Comptes-rendus des sorties 2017

Il avait fallu 22 messages à 4 personnes pour caler cette sortie sans prétentions mais ça y est on était sur l’eau. Départ du club nautique de St Jacut coté est de la presqu’île, non sans mal car la marée était haute et quelques vagues balayaient la cale. Sur une suggestion de Claude je tractais même nos papys pour les arracher au rivage sans trop embarquer d’eau. Cap sur les Hébiens puis sur les Haches pour quelques jeux dans les courants déjà puissants de cette deuxième heure de marée. Tournicotis dans les rochers puis nous renonçons à aller virer la Colombière car le courant de jusant est bien établi et un petit vent de sud ralentit la progression. Nous faisons un grand bac jusqu’à la pointe du Chevet et décidons alors de pousser jusqu’au Guildo et de débarquer en direct au dessous de chez Chantal à quelques encablures du Chateau. La remontée est un peu sportive avec vent et courant dans le nez mais sympa. J’attrape même un magnifique surf qui me pousse sur 2 ou 300m. Atterrisage vers 12h50 après 2h30 de balade juste en limite du sable et de la vase de la baie de l’Arguenon. 15 minutes de plus sur l’eau et on aurait été “up shit” comme dirait (peut-être) Louise. Chariotage pénible (surtout pour Yves qui avait hérité du chariot club à la roue défectueuse) puis épreuve vélo de notre triathlon matinal pour Chantal et moi afin de récupérer nos voitures (merci à Christian, le Monsieur de Chantal, pour l’usage de son beau vélo). Ce n’est donc que vers 15h que nous pouvions enfin passer à table autour d’un sympathique Curry et d’un non moins sympathique crumble arrosé de quelques larmes discrètes de turbulent. Retour à Tizé vers 18h les bateaux déjà rincés chez Chantal.

Merci pour son accueil par cette jolie journée.
coef 109. vent de sud force 3. beau temps voilé.

3 Teviens : Claude, Yves, François et notre hôtesse Chantal.
10€ de transport avec mon Scénic et ma remorque

Recette d’une Sienne réussie :

  • choisir un jour à coefficient d’au moins 80 et une PM à Regnéville vers midi, avec peu de vent et des températures printanières (ce dimanche PM Pointe d’Agon à 11 h 54 coefficient 79 et hauteur d’eau 11 m 91);
  • trouver une bande d’acolytes ponctuels et endurants (Christelle, Bernadette, Jean-Pierre, Patrick, Frécho, Christian, Claude et moi)(le topo annonce à raison 22 km) n’ayant pas peur de partir de chez eux nuitamment pour se retrouver vers 7 h 14 au club ;
  • charger sans perdre de temps une superbe remorque (bateaux suspendus) avec des kayaks de mer ;
  • prendre la route sans tarder (A84, Avranches, sortir à Ponts (D7), La Haye Pesnel, à la sortie du bourg prendre direction Cérences (D35), à Cérences prendre à gauche direction Trelly, continuer sur 6 km et tourner à gauche (pancarte : Les Écaudevilles, Moulin de Sey)) ;
  • n’écoutez pas les acolytes sus-cités qui mettent en doute votre itinéraire, même quand la route se rétrécit en chemin de terre avec de l’herbe au milieu ;
  • embarquer où vous voulez sauf à l’endroit prévu à cet effet (ça peut se faire mais de la boue le rend glissant) ;

(cliquer sur les photos pour les voir en entier)


(sous le saule c’est bien ou en amont du pont dans le pré c’est bien aussi)

  • descendre la Sienne (coule vers le nord), profitez des beaux arbres, du calme ;

  • porter une première fois (débarquement indiqué, passage prévu dans un champ (20 m)) ;
  • continuer, bavarder avec les pêcheurs, profitez des courbes de la rivière ;
  • au deuxième barrage, débarquer rive droite, traverser le pont et réembarquer rive gauche après la petite chute ;

    (on voit les traces de descente dans l’herbe à droite de la photo…)
  • profiter à présent de la partie maritime, l’eau est un peu plus salée, observer les hirondelles de rivage et leurs nids dans la falaise, se faire aider par le courant de la rivière, qui ralentit néanmoins, bloqué par la montante ;
  • au pont de la Roque (détruit pendant le débarquement), renoncer à débarquer dans la vase pour pique-niquer au bord de la route mais continuer jusqu’à une île, débarquer sur un banc de sable pile à l’heure de la PM à Regnéville, au moment où le flot remonte dans la rivière ;
  • attacher les kayaks pour éviter d’en perdre ;
  • manger, siester, mettre de la crème solaire ou bien cramer ;
  • à PM de Regnéville + 30/40 min le courant s’arrête quelques instants et repart illico dans l’autre sens (spectaculaire !), réembarquer (avant PM de Regnéville + 1 h 30, dernière limite si on ne veut pas marcher dans le havre) ;
  • entrer dans la partie maritime (5 km) : le havre, se faire aider par le jusant ;

  • profiter des dernières bernaches pas encore parties vers le Nord, des hérons, des gravelots ;
  • faire une pause sur le banc de sable de la pointe d’Agon ;
  • repartir, sortir du havre et piquer en pleine mer plein sud vers Hauteville-sur-mer-plage ;
  • surfer quelques vagues au passage ;
  • débarquer cale sud vers 15 h 30 (nous avons vraiment pris notre temps sur la fin) au milieu d’une régate de catamaran de la Ligue de Normandie ;
  • dire bonjour à son pote venu faire la manip’ qui nous attend sur le sable au bord de l’eau ;
  • ménager ses épaules : charioter les kayaks (la mer descend loin) ;
  • retourner chercher le camion avec son pote (manip’ de 10 km) ;
  • revenir avec le camion avant que les acolytes aient fini les barres de céréales maison laissées pour patienter ;
  • charger, rentrer à Tizé, faire payer à chacun 15 € pour le transport, rincer les bateaux, ranger et rentrer à la maison.

Je joindrai à ce message le topo de cette balade eau douce/saumâtre/salée dès que mon scanner remarchera pour que cette sortie rentre dans la culture club.

Réactions-commentaires-compléments dans le sujet de la sortie.

11 participants

Jonction avec Stef , Didier, Maryse à11h20 à Port Picain. Nous embarquons vers le Herpin. Le temps est magnifique, la mer d’huile.
Nous passons sans encombre le Grouin avant de nous poser sur la crique du Saussey pour pique nique et sieste au soleil……
Nous repartons dans les contres jusqu’au petit port où nous faisons demi tour. Le vente monte un peu et nous voyons une espèce de nuage à l’horizon.
10 mn après il est sur nous et nous évoluons dans la brumasse, le vent monte à 4 Bft et la mer s’agite. La brume s’épaissit fortement, la mer forcit à l’arrivée sur le Grouin. Il faut se battre dans les pyramidales. Kathia est magnifique, couchée sur son pont elle se bagarre comme une lionne et ne lâche rien. Au final, le virage et ça se calme, les vagues deviennent plus franches avec de jolis surfs.
Nous arrivons à port Picain quand le soleil commence à percer la brume.
Retour un peu rallongé par les bouchons : nous n’étions pas les seuls sur la côte……

patrick

Nous avions très envie qui d’y aller, qui d’y retourner, une fenêtre météo s’est ouverte in extremis au WE de Pâques.
RDV avec Yves et France Abel, Jean et Bertrand, vendredi 14 au club à 11h départ midi, pique nique sur la route
Embarquement plage konk leon entre le Conquet et la ponte St Mathieu 3h avt PM pour profiter d’un fort courant qui nous remonte au N. Bertrand qui connait très bien le coin nous emmène à molène directement sans coup férir. Nous arrêtons à la cale SNSM à l’E où nous retrouvons David Appéré, un guide local et un groupe de St Nazaire. Repas copieux
Samedi : départ PM+ 4 de Molène. Nous avions prévu de slalomer au travers de Bannec et Bannanec mais les conditions semblant bonnes nous décidons de tenter le NE de l’archipel. Le début du Fromveur nous semblant un peu pyramidal, nous optons pour un passage au travers des roches de Kéréon pour trouver un stop et laisser le temps au Fromveur de se calmer un peu.

Pause puis stop photo à Kéréon.

Nous attaquons la traversée du Fromveur au 300. Yves handicapé par un problème de pagaie souffre un peu. Arrivée à Lampaul où nous avons prévu de laisser les bateaux, baignade, jonction avec France Abel qui a pris le « Penn ar bed » pour nous rejoindre, navette en taxi pour aller à notre squat à Kereré. Promenade pédestre sur le N de Keller à Kergadou.

Dimanche : matinée libre, qui trail, qui promenade, qui balade à vélo… départ nautique PM + 5, flânerie dans la baie de Lampaul avant d’attaquer la côte N après Nividic qui est beaucoup plus agitée. Nous choisissons le passage au Sud de Keller. Nous nous offrons une séquence frisson vers la pointe de Cadoret.

Arrêt Stiff après 3 heures de nav, une cool et deux toniques. Repas dans une crêperie très sympa « Chez carole » à Stang ar Glann. Sur le chemin du retour, nous assistons à un magnifique coucher de soleil avec une amorce de rayon vert.

Lundi : lever 5 h car la marée n’attend pas …. Le chauffeur du taxi, un ancien de la marine, n’en revient pas quand nous lui disons que nous rentrons au Conquet direct à la pagaie.

Départ du Stiff vers 7 heures soit PM-2, 2h au 90 avec une houle de travers levée par un vent du N 3bft, 1 h au 135 puis plein sud avec le vent puis la renverse. Nous arrivons à 11h à Konk leon après 30 km de kayak en 4 h.
Très beau trip que les bonnes conditions ont rendu possible.
Patrick

J1 – Samedi : le trajet aller
RdV 8H pour un départ à 9H (le chargement de la grande remorque ayant été fait la veille). Passage de Nantes tranquille pour quelques bouchons avant Bordeaux, dûs aux imprudents de ce weekend prolongé (NDLR : ceux qui ne conduisent pas ou peu le reste du temps). Arrivés au camping municipal d’Arreau : lieu simple mais vraiment pô chers euh peuchèr !
J2 – Dimanche : la Neste d’Aure
Réveil 8H30 pour un embarquement vers 11H à la Maison de l’ours de St-Lary, après dissipation des brumes matinales (grand soleil par la suite).
2 groupe se suivront à 5/10 minutes d’intervalle pour une descente sans encombres par petit niveau, jusqu’à la glissière de Cadeac : un joli toboggan bien fun d’une dizaine de mètres se terminant par un bel amerrissage ! Passage d’une petite gorge en mode détente, trop peut-être pour Théo junior qui terminera la passe en K2 improvisé avec Alan et son paquebot Lettman.


Débarquement en aval d’Arreau (retenue d’eau d’EDF, comme d’hab…) Picnique avant de prendre la route vers l’Espagne en direction d’Ainsa où nous trouverons un camping à prix raisonnable et quasi désert, ceux de la basse vallée de l’Ara étant d’un autre standing … voire prohibitifs !

J3 – Lundi : l’Ara avec Mickey
Nous retrouverons Mickey et ses acolytes dont Paul et Yoann à Torla pour une descente mémorable.
Peu après l’embarquement en amont de Torla, nos 3 compères nous montrent comment passer un long rapide de classe V où ils seront en partie visibles depuis une passerelle : tout le monde décide de porter (le petit IV de Mickey étant du gros V pour nous). Réembarquement jusqu’à la Formule 1 où Vincent s’est mis en sécu, casque au pied…

Paul ouvre avec un esquimautage en règle, Mickey nous montre une passe parfaite tandis que Yoann, coupant la trajectoire en entrée sera sanctionné par un bain dans un creu malsaint : Thierry n’hésite pas un instant à s’encorder pour aller le récupérer (ils continueront tous les deux à la nage, la rive étant trop haute). Dans l’aventure, le casque de « Régis » prendra la poudre d’escampette jusqu’en bas du passage. Pour le reste, magnifique parcours de style Alpin mais également engorgé. Thierry et Quentin décideront de se rafraîchir les idées, à chacun son seuil…
L’après-midi, ce sera 7 kms via les gorges de Boltaña accompagné de Mathys, Théo et Bernard : nous y apercevront quelques rapaces et autres amis sauvages dans un parcours de type Ardèche, à l’exception de Thierry et Vincent partis chasser la marmotte dans le village abandonné de Jañovas.
Grand Théo en ouvreur sera sanctionné par une cravate et une belle branche (il voulait jouer dans une vague au milieu d’un passage mais n’aura pas suffisamment repéré le stop trompeur).
Navigation tranquille par la suite jusqu’au camping La Gorga (d’un autre standing) pour ensuite attendre l’arrivée du groupe de JC & François tout en inspectant l’espace environnant via un drone dompté par Alan.

J4 – Mardi : découverte de l’Esera
Après avoir échangé avec JC, Olivier, Fabrice et les 2 François de notre belle nav la veille sur l’Ara, nous décidons d’aller explorer l’Esera afin qu’ils puissent eux aussi s’échauffer avant les choses sérieuses. Au total, entre 20 et 30 kms seront vu depuis les 3 véhicules depuis lesquels nous constaterons des niveaux bas (le tuyau de Mickey etait crevé). Après discussion avec un groupe de rafteur espingouin, nous décidâmes d’embarquer au niveau des basses gorges de Seira. 13 personnes embarquent vers un défilé aussi splendide qu’étroit : heureusement que le niveau est bas. Bernard fera 4 esquimauts n’étant pas habitué à de tels passes manoeuvrières. Il trouvera quand même la rivière sympathique et très jolie. Arrivée dans la retenue d’eau de Campo par une légère surverse de l’entonnoir où Thierry, Vincent et grand Théo nous y attendent (sur le bord, pas dans l’entonnoir).
Par la suite nous avons visité le haut bourg d’Ainsa sur les recommandations de Marco : rafraîchissements à l’ombre d’une terrasse après avoir vu un ancien centre ville tout en pierre.



J5 – Mercredi : l’Ara sans Mickey
Retour sur le haut Ara entre Torla et Broto avec les plus confirmés pendant que Nanard garde les mouflets. 3H de descente pendant lesquelles 2 passages de la Formule 1 : François P. ouvre les hostilités avec une belle entrée et une sortie très honorable, puis Alan se décide pour un passage en mode « sauve qui peu » après un stop risqué dès l’entrée, sanctionné par un esquimautage en sortie arrière (Ouf!). Thierry prétextera un bateau trop « light » et Vincent un coup de mou…


L’après-midi, nav pour tous (sauf les 2 navetteurs) pour une section de 7kms entre Planduviar et Fiscal (topo EVO avec 2 passages 4 inexistants : à faire seulement par hautes eaux, c.a.d. si le reste en amont est trop risqué).

J6 – Jeudi : vìva la Pallaresa !
Lever vers 7H / 7H30 pour un pliage express du camp en direction de l’Est : 3 à 4 cols nous attendent sur la route mais notre convoie ne faiblira pas, la découverte de la Noguera Pallaresa restant le but ultime du périple.


Camping à Sorts par une belle journée de Mai et nav pour tous entre Llavorsy et Sorts. Théo junior abandonnera au bout de 2 bains et 2 long rapides à volume, son frêle esquif ne trouvant pas à s’exprimer malgré le copilotage de Marco. Aussi, tous les 2 attendrons sagement au soleil que le reste de l’équipe arrive à bon port pour une navette/rapatriement.

J7 – Vendredi : vìva la alta Pallaresa !
On fait quoi la veille du retour ? Ben … la Palla ! Et même la haute-Pallaresa pour un groupe de 7 confirmés. Repérage d’une section entre Alos d’Isil et la retenue d’eau de Borén (0m35 à l’échelle du pont = ME). De beaux rapides de classe IV/IV+ style haut-Salat en à peine plus large (ou moins étroit, c’est selon). Nos 3 jeunes (Théo, Quentin et Matthieu dit Brandon) s’en donnent à coeur joie sous l’escorte de 4 guides de haute-rivière improvisés. Le jeunes leur laisseront les 2 derniers kilomètres à regrets : le repérage n’ayant pas été facile depuis la route (et il faut bien leur donner envie de revenir !+)
Le groupe de JC/REN refera la section de la veille en partant d’un peu plus haut (base de Rafts de Llavorsy) avant de plier le camp pour amorcer un retour vers la France. Quelques au-revoir et échanges avant le déjeuner/goûter de 16H et s’en suit une dernière nav pour 8 pèlerins dont 2 freestylers depuis le campement.
Sketch final au SEV de Sorts :
Après quelques slaloms dans le haut du bassin, Mathys finira à la nage malgré 4 tentatives d’esquimautage. Alain le suivra à son tour en voulant le récupérer dans un rouleau bien formé : sauvetages épuisants pour Alan qui aura dû donner de la voix pour que nos 2 loutres se décident à lâcher leur maisonnette noyée le temps d’un remorquage en règle…. Et Quentin qui aura fort à faire avec l’une de ces 2 embarcations finissant sa course tout en bas du stade (le Leash largable d’Alan n’ayant pas été verrouillé au gilet).
C’est vers la fin que nous retrouverons Nanard parti seul devant quelques minutes plus tôt. Résultat : un bain et une pagaie « Old School » (de chez Mack) perdue.



Portage express d’Alan jusqu’en haut du bassin et qui ne remarquera même pas les quelques kilos de galets dissimulés à l’arrière de son kayak en se disant juste que si son bateau était lourd, c’est parce qu’il n’avait plus de bras (rires des 10 autres qui étaient tous de mèche depuis le début).
S’en suit un agréable dîner prolongé de parties de tarot, d’échecs et agrémenté de belles vannes de la part d’un Régis plus qu’en forme. Pour le reste, échanges sur ces 6 jours de découverte en se promettant d’autres beaux trips de Bô Kayak !

Toutes les photos : https://drive.google.com/drive/folders/0B2DiQur_ks5EdUNiMnVOVG9vb2c?usp=sharing

Compte rendu du WE du 29 Avril au 1er mai 2017, TDB, Ile Grande/Loquirec

7 Participants : Cristelle, Thierry, Christian, Jean-Pierre, Bernadette (R1), Jean et Patrick
2 véhicules, Espace Ducouret tirant la remorque mer et voiture de Jean.

Samedi 29 Avril, Ile Grande/Locquémeau
RV à 8h30 au club.
Arrivons au centre nautique de l’Ile Grande vers 11h15, beau temps, eau turquoise, vent de sud force 3, mer belle. Après une manip jusqu’à Beg Léguer partons vers l’Ile d’Aganton pour le pique nique. Le repérage de l’île n’est pas simple, et les lieux moins hospitaliers que dans mon souvenir. Pique-nique rapide sans grand abri du vent!!! Repartons vers le sud, la marée étant proche de la marée basse coef 101, nous contournons les îlots et cailloux au large de Trébeurden, l’absence de houle nous permet de passer près des cailloux. Rentrons dans l’archipel au nord de Molène, et allons reconnaître la cale au nord de l’ïle Milliau, repérons les gîtes. C’est un bel endroit pour une prochaine rando. Contournons l’île par l’ouest car le passage à l’est est à sec. Piquons vers la plage de Beg Léguer, le vent s’est renforcé, et il est dans le nez, il faut un peu appuyer sur la pagaie. Les sterns plongent autour de nous. Accostons sur la plage vers 17h, Jean-Pierre, Cristelle et Christian s’arrêtent et partent faire la manip. Les autres continuent jusqu’à Locquemeau, navigation contre le vent jusqu’à l’embouchure du Léguer, puis à l’abri du vent, débarquement sur la plage du port de Locquemeau, petit port de pêche très sympathique, ainsi que son bistrot. Thierry discute avec une autochtone qui pose des questions sur notre randonnée, puis nous indique une bonne crêperie à Trédrez pour le dimanche soir.
Après retour des manipeurs et chargement, nous nous dirigeons vers le camping des Capucines à Trédrez, où un chalet est réservé pour le WE, à quelques km de Locquemeau. A l’entrée du camping, nous bousculons un peu le muret avec l’arrière de la grosse remorque, paf, 2 pierres en moins, et le gérant pas content !!! JP commence son séjour par de la maçonnerie, et tout s’arrange. Le chalet est confortable, nous y dormirons à 6 personnes, et Jean dans sa voiture. Apéro au punch maison apporté par Christian, et aux cacahuètes du Togo apportés par Patrick. Puis rôti de porc confit aux pruneaux, salade fromages et crumble. Nous partons le ventre plein pour notre marche digestive vers le bourg de Trédrez, en principe à 500m du camping, selon les infos téléphonique de la crêperie. En fait nous marcherons 1h30…. Car les 500m étaient à vol d’oiseaux !
Dimanche 30 Avril, Remontée du Douron, puis embouchure du Douron à Locquémeau.
Météo moyenne, vent 3-4 de sud, pluies éparses, houle de 1,4m. Le grand mauvais temps est pour demain selon Windguru, alors profitons en.
Le Douron marque la séparation entre le 22 et le 29.
Embarquement sur l’embouchure du Douron rive droite au niveau du port d’échouage, Toull an Héry. Très joli paysage champêtre à la remontée du Douron, grande plaine ouverte au départ sur la partie maritime, puis partie rivière plus étroite encombrée de saules et peupliers. Nous remonterons sur 4km avant de faire demi-tour. Manip de véhicules jusqu’à Locquémeau, puis pique nique sur une plage de l’estuaire rive droite à la sortie du port, bien à l’abri du vent, mais pas de la pluie qui commence à tomber! Donc arrêt repas à nouveau écourté, car les troupes se refroidissent, il est temps de reprendre le manche, et la mer baisse… La sortie de la baie de Locquirec est un peu agitée par la petite houle qui rentre et se brise sur les bancs de sable. Longeons la côte jusqu’à la pointe de Plestin, puis piquons à l’Est sur Beg An Forn au Nord de Saint Michel en Grève. La Grève de Saint Michel est découverte sur au moins 2 km, avec de belles vagues à surf. Longeons les falaises de Trédrez, le vent du sud se renforce peu à peu et une énorme barre noire de nuages à grains arrive par le NO. La pointe de Locquémeau que nous devons contourner pour arriver au port risque d’être très ventée et agitée. Nous trouvons une petite anse à l’entrée Ouest de Locquémeau avant la pointe, elle semble à l’abri de la houle d’Ouest, inattendu et surprenant, atterrissage en douceur sur une plage de galet. La pluie arrive. Manip, chargement, et bistrot du port, boissons chaudes ou bières près du poêle…
Visite de l’enclos paroissial de Trédrez, puis repas du soir à la crêperie Saint Erwann de Trédrez, à recommander, galettes à la sardine ou à l’andouille de Guéméné, cidre local.
Tarot pour les joueurs de cartes. Nuit TRES ventée et pluvieuse.

Lundi 1er Mai, Le Jaudy
Météo forte, Vent d’Ouest de 25 nœuds avec rafales à 34, houle de 3m. Nous décidons d’aller naviguer à l’abri, sur le Jaudy au nord de Tréguier.
Nous sommes à l’embarquement de Beg ar Vilin à Plougrescant vers 10h30. La mer au loin est très forte, mais le plan d’eau du Jaudy est calme. Nous remontons le Jaudy en longeant de près les bords Ouest pour s’abriter du vent au maximum. Paysage agricole. De jolies maisons juste au bord de l’eau. Nous arrêtons vers 12h15 sur une petite plage le long d’un muret qui protège du vent. Le soleil nous réchauffe, le pique nique est agréable. Un phoque nous rend visite.
Le retour est rapide car le vent nous pousse un peu. En se rapprochant de Plougrescant il faut traverser une petite baie avec un fort vent de travers, mais l’arrivée est toute proche.
Chargement, puis bière de l’effort.
Prenons la route de retour à 14h15. Route dense mais sans bouchons. Retour à la maison vers 17h30.

Ce fut un beau WE de mer malgré des conditions pas idéales. Parcours très variés dans un secteur non connu de TEV, avec une météo très variée aussi.
Tarif par personne, 82€ tout compris.
Camping : 24€ pour 2 nuits, bouffe (1er soir et 3 petits déjeuners) : 9€, resto : 16€, transport pour 550km : 33€

Bernadette

Quelques photos de notre sortie Tour de Bretagne : https://drive.google.com/drive/folders/0BxrUI0OFdPWPU0h3UkQ4bEpSZUk

Nouvelles photos sortie TDB 1er mai de Bernadette : https://drive.google.com/drive/folders/0BwwvJTZA4DVNNG9Eb0k4Rm00WFk?usp=sharing

On a bien navigué…et on a bien mangé !

Vendredi 28 avril
Bébert et la grosse remorque (4 canoés) et la voiture de Luc tractant la remorque de François et son pocket canyon.
Soit 10 canoéistes au départ du club à 10h00 pour se rendre au camping de Mirabel et Blacons vers 20h00. Les tentes montées nous filons manger nos pizzas au restaurant du camping.

Samedi 29 avril
La fraîcheur de la nuit (petite gelée) nous apprécions le soleil matinal.
Le petit déjeuner pris nous descendons la Drôme de Saillans au camping de Mirabel et Blacons (8 kms).
Elsa L et son acolyte Yves nous gratifient d’un premier bain, histoire de se rafraichir ! Elsa est cool.
Elsa B et Luc inaugure le nouveau prospector 15.
Les 3 autres équipages, François et Bernard, Jean-Raymond et Peggy et Claude et Katia, filent au cœur de la nature sans problème.
Le soleil est au rendez-vous et des eaux vertes font découvrir à certains d’entre nous un beau paysage et une descente agréable.
Un seuil nouvellement aménagé, que tous passent avec un plaisir, est la belle surprise pour l’arrivée au camping.
Poursuite de la descente l’après-midi jusqu’à Crest (environ 6 kms).

Dimanche 30 avril
Le soleil nous accompagne sur la descente de Pont de Sainte Croix à Saillans (17 kms). Les pleureurs mesquins permettent à Yves et Elsa L de prendre la tête des bains ! La rivière est riche de drossages…mais quelques branches dangereuses donnent à Claude et Katia de ne pas se laisser distancer par Yves et Elsa L.

Lundi 1er mai
Transfert vers Ruoms sur l’Ardèche où nous nous posons au camping municipal, attendu par Robert.
L’après-midi visite de la réplique de la grotte Chauvet, une des plus anciennes au monde avec un art pariétal qui nous ravit.

Mardi 2 mai
Balazuc (nous découvrons qu’il est un des plus beaux villages de France) – Ruoms (14 km)
Section tranquille avec un rapide plus joueur que les autres, François et Bernard ouvrent et…le seuil de l’ancien moulin du Grazel surprend l’équipage qui est déséquilibré et splash ! Tandis que les 3 autres équipages passent à la cordelle. Luc et Elsa B. observent et prennent la bonne passe.
S’ensuit une descente tranquille tout en veillant aux cailloux. Une bière en terrasse…un appel de Jacqueline à Claude notifiant que bébert a embouti et bloqué une voiture ! Bébert au milieu du parking ! Nous attendons sagement qu’un orage de grêle passe pour rejoindre les compagnons. Ben, François avait oublié de serrer le frein à main (c’est ça d’avoir une voiture moderne !). Pas de dégât pour bébert et la maif s’arrangera avec les propriétaires (lesquels étaient charmants au téléphone). Bien sûr le soir on a bien mangé (pas que…)!

Mercredi 3 mai
Nous laissons les véhicules en garage mort (et gratis) au camping sous la garde de Robert.
Camping de Ruoms – camping des 3 eaux. 19 kms avec les défilés de Ruoms.
Départ du camping de Ruoms avec les canots chargés pour 2 nuits de bivouac.
L’orage de la veille a fait monter le niveau d’eau, malgré tout convenable.
La première partie de ce parcours entre Ruoms et Sampzon n’est pas très fréquentée mais reste pourtant intéressante et très sauvage. Au départ de Ruoms, l’Ardèche ne tarde pas à rejoindre la confluence de la Beaume après avoir passé quelques beaux trains de vague. Peu après, les rives s’abaissent pour laisser place à de vastes plaines. Avant d’atteindre la confluence du Chassezac, l’un des principaux affluents de l’Ardèche, la rivière s’évade dans un petit bras très original en rive droite. Après le double pont de la Bastide sous Sampzon, on aborde la seconde partie constituée de grands plans d’eau formés par 5 seuils désormais tous équipés de passes à canoës. La seconde glissière est fermée ce qui nous oblige un court portage. Un jeu que de passer ces glissières. Les embâcles marquent les crues de l’hiver avec notamment un tronc coincé en haut d’une pile du pont de Pradons.
Puis suit le passage du charlemagne avec délicatesse pour Claude et Katia qui inaugure la baignade. Et que voit-on ? Elsa et Yves se voyant à égalité de bains, décident de remplir d’eau leur canot ! Une séquence digne d’un film de Bourvil et De Funès… Yves seul dans le canot déséquilibré vers l’avant, rempli à ras bord, et pagayant pour tenter d’avancer. Mais où est Elsa L ? Et bien dans l’eau la tête au niveau du plat bord. Elsa B et Luc les ramènent sur la rive gauche. Petite aventure qui leur a fait oublier que le pont d’Arc est là devant eux. Les cheveux remis en ordre nous nous attardons sous la voûte du pont d’Arc.
Nous nous prélassons au soleil avant d’atteindre quelques minutes en aval le camping des 3 eaux.
Débarquement et montée des bagages. Séchage des affaires mouillées, les sacs sont étanches lorsqu’ils sont bien bouclés !
L’essentiel est à l’apéro du rhum arrangé fait par le patron du restaurant !
Puis le repas sous l’œil du maitre queux Jean-Raymond.

Jeudi 4 mai
Petit soleil pour le départ vers le bivouac de Gournier (15 kms)
Descente qui donne un sentiment d’insignifiance tant les falaises sont immenses voire menaçantes avec les balcons suspendus, les vires acrobatiques ou encore les arches et nombreux orifices que l’on devine derrière les bosquets de maigre végétation rupestre. La dent noire noyée est avalée tranquillement.
Nous regardons un couple de grimpeurs qui escalade le pilier d’Autridge lequel domine les Gorges du haut de ses 200 mètres.
Comme à Gaud la rive intérieure du méandre de Gournier abrite le second bivouac où nous arrivons sans incident.
Petite balade pour observer la Toupine et marche vers le passage à gué.

Vendredi 5 mai
Dernier jour, Gournier –Saint Martin d’Ardèche (15 kms)
À peine partis que la Toupine cueille Peggy et Jean-Raymond. Pas un jour identique. 5 kms plus loin arrêt au cirque de La Madeleine pour monter visiter la Maladrerie et observer le paysage. Arrivés à Saint Martin d’Ardèche les seuils tant trop violents pour nos canots nous descendons par la passe à poisson sur les conseils du président du club local. François et Elsa L canotent individuellement alors que Elsa B et Luc passent en duo.

Samedi 6 mai
Départ 8h00 → arrivée 18h00.
Bilan : 2100 kms. 332€/Tevien et 372/non Tevien.
On a bien navigué…et on a bien mangé !
Les canoteurs: Peggy, Bernard et jean Raymond (la roche Derrien) Elsa et Luc Bouillard, Elsa L., Kathia, Yves, Claude, François (R1)

Rdv club 8h45 pour cette sortie.Tout le monde étant à l’heure,c’est sans tarder que nous chargeons la remorque.
7 kayaks (2k2 et 5 k1)et à 9h20 nous prenons la route direction Ploumanach.Jonction prévue avec Greg 11h15.
Arrivée port 11h10.Déchargement des bateaux,pique nique fort agréable sous un beau soleil.Premier coup de pagaie 12h20 après
un petit débrefing de Patrick.En raison des conditions de marée ,PM 15h37,nous décidons de faire Cap direct sur l’ile Rouzic.
Navigation tranquille chacun à son rythme.Nous arrivons sur zone,spectacle magnifique.
Les fous de bassan son bien là :une colonie de plus de 20000 couples,pingouins torda qui deviennent rares sur nos côtes il reste environ 32
couples sur l’archipel.Nous avons vu aussi des macareux moines des guillemots de troil.Tour de Rouzic en prenant le temps d’admirer
tout ce que la nature et la faune nous offrent.Il est décidé de prendre le chemin du retour en passant entre l’ile Malban et l’ile Bono
que nous contournons,nous croisons deux phoques,arrivons sur l’ile aux moines ou il est prévu de nous poser.
Petite visite qui nous permet de nous dégourdir les jambes.Le vent forci et il est temps de réembarquer, ce que nous faisons sous le regard
d’un petit phoque joueur.C’est maintenant un vent bien établi de force ;un gros 4 pour les uns ;un petit 5 pour les autres.
Ce qui nous promet un retour sportif et musclé dans une mer bien formée avec des creux de 1m à1m50 qui seront présent durant toute
cette traversée qui dura une bonne heure. Ca se calme aux abords de ploumanach.Au final pas soucis, juste un peu de stress tout le monde arrive à bon port sans bobos.IL est 17h quand nous débarquons,chargement des bateaux,petit encas et il est temps de dire au revoir à Greg et de repartir vers Thorigné.Nous nous arrêtons faire le plein du camion à St Brieuc,Thierry règle avec sa carte il voit avec Jérôme pour remboursement.Arrivée au club 20h,rinçage et rangement du matériel. C’est ravi d’avoir passé une superbe journée que nous prenons congée.
Conclusion,super sortie qui nous aura coùtée 22 euros par personne.Total 9 participants.
Bernadette,Maryse,Stéphanie,Patrick,Bernard,Thierry,Frécho,Greg,Didier.
Bonne semaine à tous.
A+ sur l’eau.
DIDIER

Lien vers les photos.

5 teviens pour ce classico. Route encombrée jusqu’à Loguivy, beau temps et ascension obligent. Départ à marée basse après un chargement un peu laborieux pour certains (en kayak de mer il faut privilégier les petits sacs étanches). Route au Nord Est par la rivière de Pontrieux avant de se rapprocher de Bréhat au niveau de la Corderie avec un bon force 3 dans le pif et le début de la montante. Grand beau, on se croirait en méditerranée avec ce vent de NE presque chaud. On chope enfin la montante avant le Paon et là, le tapis roulant avec un 103 de coef nous véhicule à vitesse grand V vers Morbic. Vern sur Seiche, sous la houlette de l’inoxydable Christophe Guerchais quitte les lieux après un picnic tardif. Un bivouaqueur solitaire venu de la région parisienne nous accueille avec bienveillance et nous nous installons pour profiter de cette belle fin d’après midi. Christian, Frécho et notre cobivouaqueur, Frédéric, rembarquent pour aller chatouiller les courants au nord de Morbic. Christian en revient avec le cheveu luisant du gars qui a nagé, mais la récup des deux Frédéric fut bonne et il ne marina point trop dans les remous.
L’heure de l’apéro fit la jonction avec l’heure du thé et c’est alors qu’un nouveau drame pinardier faillit éclater sur Morbic. Christian nous avait fait miroiter un Chenin de derrière les fagots qu’il avait mis à rafraîchir calé entre quelques pierres en bord de mer mais, horreur, la marée avait englouti la bouteille. N’écoutant que son courage et notre soif Christian se mit en calebart et entreprit une apnée pour récupérer la dive bouteille. Posséïdon, magnanime, rendit gorge et l’on put s’abreuver à loisir. Echange d’anecdotes et de saucisson avec notre sympathique voisin et après des repas divers: froid pour Christian, Lyophilisé pour Frécho, ravioliesque pour Elsa et poulet curry, semoule, concombre pour Martine et François nous allâmes faire un petit tour de l’île sous les cris menaçant des goélands. Deux grosses veines d’eau avec des vagues statiques impressionnantes s’étaient formées avec le jusant entre Morbic et Bréhat et auraient fait le bonheur de bien des freestyleurs. Plus tard dans la nuit en plus des goélands un bûcheron canadien mit l’ambiance. Merci Madame Quies.

Lever glorieux sur le coup de 7h30 par un soleil magnifique et une brise un cran au dessous de la veille. A 9h15 pétantes cap fut mis sur St Riom dans la baie de Paimpol pour 2h30 de navigation tonique avec un bon jusant dans le nez (coef 107). Arrivée tranquille sur la petite plage orientée sud et picnic et sieste au soleil. St Riom administrée conjointement par un propriétaire privé et le conservatoire du littoral est en pleine campagne de dératisation. Le bivouac y est malheureusement interdit.
Il restait 1h30 de descendante et c’est avec vent et courant favorables que l’on glissa nonchalamment vers Loguivy en révisant notre balisage cardinal (le coin est truffé de perches). Arrivée 14h30 à marée basse. Chargement du matos et des bateaux dans Bébert qui nous avait sagement attendu sur le parking du port encombré de camping cars plus gigantesques les uns que les autres. Pot de fin de trip aimablement offert par Christian et à 18h nous étions à Tizé pour le rituel du rinçage.

27km sur l’eau au compteur de l’iphone de Martine et 350 sur celui de Bébert.

22€50 de transport, point de note de camping et nourriture apportée par chacun. Un WE au plus juste prix pour Elsa, Christian, Frécho, Martine et François (R1 et capitaine de k2).

Notre trip initial St Malo/Chausey/ Minquiers/ Jersey/ Carteret ayant été invalidé par une météo trop incertaine nous nous sommes rabattus sur la côte N de Jersey.

Nous sommes donc partis de Carteret pour aller dormir aux Ecréhous. Les derniers 500 m se font façon remontée de rivière de caillou en caillou. Paysage toujours aussi lunaire à marée haute comme à marée basse…

les écréhous

Lever 5h pour avoir les bons courants qui nous déposent à Rozel bay où nous trouvons une gargote dont la patronne accepte de nous faire un thé avec les scones qui sortent du four 1h avant l’heure officielle d’ouverture. Nous longeons tranquillement la côte N jusqu’à la grève de Lecq en profitant des grottes et des couloirs rase cailloux.

Repas au café seaside, sieste avant de reprendre notre route paisible vers Piemont bay. Retour sur Grève de Lecq où nous projetons de dormir. Après un repas sorti du sac dans un recoin du port où nous discutons avec pêcheurs et visiteurs qui nous prennent pour des « aventuriers » sic. Nous trouvons un super bivouac tchétchène à Catel Fort, une fortification qui surmonte la baie de Lecq. En effet vu les coeff toutes les grèves sont noyées.


Lever 6h pour profiter de la PM afin de passer dans des grottes qui étaient à sec la veille entre Lecq et Bonne nuit bay. Hélas le coup de vent de la fin de journée du jeudi a levé une houle qui nous dissuade de tenter la plupart des grottes traversantes mais nous nous amusons beaucoup dans les couloirs.

devils Hole


Torda en balade
A Bonne nuit bay nous prenons un excellent breakfast avant de repartir direct sur Lecq afin de pêcher à la traine.


Bonne nuit bay et son café

Deux maquereaux se laissent tenter par une cuiller rouillée : ils amélioreront le repas du soir. L’après midi est consacré à la sieste et à une balade pédestre vers Gros nez point. Notre spot de rêve de la veille étant occupé et devant se lever très tôt pour rentrer sur le continent samedi nous décidons de partager, pour une nuit, le sort des SDF et de squatter la salle semi couverte du Seaside café ou nous passons une bonne mais courte nuit.

Lever 5h car la marée n’attend pas pour profiter du gros courant O/E qui nous amène à 11km/h de moyenne en dessous des Ecrehous. Ensuite le courant s’inverse et nous remonte vers Carteret un peu plus vite que nous ne souhaiterions, la mer est un peu agitée ce qui nous empêche de donner toute notre puissance et fausse nos calculs de nav. Il faut se battre pour Carteret. Le demi au bistrot à l’arrivée est bien mérité.

Patrick, Bertrand, Jean

[EDIT Sam] Prolongements dans ce sujet.

salut a tous un petit compte rendu de la vezere 2017
départ du club a 17h30 après quelque embouteillages et un petit arrêt pour manger nous arrivons au camping a 1 heure et nous montons le camp. course en attendant florian allias mickey embarquement a 11h00 ou le saut du loup nous attend !!!
il sera passé sans encombre , barrage crevé et goujonnière sont franchi sans problème nanard fonçant dans la goujonnière tout droit sans se poser de question … le reste de la descente se passe sans problème ! bravo a alain et nanard !!
arrivé au camp a 14h00 pour un repas bien mérité et la !
un gros orage déverse des trombes d ’ eau en fin de repas questionnement on embarque ? qui est motivé ?
et ho la !! on est venue pour faire du kayak pas la sieste !!
un manipeur du groupe de bain nous emmène a l ’ embarquement le temps de vider les kayaks avant d ’ embarquer ( oui ! oui ! j ‘vous dit des trombes d ’ eau ) nous commençons la descente ???
mais non que neni !!! on a oublié les fautes de cadet : nanard : j ’ ai oublié mon gilet ! jérome : euh j ’ ai pas ma jupe …
saut du loup : tient y a plus d ’ eau esquimautage de nanard et de alain mais ! c est un ton au dessus la rivière a légèrement changé et oui en une heure le niveau est monté çe qui vaudra a nanard trois dessalage dans la descente secouru par manu greg mickey et alan de bain malgré le pilotage dans les chiquen passe de frécho !
a l ’ arrivé on se change … enfin pas pour tous ( nanard les affaires sèche ça se charge dans le camion qui est a l’ arrivé !!! :smiley: :smiley: )
petit détour au marchand de kayak pour récupérer un kayak acheté par jérome qui ne sera pas la , apéro pates, :unamused: et dodo tardif !!!
le lendemain nav sans problème pour une intégrale nous ne somme pas arrêté a l ’ usine la dernière partie de la descente est a faire au moins une fois !
une fois changé nous somme prêt a partir embouteillage sur le pont et la !!
allan nous cours après heu … je devait rentrer avec vous !! :unamused:
déjeuner puis rando pour certain et descente tgv bernard navetant !!
lever 07h00 rangement et dépliage efficace et attente du lacher de 10h00 qui était a 09h00 embarquement avec un bateau test pour nanard ( mamba ) qui devait lui assurer une nav sans problème cependant …
1er dessalage pour nanard qui remettra le couvert quelque km plus loin et fait un peu d ’ escalade !! finalement il n achètera pas ce bateau
départ a 13h00 pour arrivé au club a 20h00 1125 km de parcourue pour un budget de 107 euros les trois jours !!
merci a manu greg et allan pour leur encadrement et l ’ année prochaine !!! :smiley: :smiley:

Il faisait chaud à Saint Malo,trop chaud même, on se serait presque crû dans les Calanques en plein cagnard… non j’exagère un peu comme d’hab mais j’avais juste le short, un lycra tout fin, le chapeau, les lunettes. Claude et moi on est parti de Solidor en lorgnant les petites minettes qui venaient se mettre en maillot sur la cale pendant la pause déj. Si si Claude je t’ai vu derrière tes Raybans!! Pour se garer ça avait été coton parce qu’une bande de kayakeux bataves avaient squatté les places de parking.
Cap sur le grand B (bé, bey ort… please) puis sur la Conchée avant d’arrondir et de se poser sur Cézembre pour casser la croûte après 1h de traversée. Y avait déjà du monde en maillot et on était qu’au 14 juin…

Les bataves nous suivaient de près et s’échouèrent aussi pour le picnic. on se remit en selle pour faire le tour de l’île dans le sens lévogyre puis on s’en fut s’amuser dans les courants du grand jardin dans cette 4ème heure de jusant. Harbour (cette perle) nous tendit les bras puis nous fîmes un gigantesque bac jusque sous les fenêtres d’un autre milliardaire qui vous plante de gigantesques sculptures dans son jardin.
Nan, c’est pas Liliane, ni Vincent c’est l’autre breton… puis on est remonté peinards jusqu’à Solidor poursuivis par les bataves. 20km au compteur.
retour comme d’hab: bouchons, rinçage, rebouchon, bière sur la terrasse etc…
2 pélerins seulement parce que le troisième faisait du tennis et du bridge…

on sort peut-être la semaine prochaine
François

RDV club 13h30 : nous sommes 2. Pour limiter notre bilan carbone nous décidons de faire la traversée de rennes plutôt que d’aller au Boël.
Nous embarquons à la cale Robidou. Pas de pb de stationnement par ce beau dimanche, tout le monde est à la plage.

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Un petit tour sur la roue du grand moulin :

Et nous voilà sous les quais. Visite architecturale commentée par Thierry qui connait bien les maisons des quais.

Et nous arrivons très vite au tunnel. C’est bon signe on en voit le bout.

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La traversée de la nuit en plein jour se passe sans encombre.

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Nous dérangeons quelques grosses carpes qui prennent le soleil au milieu de bouées de jussiane, continuons notre périple le long du mail.

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Arrivés au confluent nous remontons l’Ille jusqu’au bourg l’évêque en discutant avec badauds et pêcheurs.

Retour tranquille au club pour 17h15.

Le concept était balade tranquille : un succès.

Patrick

Température caniculaire mais en mer il y avait un léger souffle et il faisait bon. Rdv au club à 9 h 30, embarquement vers 11 h + sur la cale de Saint Servan à marée basse et cap au Nord sur Cézembre dont nous faisons le tour avant de cuire sur la plage pendant le pique-nique. Cézembre a été déminé mais on n’a toujours pas accès à la partie militaire qui reste un havre de paix pour les oiseaux marins. Un peu d’eau vive près du phare du grand jardin et grand bac vers Dinard. Belle visibilité sur les fonds. Jamais vu autant de papillons en mer ! Retour à Saint Servan, baignade pour moi (on se croirait en Grèce au mois d’août) et retour au club vers 17 h.
Voiture de François avec les deux kmers dessus.

4 participants Bernadette, Cristelle, Yves, Jean

RV Vendredi 18h30 club, piquenique puis départ vers Larmor Plage vers notre douillet logement cristellien (merci).
Samedi matin levé matinal 6h pour être au départ à 8h. Etant un peu tard, nous innovons et partons de la petite plage à droite du Perello (bonne option à retenir moins de portage et de monde).
143 nageurs cette année, 150 kayakistes armada de bateaux suiveurs transporteur de nageurs et bagages, et SNSM. Une recette conséquente pour les autistes pour leur apporter un plus à leur vie de tous les jours.
Remise des dossards et tee-shirts, grand soleil et brise d’Est force 3 pour aller à Groix pour le 2 ème petit déjeuner.
Echanges entre kayakistes de tout pays et nageur (Philippe Landrein nous annonce un regroupement international cette été , mail à suivre j’espère).

A partir de 10 heures c’est parti pour le retour 6,5 km avec nos nageurs que nous guidons et ravitaillons.
Nous avons tous des nageurs performant (numéro élevé) … ce qui fait que nous sommes tous rapidement arrivé Plage du Perello (selon les nageurs entre 1H30 et 1h50 de traversée)
Nouvelles discussions avec la communauté pour apprendre que nos nageurs s’entrainent au moins 3 fois par semaine. L’apéro et le buffet sont copieux nous n’aurons pas besoin de pique-niquer.

Nous reprenons Beber ensuite vers la plage de la Nourriguel pour notre 2 éme étape de notre journée. Nous explorons de bout en bout la petite mer de Gavres (4km de long) jusqu’au-delà de Riantec après avoir longé Port Louis (traversée avec courant et trafic de l’entrée du port). Cette baie est peu profonde et ressemble à un gigantesque aquarium, nombreux poissons, dorades et autre qui sautent à notre passage, Les poches gélatineuses blanchâtres (environ 5 cm de haut) en forme de ballon de baudruche, accrochées sur les fonds ont été identifiées a posteriori, merci Bernadette, ce sont des pontes de mollusques marins, c’est la pleine période.

Retour pour la douche à la base puis repas bien mérité le long de la plage vers 20 h (restaurant La potinière sur la promenade de port Maria).

Le lendemain départ vers Doelan. Le port de Doélan et magnifique. Le soleil et la brise sont toujours là (journée idéale). Nous enchainons toutes les anses et ports : Portec, port Baly, Merrien et finissons au port de Brigneaux, peut être le plus beau.

Retour 21h au club, une bien belle sortie où nous avons eu l’impression d’avoir fait plus qu’un WE.

Transport camion club 35 euros pour 406 km (quand on est que 4 c’est plus cher) + repas restau

Patrick ayant décidé de nous faire faire le tour de l’ïle aux moines dimanche, ben le lundi c’était Méaban pour Klaus (le mari de Antje) et moi.
Dîner sympathique au roof le dimanche soir avec Klaus, Antje, petit Paul et Cécile et Léna. nuit réparatrice au camping de Conleau. Transfert à Larmor Baden pour raccourcir la balade, picnic au soleil puis embarquement sur le coup de 12h30. La jument cavale toujours bien et le bac entre Berder et Er Lanic est musclé. Les pierres n’ont pas bougé depuis la veille. rebac vers l’île de la jument et slalom entre les vagues et les marmites puis on se laisse glisser vers Kerpenhir. Klaus, excellent pagayeur d’eau vive, s’extasiait sur ces mouvements d’eau rigolos.
Pas de vent et un courant portant, il n’en fallait pas plus pour nous diriger vers Méaban avec une petite pensée pour Patrick. On en fit prestement le tour et on remonta presque à l’étale vers le petit Vézit et l’ouest de l’ïle de la jument puis le flot s’installa et nous transporta jusquà Larmor Baden pour un débarquement vers 16H et un retour qui vers Plougrescant qui vers Rennes.

Bonne balade à ceux qui iront à Etretat.

Nous sommes 20, 15 teviens et 5 aliens sur le quai de la gare de Barrarac’h. Le convoi nous emporte. Au travers des vitres, nous voyons Port Anna, la maison rose du marin, Boédig… A la gare de Logoden, le chef de convoi, distrait, ou pas défumé de la veille, ne voit pas que l’aiguillage nous envoie vers l’Ouest. Vent de face, la loco s’essouffle dans la côte et le convoi avance en accordéon jusqu’à la gare du Nioul où nous retrouvons la voie principale. A la gare de la Jument, plus de jus, rupture de caténaire, ça tombe bien, tout le monde à faim.
Restauration au buffet de la gare dont la cave est bien garnie grâce à Frère Yves des Entonnoirs. Nous prenons le feriboat pour une visite commentée d’Er Lanic. Là nous attend l’Impérial Pullman grand confort de 15h15 qui nous ramène à bonne vitesse, Port Blanc, Arradon défilent … Quelques accros montent sur le toit pour se griser du sentiment de vitesse, les autres restent gentiment sur leur siège. Et le train nous dépose à la gare de Barrarac’h à 17h02, soit 2 minutes d’avance sur l’horaire prévu. Et tout le monde rentre fourbu, bronzé, voire cuit du pif et content….

pour les stats : 264 km/15 €/ 20 dont 15

Patrick

3 Costarmoricains et 2 Teviens (nous devions être trois, mais le boulot dispose) pour cette rando montée en remplacement d’un déplacement lointain qui se fera plus tard.
L’Allier fut donc choisi en plan B de luxe. Bernadette montant aussi un plan Allier en aout et ne voulant pas lui piquer de “clients” je suis resté discret sur notre escapade. Aujourd’hui je vous le confirme: l’Allier c’est top. Je me demande même si je ne préfère pas l’Allier des plaines à la partie haute plus connue et plus montagneuse.

Dimanche
Départ de Coudes au sud de Clermont terme de la rando CRBCK d’il y a deux ans après une nuit pluvieuse au camping de Cournon d’Auvergne où nous avions laissé Bébert. Courte étape avec quelques rapides. environ 50m3 sur la rivière grossie par les pluies de la semaine précédente. Bivouac moyen en RD vers Mirefleurs. Nous étions bien chargés mais nous avions fait le choix d’une rando confort avec table, trépieds, tipi et tarp ainsi qu’une autonomie totale en vivres (y compris en vin et pain!) et d’une autonomie de trois jours en eau (3l d’eau /jour/personne soit 45L/KG dans les bateaux!!). Nous avions même une glacière avec un pain de glace de 4kg5 qui a tenu trois jours.

Lundi
Matinée facile et agréable pique nique à Pont du Chateau. Après midi pénible avec deux portages chiants. L’un à cause d’une cassure de marne dans le lit de la rivière créant un gros rapide. Le niveau étant haut nous n’avons pas tenté la cordelle en rive gauche et pris le portage long aménagé récemment en rive droite. La chaleur est pénible. Deuxième portage sous l’autoroute dans de gros blocs glissants car la “passe” empruntée quelques années auparavant avec Luc et Claude est pleine de caillasses et Franck étrenne un superbe prospecteur de 15 pieds en bois de sa fabrication qu’il ne veut pas abimer. Un peu plus loin une rupture de pente occasionne un gros train de vagues qui remplit le Old Town. Nous nous arrètons là sur une petit île au milieu de la rivière pour un magnifique bivouac bien mérité. Le village de Joze est tout prés mais quand même éloigné de la rivière et de ses crues (600m3/s).

Mardi
Départ 10h15 (les portages de la veille avaient laissé des traces) grosse chaleur (35° ce jour là) On monte même le tarp pour s’abriter de Phébus au picnic.On atteint péniblement le bivouac de rêve que j’annonçais, une courbe avec une falaise de sable multicolore percée de nids d’hirondelles de rivage avec à l’intérieur une plage de galets et des plate-formes sablonneuses pour les tentes. Bain, bon dîner et même feu de camp. Nous sommes juste un peu avant St Yorre.

Mercredi
Départ 9h25 et long parcours tranquille jusqu’à Vichy. Les guinguettes nous tendent les bras pour une bière bien fraîche mais étant donné le portage qui nous attend je dissuade les troupes de céder à la tentation et croyez moi çà me frustre beaucoup. On porte quelques mètres et on remet à l’eau sur le canal d’alimentation de la rivière artificielle théoriquement réservé à la pêche. Il est midi, il fait une chaleur étouffante et nous ne voyons pas un pêchou. arrivés à la rivière artificielle nous débarquons en rive gauche et vidons les bateaux une nouvelle fois. le début de la rivière est possible en OC mais les gros seuils de la fin sont trop gros pour nous. Nous cordellons néanmoins le Pocket et l’Old Town le plus bas possible sur la rivière pour nous ménager et nous portons le bateau de Franck et notre bazar à la main. Nous chinons un peu d’eau aux animateurs, à peine aimables, de la base de kayak et nous nous écroulons à l’ombre pour un délicieux picnic et une sieste bien méritée.Embarquement sous les regards admiratifs d’une famille du lumpen prolétariat vichyssois qui prend le frais, bière en main.
Bivouac à Billy en RD le long d’un chemin carrossable mais pas trop fréquenté. Jean Raymond nous régale de son fameux Risotto.

jeudi
Matinée libre et visite de Billy pour les troupes pendant que je garde le camp et prépare le taboulé du midi. Retour des troupes avec des bières fraîches, repas, sieste et embarquement à 15h pour une courte étape. Nous avons en effet décidé de mettre un terme à la randonnée à Chatel de Neuvre quelques km avant Moulins pour que l’attente pendant la navette soit plus agréable car à Moulins il n’y a pas de camping. On glisse sur le courant lisse, on tournicote sur le lit en tresse de l’Allier et on admire la nature. Nous nous arrêtons en RG avant le début de la réserve naturelle où le bivouac est interdit, sur un bivouac de rêve dans une grande courbe avec plage, ombre et sable pour planter les tentes. Nous nous baignons avec nos gilets dans le long rapide (classe I) devant le camp et pratiquons un peu le jet de corde avec des fortunes diverses, mais tout le monde se rend compte que même en classe I le courant est puissant et que dés qu’on a de l’eau au dessus du genou il est difficile de rester debout. soirée discussion philosophico-religieuse et dodo vers 22h30.

Vendredi
Lever 6h15, premier coup de pagaie à 8h20. Beaux paysages dans la réserve et arrivée sur le coup de midi au camping de Chatel de Neuvre (camping de Neuvre en RG 1km après le pont). Le camping est à l’extérieur d’une courbe et se fait grignoter par la rivière. Il faut trouver une minuscule plage et hisser les bateaux sur une première plate forme. Une corde qui pendouille facilite bien la manoeuvre. Accueil très aimable et tout en piqueniquant nous choisissons, qui l’entrecôte, qui le saumon pour le dîner du soir au petit restau du camping. après picnic douche et sieste je suis conduit par l’aimable patron du camping à la gare de Moulins. 1h de train et 30mn de retard plus tard je suis à Clermont et un taxi me dépose au camping de Cournon pour récupérer Bébert. A 20h nous terminons cette rando par un sympathique repas cuisiné par la patronne du camping.

Samedi
Décollage à 8h, passage à Orvault pour déposer Franck et son magnifique bateau , une petite réparation en perspective à cause d’un caillou fourbe dans le petit seuil de Billy (Claude et Luc ont eux aussi un petit souvenir de ce seuil :wink: )
et arrivée à Tizé vers 17h pour nettoyer le camion avant de passer le relais à Marco et sa rando vers Etretat. Comme à la Samaritaine, “il se passe toujours quelquechose à TEV”

Les participants: Anne, Maryse, Jean Raymond(côtes d’Armor) Franck et François (TEV)
budget: 308€ avec deux restau et 1400km dans Bébert.
Niveau d’eau: plus de 50m3 au départ baisssant à environ 20m3 les derniers jours (données ST Yorre). Excellent niveau. Me semblerait bas au dessous de 15m3.
environ 125 km parcourus en 6 jours mais avec deux courtes dernières journées.
temps magnifique alors que la semaine précédente avait été pluvieuse. fortes chaleurs (jusqu’à 35°). Il vaut mieux privilégier les départs matinaux (ce que nous n’avons pas toujours réussi à faire) et les longues pauses à l’ombre au picnic.
Vous avez une deuxième chance en aout pour découvrir ce magnifique parcours, profitez-en!
Bon été à tous et à la prochaine en Corse pour certains.

Samedi 8 juillet 2017
La Guimorais/Cezembre et retour. Beau temps. MB 14h30, coef 70, vent B3 forcissant rafales B4, NO … N … NE
Dans le cadre du calendrier Loisirs CDCK35, le club TEV a organisé une sortie La Guimorais - Cezembre.

Que 2 clubs participants, dû peut-être à la date, en ce début de vacances.

5 TEViens et 11 pagayeurs du club de Pont Réan ont eu le plaisir de faire connaissance et profiter d’une belle journée ensoleillée.
Nous sommes partis à 10h15 du parking à La Guimorais ( après le camping Les Chevrets). Nous avons filé tout droit sur La Grande Conchée et puis débarqués sur Cezembre à midi pile pour le picnic de midi, où on a eu la visite du club de St Malo.
14h15 on a rembarqué, fait le tour de Cezembre, et puis sont repartis du est au point de départ, arrivée 17h. Certains étant un peu fatigués, nous avions renoncé à rentrer dans le Havre de Rotheneuf. A l’arrivé, exos de sécu pour ceux qui en voulaient avec Louise et Mélanie (BE de Pont Réan).

Nos invités étaient très contents et ont exprimé leur souhaite de participer de nouveau à une sortie en regroupement.

Félicitations à Basile, le benjamin de la sortie, et Mention Bien pour Frecho, Francis, Sylvain et Youan, qui se sont prêtes au jeu pour les exos de sécu.

Bonjour à tous,

Nous sommes parti le Dim 9 Juillet pour découvrir les falaises de la Seine maritime.

Comme le disait un ami: ya que des falaises et la mer , mais quelles falaises !!!


Nous étions basé à Yport (au camping Le rivage) à mi-chemin entre Etretat et Fécamp.

Nous nous étions renseigné auprès des locaux (CK Fécamp et Matthieu l’hopiteau CTR ) qui nous ont admirablement guidés dans nos choix.
1er jour : Yport-Etretat-Yport (Vent = null, Marée 70 : BM = 19h00)

En fonction de la marée nous avons choisi d’embarquer à 15h00 et d’aller vers Etretat pour profiter de la descendante et retrouver la montante (ou l’étal) au retour.

Première vue sur les falaises, nous voyons au loin l’arche, mais elle nous semble bizarre,moins gracieuse que l’image d’Épinal que nous avions.


Arrivé sur place nous découvrons qu’il y a en fait plusieurs arches à Etretat (3 en fait).

La mer est calme et le passage se fait tranquillement. Sous la seconde c’est un festival de Paddle et autre sit on top !!! La troisième est elle à sec (nous sommes à marée basse).

Nous poursuivons vers le cap d’antifer. Retour sans encombre vers 20h00.

le 2eme jour (Yport-le trou du chien-Fécamp-Yport ) (Vent : W 3-4 : Coeff 75 PM 13h14)

Suite aux conseils avisés de nos correspondants locaux, nous allons vers Fécamp et le trou du chien (un peu au nord). La mer est plus agitée et si l’aller vers fécamp se passe bien notre arrivée dans le chenal coïncide avec la sortie des régatier du tour de France à voile . Aucun manuel ne nous indique comment nous comporté au milieu d’une flottille de cata de vitesse . Pause dans les vague puis traversée en groupe du chenal et passage de la pointe du Cap fagnet. les conditions météos nécessitent toute notre attention et nous nous arrêtons piquenique juste après avoir passer le Trou au chien , petit trou dans la falaise. D’autres passages sont possibles mais à mi-marée par beau temps.


une pause s’impose au port de Fécamp ou nous retrouvons, France Abel, l’organisation du tour de france à la voile et le palais de la bénédictine !!!

Au retour nous retrouvons l’arrivée de la régate du jour et malgré le vent de face nous avons même le temps d’effectuer quelques manœuvres de sauvetage. ( https://drive.google.com/drive/folders/0BysKceWrh1cZQktuZnM4a3RtMUU)

Le 3eme jour (La Seine (Vieux-port - Pont de Brotonne Coeff 77 PM a Caudebec à 16h00)

pour changer un peu et pour découvrir autre chose , nous décidons d’aller voguer sur la seine. Sur les conseils du ctr nous embarquons à Vieux bourg pour aller jusqu’au pont de brotonne. (pour le calcul de la marée consulter : http://www.mareespeche.com/fr/haute-normandie/caudebec) .

Au début nous sommes portés par le courant et poussés par le vent , nous faisons des pointes à 12km/h. Là encore nous trouvons des falaises et mais aussi de gros cargos qui ne nous gênent par vraiment.


La fin est un peu plus laborieuse car nous ne ressentons plus les effets de la marée. France nous a gentiment navettés et nous retrouvons notre BBR à l’endroit prévu avant de reprendre la route pour le retour.

C’est sur , la Normandie c’est des falaises et de l’eau

une petite vidéo concoctée par Stéphanie pour vous donner envie : https://youtu.be/Zt2OkIPs6dE

Retrouvez l’intégralité de nos photos sur :

Bila: 5jours, 5 Teviens, 45 € Camping + repas , 55 € transport (690 km)