CR des sorties 2023

SORTIE SUR LE SEMNON, CE SAMEDI 06 MAI 2023 !!!

Bonjour à Tous,

10 Teviens s’étaient donnés RV, au Club, ce samedi 06 mai pour aller descendre la vallée du Semnon entre Pancé et Poligné. :smiley:

Chargement et direction le moulin de l’Ardouais où nous déposons la voiture de Luc… Nous nous changeons sur place, car l’arrêt du départ est dangereux (Départementale avec beaucoup de circulation).

Nous rejoignons notre 11 ième Tevien, Didier, qui est venu en autonomie de chez lui. :slight_smile:

Embarquement sur le Semnon en basses eaux. Nous naviguons jusqu’au moulin de Quenouard que nous franchissons sans souci, en raclant un peu le fond de la rivière, puis nous entrons dans le canyon du Semnon (si, si) , longeons le Tertre gris, passons plusieurs embâcles nécessitant l’intervention des bûcherons, avant d’arriver au déversoir du moulin de Roudun qui lime un peu nos fonds de kayak sous les invectives d’un pêcheur grognon :imp:


Nous passons sous la 4 voie et poursuivons jusqu’au moulin de l’Ardouais qui est infranchissable.

Débarquement, photo du groupe, manip et nous reprenons le chemin du Club, en disant au revoir à Didier.

Arrivée au Club, 18 h 30 et retour maison pour l’apéro !!! :smiley:

A bientôt sur l’eau … Thierry … :wink:

Ont participé : Loann, Matthieu, Pierre, Benoît, Pascal, Luc, Claude, Didier, Frécho, Sam et Thierry …


Coût de la sortie : 7,00 € - virement au Club fait ce jour …

Le lien photos/vidéos :

https://drive.google.com/drive/folders/1Cfyd6zLGXzCX_uGu5OgeDDlDDvTlWH4G?usp=share_link

Nous étions 7 au départ du club, 10 au départ de la cale du Naye, 11 à Cézembre. Nous contournons l’île par l’Est, profitant des bonnes conditions pour raser les cailloux. Arrêt sur la plage pour un temps libre mis à profit par les pagayeurs pour au choix , glander, faire le tour de l’île, faire du tai chi, se baigner …
Comme il ne faut pas arriver trop vite à cause du seuil d’entrée des Bas sablons, nous faisons un détour par le phare du grand jardin. Le courant nous pousse puissamment dans le chenal dont il faut sortir pour laisser passer le Condor Ferries.
Michel nous quitte au Buron pour rentrer sur Dinard comme Dom nous avait quitter au Grand jardin pour rentrer sur la Hoguette.
Ils ne profiteront donc pas de la BDE que j’ai amenée pour arroser mon nouveau kayak : un Delphin 155 flambant neuf.
Du coup nous sommes un peu tard, arrivée au club 20 h pour dispersion 20h30 après rinçage et rangement.
Belle après midi de kayak tranquille.
Pendant que nous pagayions, trois randonneuses marchaient sur les bords de Rance entre la plage des Corbières et des fours à chaux. Elles ont bien mérité leur BDE car c’est “malplat” comme on dit chez les cyclistes.


Patrick

Stage Eaux Vives Adultes Pyrénées 1000 Pagaies du 3 au 9 mai 2023

Voici le CR rédigé par Muriel sur le stage des 1000 pagaies, le stage CDCK 35 Eaux Vives organisé Mélanie ROGER RACOUET et Olivier HERVEIC.
Et quelques photos de nos TEViens : Mélanie Bricaud, Philippe Reboulleau et Moi-même.

  • Mercredi 3 mai : 6h départ plaine de Baud, nous sommes 3 de TEV à être de la partie (Mélanie BRICAUD avec son Diesel 65, Philippe REBOULLEAU avec un Lettmann prêté par le CKPB et moi-même, Muriel HERVÉ avec le Burn). Nous pique-niquons sur la route et arrivons à Vénerques en Haute-Garonne au 1er club de kayak de Mélanie ROGER pour une 1ère navigation de mise en jambe sur l’Ariège, départ du club de Vénerques et arrivée au Pont de Lacroix Falgarde. Puis, nous squattons à 17 kayakistes (7 filles et 9 garçons de 6 clubs du 35) chez Marie-Agnès, la maman de Mémé. L’accueil est formidable.


  • Jeudi 4 mai : Nous partons vers Foix en Ariège. Le matin, nous descendons l’Ariège de la centrale hydroélectrique de Ferrières/ Ariège, en passant une glissière, quelques veines d’eau, un passage de rapides relativement inondés par rapport à la Toussaint où j’avais bien galéré, puis le stade d’eaux vives de Foix ( Niveau 0.46m / 31 m3)où nous travaillons la technique en kayak en eaux vives par groupe de 3-4 : Bac, reprise, ancrage, … en fonction des envies de chacun.
    Nous pique-niquons au club de Foix. L’après-midi est dédié à la sécurité, la nage en eaux-vives sans puis avec pagaie, lancer de cordes (on lance la corde comme au bowling et non en hauteur, y’a des câbles en hauteur ou branches, etc …). Nous rejoignons ensuite notre gîte à Salau, à 15 kms de Seix, le long de la Salat.


  • Vendredi 5 mai : Descente de la Salat du club de Seix à Seix Village à 3 reprises le matin suivant les envies : découverte, arrêt à tous les stops, le niveau n’est pas très haut et c’est très manoeuvrier. La fatigue commence à se faire sentir, une rando est proposée du gîte de Salau à la mine de Tungstène désaffectée. Pour ma part, je pars vers la cascade d’Éziou et reviens le long de la Salat jusqu’au gîte.


  • Samedi 6 mai : La pluie est tombée toute la nuit ! Le matin, la Salat est montée à un niveau de 92, nous descendons du club de Seix jusqu’au camping municipal à la sortie de la ville. Les conditions ont effectivement changé, c’est beaucoup plus rapide, l’attention est de rigueur, nous nous accrochons !
    L’après-midi, la navigation se corse avec un départ du Pont de la Taule (rien que le nom et le départ de la descente nous figent !) jusqu’au camping de Seix. Le niveau s’intensifie, nous arrivons à suivre le rythme, bravo ! Nous revenons rapidement manger au gîte et se changer pour aller aux concerts du festival des 1000 pagaies à Soueix. Nous en profitons pour fêter nos exploits !


  • Dimanche 10 mai : La pluie a continué de tomber toute la nuit. Le niveau est de 96, la rivière passe en classe 2-3, nous réitérons la descente du Pont de la Taule à Seix Village. Effectivement, ça s’accélère !
    L’après-midi, nous allons avec des bretons amis de Mémé sur le Lez. Nous commençons à Audressein et arrivons à Ergomer. Il y a un beau passage classe 4, très impressionnant ! Nous admirons leurs exploits en contournant l’obstacle.
    Le soir, nous filons aux 1000 pagaies festoyer et profiter de l’ambiance des concerts.


  • Lundi 8 mai : la pluie est encore tombée toute la soirée. Le niveau de la Salat passe à 113. Nous renouvelons, le matin notre périple du Pont de la Taule à Soueix. Des passages classe 3 se forment, nous finissons notre périple aux 1000 pagaies en beauté.
    L’après-midi, nous réitérons Foix. Le niveau est de 0.61m / Débit 46m3. C’est impressionnant par rapport à jeudi. Les conditions ont vraiment évolué. La progression technique durant tout le stage a été continue, progressive et intense. Nous nous sommes bien amusés, nous avons super évolué, dans une ambiance de groupe très agréable, bienveillant avec des séances d’échauffements, étirements, massages et des repas conviviaux préparés par nos soins !

Nous avons fait de belles rencontres et passé d’excellents moments en kayak !






Nous étions 12 (Bébert et voiture de Luc) sur la Sée (fleuve si l’on en croit wikipédia : « Ainsi les cours d’eau côtiers d’importance pourtant mineure sont généralement qualifiés de fleuves côtiers car se jetant dans la mer »).

Descente habituelle sympa, arrêt goûter au 3/4 du parcours, retour club vers 18 h 45.

2 x 85 km x (9 personnes x 0,07 €/km/personnes dans le camion + 0,25 km pour la voiture)/12 participants = 13 €/participants (mi-tarif pour enfants et demandeurs d’emploi).
J’ai fait un virement de 107 € au club.

Photos et vidéos de Mathieu.

Je partis seul du club et par un prompt renfort de frères de la côte, nous nous vîmes 6 à passer la pointe du Grouin à contre courant. Rase cailloux jusqu’au petit port, la meilleure plage en cas de noroit. Pique nique , tai chi ou sieste et retour en faisant le tour de l’île des landes. Nous débarquons vers 15h car il y a des rendez vous.
Petite journée de kayak avec un peu de vent et de clapot pour l’animer.

Patrick

C’est de la terre ferme que j’ai profité de la séance d’eaux vives :frowning:
La lumière était belle, les personnes sur l’eau avaient la banane.
J’en ai profité pour faire quelques photos des TEViens et de François Clocher, qui avait organisé cette séance inter-clubs.








Dimanche
Rdv club 10h. On éclate un pneu à St Aubin et on stresse toute la route. Ce serait ballot que notre trip s’arrête là si on recrevait … Heureusement on est à l’heure pour prendre le bateau.
Repas à bord du ferry.
Lundi
Débarquement en retard, Nous recherchons vainement une roue à Dublin. On abandonne et décision est prise de rouler vers Doolin. Autoroute, puis petite route au travers du Buren. Le Buren est un endroit particulier. Un dicton dit : il n’y a pas assez d’eau pour y faire vivre un homme, pas assez de bois pour le pendre, pas assez de terre pour l’enterrer. Tout est dit du paysage. Nous campons à Aile river à Doolin. Très bon choix pour un séjour : beau terrain herbeux abrité, accès à la cuisine du gîte. On peut aller à pieds aux pubs où il y a de la musique.
Mardi
Beau temps, on remonte vers l’Est, pique nique sur l’île en face du port de Doolin puis on attaque les célèbres falaises de Moher qui culminent à 214 m. C’est parti pour 18 km, dont 15 km sans réchappe, jusqu’au port de Liscanor où nous avons fait une navette.


Les falaises sont poissonneuses. On mange nos premiers lieus le soir.
Mercredi
traversée vers Inisheer. Nous voyons un dauphin. L’arrivée secoue un peu à cause du vent et des hauts fonds.
Balade sur l’île aux mille murets. Retour avec arrivée sportive à cause du vent de face.
Jeudi
On règle le problème de roue grâce à John Sharry, papy tranquille et très compétent. Rando pédestre sur les falaises. Arrivée au pub Gus au Connor. à Doolin.
Vendredi
Un groupe va naviguer à la journée sur la baie de Galway. Un autre part pour la traversée de la baie par les îles d’Aran.
Nous voyons un ballet de dauphins pendant la première traversée. Nous nous arrêtons au bateau échoué sur Inisheer. Le MV Plassy, échoué en 1960 ne fait pas loin de 50 m de long. https://www.guide-irlande.com/sites-touristiques/mv-plassy/
Le tour de l’île est sportif. Le vent et les vagues de côté animent la traversée vers Inishman. Nous y mangeons et allons y marcher. Heureusement nous croisons une prof de français qui nous met en garde contre les tiques dans les herbes.
Nous traversons alors vers Inishmor où nous nous posons. Soirée dans un restau excellent. Au retour, on se fait virer au bivouac grâce au patron du camping voisin qui veut nous extorquer 60 € et nous envoie le policeman local.
On retourne bivouaquer sur une île avec les mouettes.
Samedi
Lever matinal. Nous changeons les plans de navigation au vu de la météo et attaquons la traversée plein Nord vers Carraroé. Le premier quart est musclé, le vent de travers lève des petites déferlantes. Puis ça se calme progressivement comme prévu.

L’arrivée est tranquille. On pêche pour nourrir la famille. Famille qui plie le camp de Doolin et vient nous chercher en fin d’après midi. Pendant ce temps, Sylvie et Bernard cherchent un spot de bivouac sur Cleggan bay. Nous les retrouvons et nous nous installons en sauvage pour 3 nuits dans le fond de la baie avec l’accord des voisins. Repas suivi d’une soirée pub mémorable. C’est saturday night live music avec pintes à gogo.
Dimanche
Nous faisons une belle navigation dans les Cleggan cliffs avec pique nique au Rondinara local et atelier pêche au retour. Fredo prend ses premiers poissons. Alain Girardet, rencontré par le groupe qui a navigué en baie de Galway vendredi nous retrouve à l’apéro et mange avec nous. Lieu et maquereau à volonté.

Soirée pub où Thierry fait le bœuf avec le patron.
Lundi
Navigation à partir de Letterbrack sur les conseils d’un français établi sur place. Le jusant nous emmène sur une île aux moutons ou nous pique niquons. Un groupe rentre à Cleggan en pêchant, un autre se fait ramener au départ par le flot. Dernier repas et dernière soirée pub.
Mardi
Lever 7h, pliage du camp rapide puisqu’on part à 8h30. Nous arrivons une heure en avance au ferry.
Mercredi
Débarquement vers midi et route tranquille au club où nous arrivons vers 15h. On vide sommairement les remorques. on fignolera jeudi.

Les stats :
1500 km, environ 750 € tout compris pour un voyage de 11 jours en Irlande. 270 de bateau, 105 de camion, 75 de camping Tarif modéré dû à l’achat de la plupart des repas en France, à la pêche fructueuse. Le fait de ne pas avoir beaucoup de courses à faire nous a aussi fait gagner beaucoup de temps pour les navigations. En bref, un super séjour avec une météo exceptionnelle.
Voici les photos …

Nous étions 4 inscrits : Cristelle, Bernadette, Norbert, Jean



Nous sommes partis vendredi en fin d’après midi pour pouvoir emmener par la même occasion un kayak à réparer chez Idoine. Mauvaise surprise les bouchons ont fait que la livraison a du être différée.



La patrouille de France nous salue sur la route du restaurant au bord de la plage de Larmor

Le lendemain, lever à 6h30 pour partir pour le défi.

Cette année 155 kayaks inscrits ça fait une belle communauté et permet de revoir les connaissances.

Nous faisons la première traversée qui tourne à l’enchantement pour les dames de TEV se font escorter par 3 Dauphins.

Deuxième déjeuner, café, croissant et papotage toujours sympathique au port de Groix.

Nous accompagnons nos nageurs jusqu’à la plage du Perello sans encombre … nous remarquons que beaucoup n’ont pas tenu compte du courant traversier et sont dépalés fortement (les Teviens sont très forts ;+).

Pour plus de détails sur le défi.




PS : j’ai accompagné le nageur handicapé arrivé en 2 éme position 3 -ème photo de l’article.





Après les agapes et une petite sieste ou baignade nous repartons vers le port de Kerroch en longeant la cote. Il faut slalomer entre les rochers et les vagues qui déferlent avant d’arriver au port.



Le lendemain nous décidons de naviguer sur le Belon en partant de la plage de Kerfany.



Jean

SORTIE CDCK35, CE DIMANCHE 25 JUIN 2023 !!!

Bonjour à Tous,

Après une récupération « crevaison », 7 Teviennes - iens s’étaient donnés RV au Club à 7 h 30 pour cette belle journée de kayak du CDCK35, organisée par REN. Le 8 ième Tevien ayant confondu SEV et Sortie mer loisirs CDCK35. :laughing: :laughing: :laughing: :laughing: :laughing:

Chargement, départ 7 h 35, direction Pors Pin, en baie de Saint Brieuc, près de Plouha… Arrivée sur le site vers 9 h 30, où une rave party s’est invitée sur la plage de Pors Pin, nous empêchant d’accéder au site. :open_mouth:

Après discussion avec Arnaud, le R1 de REN, qui avait une bonne demie heure de retard (logistique difficile sur un groupe de 18 personnes), nous décidons d’embarquer au petit port de Bréhec. :slight_smile:

Nous embarquons sur une mer d’huile vers 10 h 30 ; 27 kayakistes (18 de REN, 7 de TEV, et 2 de Saint Domineuc, soit 27 personnes sur l’eau).
Direction le sud, en longeant la côte du Goëlo ; nous atteignons rapidement la plage Bonaparte (haut lieu de la résistance pendant la seconde guerre mondiale) :

(Plage Bonaparte — Wikipédia)

puis nous continuons en longeant la côte, découvrant grottes et petits passages secrets de cette côte rocheuse.

Arrêt pique-nique sur la plage à côté du petit port de Gwin Zegal. A l’ombre des falaises, Rennes Evasion Nature nous offre de nombreuses agapes, améliorant notre ordinaire (merci à eux)… :wink: :wink:

Nous reprenons notre route sud vers la plage du Palus. Les conditions de mer ont changé, le vent s’étant levé … Arrivée à la plage du Palus, nous faisons demi-tour et rasons la côte pour éviter le vent de face et le clapot …

Dernière ligne droite un peu plus engagée pour rejoindre le port de Bréhec… :blush: :blush:

Débarquement vers 17 h 00 ; photos du groupe, chargement, ce n’est qu’un « Au Revoir » et dispersion des troupes, afin de rentrer pas trop tard …

Arrivée vers 20 h 00 au Club (après un bouchon/accident sur la RN 12), rinçage du matériel et direction nos foyers respectifs…

Coût de la sortie : 6 x 21,00 € = 126,00 € + 15,00 € soit 141,00 € de recette - 60,00 € de gas oil : recette Club : 81,00 € (virement fait, ce jour, sur CCP Club)

A bientôt sur l’eau … Thierry … :wink:


Ont participé : Marie, Bernadette, Yves, Frécho, Claude, Jean-Pierre, et Thierry …


Les photos/vidéos : Sortie CDCK35, ce dimanche 25/06/2023 !!! – Google Drive

Deux heures à se lâcher sur 6, puis 9 m3.
Un lien vers les photos des artistes, ceux de TEV , et ceux de REN.
https://1drv.ms/f/s!Ap4NcIU6CMtSg1j7MluHr1rM7vz6?e=eMfxaj

Rdv 1er juillet 6h45 pour départ 7h15. Route sans problème pour arrivée 20h.
On monte la grande tente et on profite du repas préparé par Brigitte.
Dimanche c’est Guisane. On part du Casset jusqu’aux Guibertes, lieu du pique nique.
On repart l’après midi pour tout le monde jusqu’à la baignade bio.
Un groupe de 4 fait St Chaffrey Briançon. Résultat 3 bains mais pas de bobo.
Lundi c’est Ubaye. On embarque au pont des Thuiles jusqu’à la Fresquiére. L’après midi c’est Martinet Lauzet. On embarque le groupe 2 au camping pour la gorge finale. Résultat 3 bains, chacun le sien.
Mardi, pour réparer la remorque, on remonte à Briancon. Courses faites, on repart sur la Guisane. Une partie pour tous et on fait un groupe St Chaffrey Briançon. Le bilan baisse, un bain.
L’après midi on part en pèlerinage sur la Clarée.
La section haute est trop maigre. On part de Plampinet,jusqu’à Val des prés. Superbe parcours jusqu’aux 2/3 du parcours où les embâcles se multiplient. On arrive au pont. Suite à un bug de navette on poireaute un peu et il faut qu’un couple de retraités nous promène et nous prête son téléphone pour retrouver notre navetteur.
Mercredi on fait une journée cool. Super descente du bas bas Guil, enchaînement sur la Durance jusqu’à St Clément. Pique nique et Durance jusqu’au Rabioux. On est quitte pour un bain.
Jeudi c’est Guil. On embarque au dessus de la combe de Ville vieille jusqu’à Château Queyras. La combe de Château Queyras nous semblant trop forte, on décide de la shunter de pique niquer à l’ange gardien et de rembarquer au pont de la Chapelue. On laisse 2 pagayeurs au Veyer, une à Bramousse, 2 à L’escalator et on continue à 3. On passe des beaux rapides mais on galère à porter le seuil du tunnel. On enchaîne sur le bas Guil qui est génial. On finit moulus car il faut se battre sur chaque vague.
Vendredi c’est re-guil. Quand on aime on ne compte pas. On fait le bas bas Guil, descente zen dans un cadre magnifique.https://www.relive.cc/view/vrqDYN9n7Lv?hl=fr
On refait pont de la Chapelue Escalator. Le dernier zigzag nous coûte deux bains. On part à deux sur le bas Guil, descente sans problème. Le niveau a baissé de 2 cm, 48 cm. Ça n’a l’air de rien mais on le sent, laa rivière est moins puissante.
Je fête mon anniversaire le soir. On finit la soirée au limoncello et au rhum.
Samedi on avait prévu une basse Guisane mais la casquette de plomb due aux abus de la veille me dissuade d’y aller. Le retour se fera plus tôt.

Bon stage avec belles eaux sans bobos ni casse.

Patrick

Envoyé depuis mon mobile Huawei

Mardi 13 juin
C’est parti pour Jean et moi, départ Rennes –aéroport CDG en TGV direct. Le vol pour Oslo est prévu à 12h et dure 2h20. Un petit tour à l’hôtel pour y déposer nos affaires et nous reprenons un train pour visiter Oslo.
Arrivée face au théâtre national, petite balade sur Karl Johans Gate, l’artère principale de la ville, un regard au palais royal, puis on se dirige vers le port. Une photo devant le Nobel Peace center s’impose avant de flâner sur le port et de découvrir la forteresse d’Akershus. Il fait 28°C c’est très agréable.
Mercredi 14 juin
Après une bonne nuit et un bon petit déjeuner nous reprenons un avion pour Trömso puis pour Longyearbyen. 5h30 plus tard nous sommes accueillis par 3 personnes qui nous accompagnerons durant notre séjour (le guide, un autre guide qui vient en reconnaissance du terrain et un étudiant responsable logistique). Il fait 5°C et le vent du nord nous frigorifie, quelle différence avec Oslo !! Les guides nous conduisent à la guesthouse 102 où nous passerons notre première nuit. On enlève ses chaussures pour entrer dans les restaurants, hôtels, église…J’adore. Cette demi journée est consacrée à faire connaissance avec nos co-randonneuses, à découvrir le matériel qui nous est prêté (pour le kayak : combi sèche, pilou pilou, chaussons en feutre et socs, gilets et pagaies, bonnet en néoprène ; pour le couchage : tente, bon duvet et bon matelas thermarest, et pour ceux qui ont peur d’avoir froid moufles fourrés, grosse polaire et veste gore tex). Les affaires perso à prendre doivent rentrer dans un sac étanche de 20l, le reste de nos affaires reste à la guesthouse. Un briefing sur la sécurité nous met en garde : l’ours polaire est présent partout : statue, empaillé, sur les panneaux signalétiques et dans l’imaginaire. Impossible de sortir de la zone de Longyearbyen sans posséder un fusil. 3000 ours protégés sur l’ile pour 2300 habitants. . Les voitures sont toutes ouvertes, clés au contact au cas où!!!

Jeudi 15 juin
Petit déjeuner copieux avec gaufres maison, charcuterie, fromage à volonté. 9h, un véhicule vient nous chercher, direction le port où nous embarquons avec tout le matériel sur un bateau de pêche, pour traverser l’Isfjord vers le Glacier de Svea (3h de traversée). Avant de débarquer, notre guide fusil à l’épaule, va inspecter les lieux. On cherche ensuite le lieu de camp idéal pour nos 6 tentes avec surtout une vue bien dégagée sur 360° permettant de surveiller un éventuel passage de l’ours. Le camp est monté de façon stricte ; les tentes sont espacées de 5m chacune et positionnées de la même façon (ouvertures du même coté), les toilettes sont à 200m des tentes ainsi que les sacs de nourriture et ceux contenant les produits de toilette. Des points eau et vaisselle sont aussi défini s. On boit l’eau provenant de la neige fondue. Enfin l’heure du diner arrive, il est 2h du matin, il fait jour mais un peu plus froid. Au menu, purée et viande hachée de rennes (faut manger local). Les tours de garde sont définis : de 3h à 4h30 pour moi. C’est magique de regarder ces paysages : moraines, toundra, plaine et sommets enneigés, rivières, mer avec ses icebergs qui évoluent et la faune qui évolue sans s’inquiéter de nous : rennes, renard, labbes à longue queue et sternes arctiques. Il fait jour mais plus froid la nuit.

Vendredi 16 juin
Levée 9h30. La météo du jour est bonne, grand soleil. C’est l’occasion de faire une petite balade en kayak vers le glacier. Après quelques explications sur l’activité kayak (comment embarquer, pagayer), sur le fait de rester grouper, nous nous habillons et embarquons sur nos kayaks doubles en fibre de chez Plasmor. On pique-nique proche du glacier (pour moi on est assez loin).Ciel bleu, air on ne peut plus pur et calme me ravissent. Retour vers 19h, on a fait 15kms. Diner 21h : Riz, poireaux, oignons, crevettes et crème. Dessert fromage blanc. Tour de garde pour moi de 5h15 à 6h30.

Samedi 17 juin
Départ 11h pour une rando à pied sur des terrains divers : caillouteux, humides, spongieux, glacés. Nous nous enfonçons jusqu’aux genoux dans des plaques de glace qui dégèlent, remplissons nos bottes d’eau glacée lors de traversées de rivières et marchons sur un tapis moelleux de mousses et de lichens. Le séchage des bottes va nous occuper un bon moment le soir en rentrant. Très belle rando ou l’on assiste au pillage d’un nid de bernaches nonette par un renard que l’on verra plus tard avec sa femelle proche d’un terrier. Rencontre avec un troupeau de jeunes rennes. Retour 18h30. Repas : lentilles, chorizo et gâteau au chocolat. Tour de garde 3h à 4h30 du matin. Tout est calme tranquille. C’est le bonheur.

Dimanche 18 juin
A la fin de mon tour de garde, j’observe aux jumelles très loin (peut être à 5 kms) une tache blanche qui bouge, disparait et réapparait sur une crête partiellement enneigée. Suivant les consignes le guide est réveillé et là c’est quelques heures de stress qui commencent. Le guide nous demande de ne pas perdre de vue l’ours, de réveiller tout le monde (il est 5h du matin) et de préparer nos affaires. Il contacte par téléphone plusieurs personnes. Au bout de 2h l’ours disparait de nos jumelles et certains vont se recoucher, on le revoit en fin de matinée plus au nord. Il est ensuite repéré par un bateau qui croise dans le fiord qui nous indique qu’il remonte vers la banquise. Une tension règne au réveil et la journée s’étire dans les papotages sur l’ours. Enfin vers 18h, nous embarquons en kayak pour aller jeter un œil à cette fameuse pointe rocheuse sur laquelle s’est promené l’ours. C’est aussi l’occasion de faire une reconnaissance pour le changement de camp prévu 2 jours plus tard. On rentre à 1h du matin, diner à 2h et coucher à 3h. Il fait jour donc aucune contrainte sauf qu’à nos âges c’est rude.

Lundi 19 juin
Lever tard, petit déj et départ pour une rando vers le glacier. On remet les bottes mouillées et on prend les raquettes. Le terrain est facile avec peu de dénivelé. L’ours a été vu à 40 kms d’ici, le guide se détend. Balade très sympa. Paysages magnifiques. Le repas du soir est composé de tagliatelles de courgettes avec du riz, du fromage, de la feta et du saumon fumé.
Mardi 20 juin
Garde de 3h à 4h15 du matin. Le renard vient roder dans le camp mais il est chassé par le labbe à longue queue qui semble être chez lui. Démontage du camp tôt le matin (7h30) pour un embarquement à 11h retardé par un contrôle des autorités arrivées en zodiac. Au moment de partir, le labbe nous survole, puis retourne vers quelques sacs laissés pour un autre groupe, et en fait le tour en sautillant comme pour nous dire de ne rien oublier. Arrivée au nouveau camp vers 21h après 15kms de navigation et un pic nique sur une plage où nous trouvons des bouts de plastique (bouts de filets, de vieux paillasson et plastiques divers). Repas à 23h30 (dure journée avec trop de pauses à mon goût).
Mercredi 21 juin
Grande balade pour aller voir la banquise et les phoques que l’on verra aux jumelles. Le site est magnifique. On observe un jeune renne et sa mère d’assez près et une cascade. Repas 20h30. Coucher 23h. Tour de garde 3h15.
Jeudi 22 juin
Retour à Longyearbyen en zodiac rapide (1h pour la traversée). Quelques échanges avec le groupe de 8 personnes qui débute le séjour et nous confie les combinaisons étanches utiles pour la traversée. L’après midi nous continuons la visite de Longyearbyen et profitons pour faire quelques achats. Retour à la guesthouse pour diner et se reposer avant de retourner à l’aéroport à minuit.
Vendredi 23 juin
Arrivés tôt à l’aéroport d’Oslo nous rejoignons l’hôtel, un petit repos et nous continuons notre visite d’Oslo (l’opéra, les statues du parc de Vigeland, traversée du fjord pour aller sur la presqu’ile de Bigdoy). Il fait très chaud.
En résumé :
Très beau voyage par ces paysages, cette nature sauvage, le fait de se sentir seul au monde (idéal pour déconnecter) et de voir le jour constamment. Le calme, le climat agréable une fois bien équipé complètent cette sensation de bien être. Le matériel fourni est de bonne qualité. Le groupe a manqué un peu de cohésion selon moi. Trajet un peu long (du a des erreurs de la compagnie) mais ca nous a permis une belle visite d’Oslo.

La météo est belle comme rarement elle l’a été cet été en Bretagne.
Muriel, Claude, Didier, Maryse et Emmanuel n’ont pas laissé passer l’occasion de faire un tour aux Ebihens.
Arrivée simultanée des deux voitures à 9h15 pétantes à Port Hue (BBER étant en convalescence chez le garagiste).

Conditions : PM 10h20, coefficient 79, vent 1 ou 2 beaufort le matin, 3 l’après-midi.
Muriel nous expose le programme : tour de la baie en longeant St Briac, une boucle sous le pont du Frémur, suivre la baie de Lancieux, puis celle de St Jacut, puis pause repas aux Ebihens, avant de repartir par le Nord de l’île vers l’île Agot.


Et c’est parti, la lumière de fin d’été est magnifique, on croise quelques baigneurs le long de l’ile du Perron, sous le pont du Frémur, et vers la plage de l’Islet. Les plages de Lancieux et de Saint Jacut sont assez fréquentées en cette matinée. Claude, Didier et Maryse vont « réserver » une place sur la plage à l’Ouest des Ebihens. Muriel et Emmanuel vont faire un tour des îles du coin avant de les rejoindre pour le repas. Maryse nous régale avec un clafouti divin.

S’en suit un classique tour à pied de l’île, où on l’on constate l’affluence des grands jours à la plage de la Chapelle, aussi bien sur le sable que sur l’eau. Un vrai parking à bateaux.

Au retour par le Nord de l’île, Muriel tire une ligne de pêche, mais le poisson doit faire la sieste à cette heure. Je manque de me vautrer sur une vagounette qui me prend de côté vers les rochers de la Neilière. Le bateau que Muriel m’a gentiment prêté n’est pas stable (l’option que ca vienne de moi n’étant guère envisageable). Et en plus il ne demande qu’à partir au surf. Rendez moi le Shoreline ! Du coup je suis plus aux aguets sur le retour vers l’île Agot. L’eau a des couleurs caribéennes sur la plage de l’île Agot, puis c’est l’arrivée à marée basse sur la plage de Port Hue. Les chariots sont fort appréciés pour remonter du bas de la plage.

17h c’est le moment de rentrer, après une journée fort agréable : 18,6km de navigation en 3h30.

Vendredi 18
Lever 5h pour rdv Port mer 7h15
Premier coup de pagaie 8h20. Nous sommes 3 : Bertrand, Jean et moi.
Passage pointe du Grouin à contre courant puis cap au 0. Nous pagayons longtemps au 0 avant d’apercevoir Chausey où nous débarquons vers11h20. Casse croute puis départ pour les Minquiers à midi.
La glisse est excellente la visi aussi et nous arrivons à 15h. Nous sommes bien accueillis par les autochtones. Une série de pissées de moineaux va nous ennuyer nous obligeant à monter la bâche pour le repas.


Nous nous réveillons tôt et déjeunons rapidement pour embarquer avant que la cale ne devienne impraticable.
Il y a un bon 4bft et 1,5 m de houle heureusement le tout aligné et dans notre direction. La navigation est erratique et je ne suis pas rassuré dans mon Epic. Nous finissons par arriver à la pointe SE de Jersey et le courant nous remonte jusqu’à Gorey où nous nous arrêtons manger.

Nous repartons, objectif grève de Lecq où nous arrivons vers 17h bien moulus après 46km.
Restau Prince de Galles et nuit sur le port.
Au matin nous discutons météo avec un pêcheur. Il nous montre sa météo. Parfait pour Sark.
Nous partons un peu après pm et rejoignons Sark en 4h. Cap au 300, il faut viser Guernesey pour avoir Sark. Nous nous posons grève d’en ville et montons la falaise. Après midi qui sieste, qui trail et restau chez Nicole.
Le service est lent et la marée nous prive de dessert. Nous arrivons alors que l’eau lèche l’arrière de nos kayaks. Nous les remontons en catastrophe et comme il n’y a plus de place pour les tentes il faut remonter notre couchage sur le plateau.
Lever 7h, petit déjeuner et nous embarquons pour du rase cailloux magnifique.

Nous sommes arrêtés par un puissant courant au Gouliot et faisons demi tour pour nous poser à la pointe N où nous mangeons. Rando pédestre avec baignade à la piscine de Vénus et à Dixcart bay. Nous dinons d’un maquereau grillé dans un boui boui.
Lever 7h30, tai chi matinal sur une plateforme avec une vue magnifique, petit déjeuner et chargement. Départ à PM-1. Nous visons l’ouest d’Aurigny que nous avons rapidement en visuel tellement l’île est massive. C’est parti pour 35 km dont 30 de traversée. Le courant nous pousse bien avec des pointes à 11kmh. À 5 km de la pointe de l’île il faut revoir le cap à l’ouest pour ne pas se faire dépaler. Nous nous engageons dans le swinge, puissant courant de marée qui lève un beau train de vagues et cache des brisants.
Nous arrivons dans le port d’Aurigny où nous allons au resto en tenue de kayak… Dommage pour les chaises.
Baignade à Saye bay, re tai chi
installation au camping, coucher tôt pour se lever à 5h45…
Mercredi c’est le retour car la météo se dégrade. Il nous reste le raz Blanchard à franchir. Coeff 59, ça demande considération. Nous décidons de partir le plus tôt possible c’est à dire pm-3 avant que le vent ne se lève.
Nous visons le nez de Jobourg. La navigation plein Est soleil levant est pénible. Nous franchissons sans difficulté plusieurs trains de vagues puis ça se calme et nous avons le temps d’arriver pas loin du nez de Jobourg avant la renverse. Elle est brutale et c’est à 10/11kmh que nous remontons vers Goury. Un vent de N/E 4bft s’est levé et gêne notre progression. Heureusement que nous sommes partis tôt et n’avons pas eu ce vent imprévu plus tôt.
Débarquement au port de Goury où nous attendons notre navetteuse. Nous avons prévu un bon resto : la bruyère à Jobourg pour fêter ce super raid.

Nous avions fait le même parcours dans le sens N/S en 2019 et nous avions très envie de récidiver. Nous avons eu beaucoup de chance avec la météo, la fenêtre s’est agrandie au fur et à mesure de notre progression vers le Nord.
Sark est toujours aussi belle et ça donne envie d’y retourner.
Pourquoi pas une semaine avec un camp de base sur Guernesey afin d’écumer ces belles îles sans avoir les longues traversées préalables ?
Avis aux amateurs.

Vendredi 17+ 24=41km
Samedi 21+26=47km
Dimanche 26 km
Lundi 8km
Mardi 36 km d’un traite dont 30 de traversée
Mercredi 25 km
soit 183 km en 6 jours avec heureusement beaucoup de courant portant

Patrick

Dimanche 8h, 8 TEViens se retrouvent au club sous un orage pêtant! Ça n’entame pas le moral, les kayaks sont chargés et en route pour la cale de Montsarrac à Séné, dans le fond du Golfe du Morbihan. On y retrouve Maryse, Didier et Philippe.
On embarque vers 10h30, sous un ciel brumeux/lumineux ; il fait doux. On part à marée basse, avec un petit coefficient de 35.


Muriel donne le top départ vers Ilur qui sera notre pause pour le repas de midi. Elle donne le cap qui nous fait enfiler un chapelet d’îles : Quistinic, Tascon, Bailleron (où il doit y avoir une héronnière vu le nombre de volatiles du même nom qui font le pied de grue dans le coin), puis cap sur l’île de Pladic, puis Penn Bleï, l’île aux œufs et sa maison rose Barbie, Godec puis enfin Ilur vers 13h. Il était temps, certains commençaient à avoir les crocs.
Au cours de ce trajet matinal, la lumière s’est levée graduellement, avec de belles teintes automnales filtrées par les restants de brume. Le plan d’eau est calme. C’est très reposant.
L’anse Ouest de Ilur est plutôt fréquentée, par un autre groupe de kayakistes et des baigneurs venus en voiliers. Quasi tout le monde profite d’un bain dans une eau à 21 degrés.
Après le casse croûte, et une part de clafoutis aux mirabelles de Muriel, petit tour de l’île à pied, toujours aussi belle avec ce ciel devenu bleu.
Retour en longeant Arz, puis direction l’île de Boed où certains cherchent à faire le tour de l’île dans succès. Mais on tombe nez à nez avec un groupe de REN qui a fait le tour d’Arz!
Entre-temps, le vent s’est un peu levé, et pousse la marée montante, ce qui nous aide bien, ça anime un peu la navigation avec des vagues de travers.
C’est déjà l’heure de débarquer et de plier les gaules. On arrive à l’heure de la marée haute. Après une dernière part de clafoutis sous un temps de rêve, nous reprenons la route vers Thorigné.


Un grand merci à Muriel pour l’organisation de cette sortie et le clafoutis !

11 Personnes, 8 avec BBER - 265 Kms avec BBER - Coût / Personne : 18.55 euros - navigation 20.23 kms

Liens vers photos : TEV-10Sept2023-Ilur – Google Drive


Nous étions 6 au club à 10h et un frère de la côte à Port Pican.
Un vent de Nord-est anime la pointe du Grouin mais ça passe bien. Nous sortons les voiles et nous nous laissons pousser vers l’ouest.
Nous voyons les plages défiler. La plage du petit port étant un peu agitée et caillouteuse nous poussons jusqu’à l’anse du Guesclin où l’île nous protège du Nord-est.
Pique nique, sieste et nous repartons vers l’est. Des petits trains de vagues ponctuent le parcours jusqu’à la pointe du Grouin où nous sommes accueillis par une belle série de vagues pyramidales. Ça secoue bien mais c’est franc…
Nous passons devant la cancalaise et débarquons sous un beau soleil .
Nous avons parcouru 160 km pour 12€.
Patrick

****SORTIE SUR LA RIA D’ETEL, CE DIMANCHE 24/09/2023 !!!

Bonjour à Tous,

7 Teviennes - iens s’étaient donnés RV au Club à 7 h 45 pour une sortie kayak sur la Ria d’Etel, ce dimanche 24/09/2023. Chargement et départ à 8 h 30 … :smiley:

Nous arrivons, à 10 h 00, sur le port d’Etel où nous rejoignons, Cristèle, Maryse et Didier sous une météo ensoleillée.

Nous embarquons à 10 h 30 de la cale près du bateau SNSM, nous remontons la ria et bifurquons vers le bras du moulin du Sac’h, profitant de la marée montante. Nous passons derrière le lycée maritime Emile James (Etablissement qui forme les cadres de la marine marchande), et derrière, également, le CROSSA d’Etel qui surveille nos côtes atlantiques. :open_mouth:


Après avoir rejoint le moulin du Sac’h, nous redescendons vers la Ria, passons le vieux passage, port Niscop et Pont Lorois, contournons l’ile de Gravignez, avant de rejoindre la petite plage de Saint Cado, lieu de notre pique-nique, à l’abri du vent. :stuck_out_tongue:

Après cette pause déjeuner, nous faisons notre balade digestive en faisant, à pied, le tour de l’Île, sa fontaine, son calvaire et sa jolie chapelle.
Nous rembarquons en décidant de faire le tour de l’Ile, cette fois-çi en kayak, passons sous la digue.

Nous retrouvons la Ria un peu avant que la descendante se fasse sentir (décalage d’une bonne heure avec les horaires de marée d’Etel). Le vent de face a forci, nous obligeant à longer la côte sud pour nous protéger. Nous remontons jusqu’au port d’Etel, séquence sportive à lutter contre le vent mais aider par la descendante, faisant lever de jolies vaguelettes. :sunglasses:

Nous débarquons à 15 h 45, récupérons véhicules et remorques. Il est temps de dire « Au revoir » à Maryse et Didier. Retour sans problème jusqu’à Rennes. Rinçage des kayaks et retour à la maison, pour 19 h 00.

A bientôt sur l’eau … Thierry … :wink:

Ont participé : Cristèle, Marie-Hélène, Mel, Maryse, Didier, Yves, Saturnin, Frécho, Sam et Thierry

Coût de la sortie : 22,50 € x 7 = 157,50 € - Virement au CCP du Club fait ce jour

Le lien photos/vidéo : https://drive.google.com/drive/folders/1S527HWSSmGK21cjMgSEMi_y1NKVc6SOW?usp=sharing

Randonnée Dordogne du 31 Juillet au 6 Août 2023,
d’Argentat à la Roque-Gageac.

Sur l’eau : Marie, Thérèse-Anne, Marie-Hélène, Bernadette

lien photos https://drive.google.com/drive/folders/10ub_KGlc7BUDYLrBWf_tSMncsc2iFaX8?usp=sharing

Départ de TEV le 31 juillet à 8h. Le chargement de la remorque rivière et du camion avait été fait la veille au soir.
Nous prenons 3 Blablacar à La Poterie jusqu’à Limoges.
Nous rejoignons Marie à Tulle. Nous voici toutes les 4, …l’aventure peut donc commencer.
Nous nous acheminons directement au Club Kayak d’ARGENTAT.
Nous préférons commencer la navigation dès ce premier soir. Voilà nous plongeons donc directement dans l’aventure à la recherche de notre premier bivouac…
Le premier rapide se passe tout à gauche sur les conseils du club d’Argentat. Dès ces premiers coups de pagaie, nous découvrons une Dordogne riche, avec une végétation très dense sur ses berges hautes mais aussi des longues herbes aquatiques aux petites fleurs blanches. Nous rencontrons les premiers pêcheurs à la mouche. La Dordogne s’annonce aussi riche par la présence d’oiseaux : hérons, bergeronnettes et plus tard nous apprécierons les ballets de voltige que font devant nous de petites hirondelles.
Après 2 heures de navigation, premier bivouac. Vigilance oblige, nous montons le tarp. Nous n’avons pas regretté, la pluie est au RDV tôt le lendemain matin. Il nous faut souligner que la pluie sera quotidienne mais toujours très respectueuse des horaires des kayakistes que nous sommes. Ce sera le seul matin mouillé, elle décidera de tomber une fois que nous sommes sur l’eau, eau dessous/eau dessus…ce fut parfait…Nous n’avons pas eu froid, et nous avons côtoyé peu de bateaux sur l’eau, en effet nous avons pu constater d’innombrables kayaks et canoës restés à la verticale dans les différents sites de location.

Le 1er Août , après petit déjeuner, rangement, rapide échauffement de nos articulations….nous prenons la direction de Beaulieu. Nous rencontrerons « la petite famille » dont le papa charpentier de marine a rénové leurs 3 embarcations…au cours de notre périple nous les croiserons plusieurs fois, toujours avec plaisir… Nous arrivons à BEAULIEU SUR DORDOGNE vers 17h, ce qui nous permet de découvrir cette ville moyenâgeuse organisée en cercle autour d’une impressionnante abbatiale riche de son Trésor.
Bernadette accompagne Marie-Hélène à la Pharmacie à la recherche d’une petite attelle pour son doigt. Marie-Hélène s’était blessée fortement le bout du doigt sous un rocher en essayant de se décoincer. L’attelle est adaptée pour continuer la randonnée et est efficace.
Nous établissons notre 2ème bivouac juste après de Beaulieu, sur une plage de sable. Est très surprenante la présence de ce sable et de ces galets bien érodés et arrondis tout au long de notre parcours. Notre bivouac est à proximité d’un rapide, ce qui trompera Marie cette nuit…Non, Marie nous ne sommes pas au bord de la mer, cependant…il t’a paru plus prudent de remonter les kayaks…la marée risque de les emporter.

Le 2 Août, après une nuit sans pluie, nous continuons notre nav vers CARENNAC.
Avant d’arriver à Carennac, nous nous arrêtons, à un camping pour remplir nos bidons d’eau, nous sommes sous la pluie, Thérèse-Anne reste avec les kayaks : « j’admire les grosses gouttes de pluie qui, dans le soleil, au moment de rejoindre l’eau de La Dordogne se transforment en lumignons… »
Nous continuons notre nav sur un étroit bras de La Dordogne bordé d’arbres géants dont les racines sur les berges peuvent se transformer en êtres variés au gré de notre imagination…et qui amènera avec surprise jusqu’à l’arrière d’un ancien moulin, avec un seuil à franchir.
Arrêt à Carennac, où nous nous promenons dans cette très jolie petite ville pour aborder l’ancienne abbatiale avec ses murs et sa porte d’entrée tout proche de l’église où un quatuor de femmes a capella teste l’acoustique avant son prochain concert. Une pluie diluvienne, une accalmie et hop !

Jeudi 3 Août… Carennac vers ST SOZY
Nous admirons toujours les richesses de La Dordogne avec la végétation, les oiseaux…les rochers et les galets.
C’est à St-Sozy que Marie-Hélène aura sa fringale de frais nous permettant de déguster des yaourts devant l’épicerie des marronniers qui dispose de chaises juste à sa sortie.
Quand on retrouve Marie et les kayaks, la pluie revient en force pour s’arrêter au moment de l’installation de notre 4ème bivouac.

Vendredi 4 août.. : vers SOUILLAC
Il pleut au petit matin mais la pluie cesse à notre réveil pour le ptit déj, pliage, rangement et échauffement comme chaque matin, conduit par Marie.
Journée de découverte des grottes et des falaises sculptées en toutes sortes de monstres par les différentes érosions au cours de leur existence. Nous nous amusons à pénétrer dans les grottes en éprouvant l’écho de nos hou…hou. On pourrait rester des heures à contempler ces immenses murs dont les couleurs varient en fonction de celles du ciel, des heures, des ombres, du jeu du soleil.
Nous retrouvons toujours les oiseaux, les canards, des cygnes, les hérons, les ballets d’hirondelles, des aigrettes, bergeronnettes…
Le soir bivouac à l’entrée d’un champ à proximité d’une châtaigneraie… « la petite famille », avec qui nous avons sympathisé, est installée légèrement en amont.

Samedi 5 août : destination le point final de notre randonnée : LA ROQUE-CAGEAC.
La progression se fait sans incident particulier. Marie-Hélène et Thérèse-Anne ont pris de l’assurance pour choisir les passages, lire la rivière et ont gagné en confiance.
Au cours de la journée, nous sentons l’approche du site touristique, il y a plus d’embarcations sur l’eau, un photographe au centre du fleuve met à disposition son art.
Nous avions prévu pour le dernier soir de rejoindre le camping à la sortie du village rive droite, mais il est complet !!!
Nous décidons de remonter le courant pour rejoindre le spot du photographe qu’il va partager avec nous, lui dans sa caravane et nous en tentes et sur-sacs. Le site de ce bivouac est remarquable, belle plage de galet, eau transparente et belle falaise en face.

Dimanche 6 Août.
Marie part aux aurores pour rejoindre BBR en stop jusqu’à Argentat.
Pliage du camp pour les autres, remorquage du kayak de Marie jusqu’au spot d’arrivée, à une aire agréable d’un spot de loueurs très accueillant.
En attendant Marie, promenade sur les hauteurs de la Roque-Gageac.
Marie arrive vers 15h 30 nous chargeons rapidement kayaks sacs et bagages et en route…
Arrivée à TEV vers minuit passé. Déchargement rapide.

Au bilan, très belle randonnée de 120 km environ, en 6 étapes, toujours un petit courant qui nous pousse, et des petits rapides tranquilles classe 2. Il faut bien choisir sa passe car il manque d’eau à certains endroits. Les kayaks de mer en polyéthylène sont très bien adaptés à ce type de randonnée. Le kayak DAG est assez intéressant comme kayak cargo, il est très logeable, et il est tyoujours en très bon état malgré son âge.
Paysages remarquables quand on arrive dans les falaises calcaires. Les eaux sont très claires, végétation aquatique abondante et fleurie, des oiseaux partout, des poissons aussi, et des pêcheurs à la mouche.
Des beaux villages à visiter et des chateaux au loin ou surplombant la rivière.
Quelques touristes sur l’eau en canoës de locations, rencontres plutôt sympathiques. Beaucoup de touristes à la dernière étape.
Pas trop difficile de trouver des bivouacs.
La pluie prévue tous les jours de la semaine, ne nous a pas gênées plus que çà.
Bilan financier : Bouffe 44,50 €/ personne, transport 143€/personne pour 1190 km.
Solde camion : 356€

Pour la bouffe, chacune de nous avait prévu le menu et les courses pour une journée : un soir et le midi suivant. C’était une bonne solution.

Nous étions 4, E, P, moi et un revenant, ressuscité récemment, H. Chargement rapide mais tripatouillage de l’éclairage de la remorque qui nous retarde. Il va falloir revoir ça.
Nous sommes à 9h 10 à la cale de Bararac’h et prêts à embarquer à 9h40 soit Pm+4.
Le courant est bien établi avec une alternance de plaines et d’accélération jusqu’à la Jument où il faut se battre pour faire le stop à Er Lanic.
L. A suite s’enchaîne rapidement et 2 heures après le départ, nous sommes à la sortie du Golfe. La trace GPS nous indique que notre secrétaire à été flashé à 22km/h. Est ce bien raisonnable ?
20 mn plus tard nous débarquons à Meaban après en avoir fait le tour.
Pique nique, sieste, balade, tai chi… Au choix.
A 13h45, l’eau lèche l’arrière de nos kayaks, nous décidons de rembarquer. Le courant est bien établi même si il est moins fort qu’à la descendante.
Nous retrouvons la même alternance plaine rapide qu’à l’aller et c’est une navigation facile qui nous pousse jusqu’à Boedig. Là je décide de tester mon esquimautage mais comme ça ne marche pas, ça se termine en séance de récupération.
Il faudra remettre l’ouvrage sur le métier.
Nous débarquons à 16h. Le temps de charger et Henri nous gâte de son far et de son kéfir.
La vidéo

Les photos de Henri : https://photos.google.com/share/AF1QipP4lfX9XCqJoYNsWO01RWqtzpa4gEFS_6IUKKOTI2z8P8hSTXDCM-EmzSZRkzW06A?key=VzlGWWE3V1o5ZG84RDV2NTA5R2pIT3BmX0d5dE9R

Et la trace GPS de la gendarmerie…

Qu’il est bon de lire le compte-rendu que Mélanie Roger nous a concocté sur le stage qu’elle a encadré les 14/15/16 Juillet à Inzinzac et à Pont Lorois.

Le CR : https://drive.google.com/file/d/1vYHimlIrhv88xTuQXmvsWkrbT5YfR7HQ/view?usp=sharing
Les photos : https://mynas.lilipano.fr:5001/mo/sharing/vN7vzECcD