retrouver le bras mort où le vent nous pousse jusqu’au club. Nous décidons de remonter vers l’amont où l’ambiance est beaucoup moins bucolique et beaucoup plus industrielle puisque nous remontons jusqu’à la centrale de Porcheville Nous débarquons vers 18h. Le temps de se changer et c’est apéro / BBQ sur une table en bord de Seine. Il fait doux et c’est très agréable. Nous échangeons avec les membres du club dont le président, pendant que les jeunes athlètes sillonnent la Seine devant nous dans leurs bateaux de course en ligne.
Nous nous couchons assez tôt car nous avons une grosse journée le samedi.
Lever 6h30, pour décollage à 8 h de Mantes-la-Jolie. Nous embarquons à 9h30 pas loin du pont ancien de Poissy. Nous nous engageons dans le bras mort, longeons les îles de Migneaux et de Villennes dans une ambiance très bucolique, croisons des avirons, des kayaks, voyons force hérons, cygnes, martins – pêcheurs… Puis nous rejoignons l’île du Platais que Stéphanie avait prévu de nous faire visiter. Cette île a une histoire particulière puisque propriété d’Emile Zola un moment, elle a été achetée par deux médecins qui en ont fait une espèce de phalanstère hygiéniste « Physiopolis » dans les années 20. C’est là que serait né le maillot de bain deux pièces, ancêtre du bikini. On y pratiquait aussi le nudisme. Un ami de Stef nous guide sur l’île. Nous voyons divers vestiges architecturaux : la piscine de plein air, les petits préfabriqués où s’installaient les hôtes de Physiopolis…. Nous finissons la visite par un repas dans la guinguette de l’île où nous sommes très bien accueillis ainsi qu’abreuvés et restaurés pour un prix modique, le tout mené tambour battant car notre timing est très serré. En effet nous devons déposer nos bateaux avant 17 h au quai d’Austerlitz où se fera le départ de la Traverseine. Nous rejoignons donc Triel sur Seine en pagayant énergiquement pour faire la digestion. Débarquement et chargement de la remorque sont expédiés et nous prenons la route vers 14h. Ça se gâte sur le périph, nous rejoignons vers 16h le quai d’Austerlitz pour les maréchaux. Bébert n’était jamais entré dans Paris.
Le stockage des bateaux est un peu délicat et il faut veiller à ce que nos beaux kevlar / carbone ne soient pas aplatis sous la masse des autres bateaux. Nous repartons ensuite vers l’île de Sèvre. La Tekno parade défile sur la rive Nord de la Serine : tous les ponts sont fermés et c’est le gros bazar. Nous rejoignons tant bien que mal notre destination à 18h.
Montage du camp, visite du village, briefing, BBQ. On se couche tôt car le lendemain il faut être debout à 5h pour être dans les cars de navette à 6h. L’embarquement des 500 et quelques pagayeurs dans 300 embarcations sur deux pontons assez courts est compliqué mais « c’est pas si pire » comme disent les Québécois puisque c’est avec 10 min seulement de retard que le départ est donné à 8h10. Sur la rive nord, dans le ponton du quai de la Râpée, , les teufeurs amusés de la Tekno parade regardent le départ de la course, c’est un choc de cultures, celle de la nuit et de la fête avec les sportifs qui se sont levés tôt pour être sur l’eau à 8h. Le départ se fait sous leurs applaudissements.

Nous arrivons assez vite sur l’île St Louis, longeons par le Nord l’île de la Cité. Ceux qui ont pris le parcours Compétition en feront le tour.

Puis c’est le Louvre, Orsay,

Le pont Alexandre III avec le Grand et le Petit Palais. Nous arrivons au pied du zouave du pont de l’Alma.

de la tour Eiffel

Là nous retrouvons un vent de 4 bft pleine face qui fait souffrir tout le monde mais particulièrement les SUP les moins aguerris.

Nous quittons le cœur historique de Paris et continuons le vent dans le nez rive droite jusqu’à la sortie de Paris où nous changeons de rive. A Paris on vote à gauche mais on navigue à droite, dans le 92, on vote à droite mais on navigue à gauche.
Nous longeons l’île Saint Germain puis l’île Seguin dont Sam et Peggy feront le tour, es qualité de compétiteurs. Nous arrivons à la base de l’île Monsieur au terme de 15 km pour les inscrits loisir et de 18,5 pour les inscrits compète. Pour les amateurs de chiffres, les inscrits loisir sont passés sous 36 ponts et les compétiteurs sous 43 !

Débarquement, chargement, pliage du camp. Nous allons pour le repas dans le grand bâtiment de la magnifique base nautique.
Il y a du retard puisque la remise des prix n’a pas eu lieu et ça dure. Il y a en effet beaucoup de catégories masculines et féminines, divers challenges, biwok… manque juste, on se demande pourquoi, un challenge épicène.
Nous finissons par passer à table. La paella est copieuse et c’est vers 14h15 que nous quittons les lieux pour rouler vers Rennes. Arrivée au club 18h.
Bilan financier : 78 € (48 de transport pour 805 km et 30 de nourriture et de péages) auxquels s’ajoutent les 48 € de frais d’inscription, de camping et de bivouac et de repas et 23 € de guinguette soit 149 € pour se faire de beaux souvenirs. Solde pour le club 312 €.
Ont participé : PL, SG, PC, TH, FP, SC, LB, DC, CH, FL + 5 amis malouins CM, YC, AR, OC ainsi que DL bien connu de nos services.
Remerciements réitérés à France et Yves ainsi qu’à l’ASM CK pour leur accueil et à Stef pour sa préparation de notre visite de l’île du Platais..
Photos : Stef https://drive.google.com/drive/folders/ ... sp=sharing
Thierry https://drive.google.com/open?id=1S5IWn ... _ooPJ67QYH
Les résultats : https://traverseine.fr/pages/results.php?year=2018 .
Dernière modification par pchauvel le lun. 22 oct. 2018 10:37, modifié 1 fois.
françois
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Hébiens 4 octobre 2018

Message par françois »

Attention n'abimez pas l'esthétique de Tizé!!!! c'est ainsi qu'un "auboutduplongeoirien" nous a demandé de déplacer nos véhicules garés comme à l'habitude. A ma grande surprise nos gentils teviens ont obtempéré, un instant de faiblesse vite oublié, j'espère: nous sommes chez nous aussi scrogneugneu!!!!

Route paisible et traversée du centre de st Briac pour cause de travaux sur la corniche avant de rejoindre 5 sympathiques Kmcméristes (uniquement mâles hélas! :x ) embarquement à 11h15 pour le nord de l'île Agot puis cap sur les Haches par un temps de demoiselle. On va saluer la Colombière et on s'échoue sur la plage sud des Hébiens bien garnie de plaisanciers, kayakistes et écoliers en rupture de banc (d'école).

Les boutanches jaillissent des sacs, les bons mots fusent, un petit Speyside chatouille même agréablement les papilles des amateurs. Henri dégoûté pour l'instant (exempt de crise de goutte) livre son corps d'athlète (de veau) retrouvé à l'onde amère mais fraîche quand même et on reprend le manche. Les teviens mettent le cap sur Port Hue car le R1 pour cause d'agapes amicales a promis à sa blonde de rentrer tôt et les kmcéristes musardent. Didier L. cherche même à compléter sa collection de maquereaux.

Retour à Tizé pour 17h. Collecte des picaillons pour prix du transport (un modeste billet de 10). Rinçage et on se sépare en se jurant des retrouvailles prochaines.
Les papys pagayeurs sont à nouveau en selle!!

Claude, Daniel, Henri, Antoine, Yves et François pour TEV. Bernard, Dominique (TEV/KMCE) Andé, André et Didier pour KMCE.
On repart bientôt, filles bienvenues.
quelques photos d'Henri ici

François
“Everyone must believe in something. I believe I'll go canoeing.”
Henry David Thoreau
Theo LC
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WE Quiberon 6-7 octobre

Message par Theo LC »

Ce WE nous étions 7 (Demian, bernadette, norbert, Marie et ses enfants collin et jonathan et moi même). Départ 9 h 30 pour une arrivée à 11 h 30. Le mauvais temps et la pluie étant présents, nous avons préféré pique niquer dans la maison secondaire de marie. A 14 h direction la plage du mentor pour une session surf. Les vagues n'étaient pas du tout celles annoncées sur windguru mais nous avons eu de quoi nous amuser de justesse. Le soir retour à la maison de Marie ou nous avons dormis et mangé. Le lendemain les vagues n étant toujours pas au rdv nous avons préféré aller au spot de berder ou une vague se forme en fonction de la marée. Un endroit très sympa et parfait pour faire de petits exercices. Au final nous avons passé un week end très sympatique malgré une météo pas toujours au rdv.
Budget détaillé :
-25€ de transport
-5€ de nourriture
-5€ d'hébergement
Merci à tous les participants et merci Marie de nous avoir prêter sa maison.
pchauvel
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La Varde Chausey 20 21 10 18

Message par pchauvel »

5 participants : PC, JC, AB, BC, HC, 10 € et 18 de restau, 26 milles soit 48 km
Premier coup de pagaie 13h20 vent NE 2/3 bft donc le nez.
Navigation à vue jusqu’à la tourelle de Rochefort où nous prenons le cap 15° qui doit nous mener jusqu’à l’est de Chausey compte tenu des 3 milles de dérive Est du flot.
Au bout d’une heure de navigation le vent forcit à 3 / 4 bft toujours dans le nez et durcit un peu la mer.
Nous passons en visuel sur le château de Petit Louis à l’arrivée et débarquons à 17h30 dans la crique du fort.
Nous sommes interviewés par plusieurs groupes de voileux qui sont surpris d’apprendre que nous n’avons pas mis plus de temps qu‘eux pour venir de St Malo, nous avec nos petits bras et eux avec leurs grandes voiles.
Montage du camp discrètement dans un recoin de la crique, apéro copieux pour certains et mouvement vers le restau le Sound, notre cantine habituelle étant fermée.
Plat du jour joliment présenté mais assez peu copieux pour des gars qui ont pagayé dur mais bon avec beaucoup de pain ça le fait.
Retour sous les étoiles.
Nuit calme, le vent est tombé.
Lever vers 8h, pliage petit dej, chargement et c’est vers 9h50 que nous donnons le premier coup de pagaie. Pétole complète qui désole les voileux avec qui nous discutons : il va falloir allumer le moteur.
Nous filons au 200 et en 3 h 40 arrivons à la côte. Bertrand insiste pour s’arrêter à la place du Nicet plus propice à la baignade que celle de la Varde mais Alain et Henri qui ont leur casse croute à la voiture nous scissionnent rapidement.
Regroupement à la Varde après le bain .
Alain propose de visiter la pointe de la Varde, ce que nous allons faire, demie heure culturelle. Alain fait le rat de galerie et réussit à rejoindre par un boyau une casemate.
Dispersion, retour club, rinçage.

Belle virée pleine d’enseignement pour le futur trip la Hague St Malo 2019
Les photos d’Alain. et celles d'Henri.

Patrick
Frécho
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sortie dans le Golfe du Morbihan 13-14 octobre

Message par Frécho »

bonjour a tous un petit compte rendu de notre trip mer dans le golf du Morbihan

participants : hubert, christelle, Bernadette, Yves, alain, frécho et Patrick

départ du club a 8h45 petit retard du a un problème de béquille sur la remorque mer .

nous arrivons a 10h30 pour un embarquement a 11h00 en direction de l ile d' arz pas mal de vent force 4 , cap au 270 pour la pointe de billervé ou nous arrivons a 12h30 .

nous prenons la direction de la cale de pen raz ou nous prenons le temps de manger et de visiter l' ile réembarquement a 14h45 pour illur recherche d' un sentier pour la visite de l' ile ou nous faisons une petite sieste et une partie de molky .

questionnement sur le cap a prendre pour le retour sur st armel ( cale du passage)

cap au 85 le vent a mollie Patrick et Yves nous cloue sur place avec leur voiles nous arrivons a 17h30 pour aller au gite .

dimanche lever 08h00 pour embarquer a 10h00 a la cale du passage .

le programme étant de traverser tout le golf et de faire la sortie pour finir a port navalo , nous partons direction illuric que nous laissons a notre droite pour rejoindre l ' ile de la jument le temp ce noircie a l ' horizon

le vent forci et la pluie nous frappe le visage passage a stibident ou nous nous arrêtons car le vent a vraiment forci .

déjeuner a l ' abri sur l' ile le temp que le front froid passe , nous repartons avec un temp plus calme pour port navalo .

deux options : passage au calme entre la jument et hent tenn ou entre berder et l ' ile de la jument (tapis roulant)

finalement le groupe ce sentant bien nous choisissons le tapis roulant , stop a er lannig et direction port navalo et la sortie du golf pour rejoindre l ' arrivé sur la petite plage de l ' autre coté de la pointe de port navalo arrivé a 16h30 ou nous prenons un petit chocolat chaud en attendant le camion .

départ a 17h15 pour arrivé au club a 18h20

voila! voila !

bilan un bon Week end avec des conditions un peu sportive et un gros rhum pour certain !!

Mis en ligne par François qui aimerait bien qu'on n'oublie pas de mettre son CR sur le forum
Verrouillé