Compte rendu des sorties 2018

8 teviens + Yves Abel ont descendu la Rouvre le 1er avril et ce n’est pas un canular.

RDv Pont Huan 11h30, pique nique, navette et embarquement.
Le niveau est correct : 140 VC et la descente se passe bien même si Bernard, un peu distrait goute l’eau à plusieurs reprises. 1 arbre en travers nécessitant portage.
4 courageux rempilent pour un Pont Huan/ Segrie qui se déroule sans aventures. Jonquilles et anémone sylve étaient au rendez-vous.

Les photos de Thierry : https://drive.google.com/open?id=13YdRVq2OISphG0JKYWJfPuxabSDWc6PY

Patrick

23 € - 8 participants TEV 4, REN 2, St greg 1 , KMCE 1.

Première descente sur le moyen Ellé à 1,61 VC. La rivière est puissante à ce niveau, nous travaillons sur les veines d’eau qui ne sont pas trop noyées. L’arrivée sur les Roches se passe sans pb. Reco sommaire et nous sommes 4 à nous lancer dans la passe de droite. Pas de soucis si ce n’est que sur la ligne droite de sortie, tous les câbles de slalom pendouillent dans l’eau avec des monceaux de portes cassées attachés. Il faut piquer RG pour éviter le merdier. Vandalisme très vraisemblable puisque le club de Quimperlé rencontré sur le Ht Ellé nous indiquera que tout était nickel la veille.

Pique nique au soleil et la troménie repart sur le Ht Ellé. Le niveau est sympa 84 VC. A ce niveau la rivière est vive et beaucoup de cailloux sont submergés sauf un au dessus de Barrégan qui déséquilibre Marie. Elle s’accroche à son bateau et descend tout Barrégan. On la récupère en dessous la main en sang. La pucelle se passe bien, les osselets aussi. 25 mn de descente bain compris.

Nous repartons sur le Scorff ; la glissière cueille notre féminine par surprise. Descente slalomée sans soucis ensuite. Bis repetita. Nos deux malouins ayant envie de dessaler leur tenue, ils ne résistent pas à l’appel de l’eau douce sur cette descente.

Arrêt andouille de Guéméné cette fois-ci.
Photos dont une de rencontre avec des chevaux sur le Moyen Ellé dès que j’aurai retrouvé mon appareil.

Patrick

TEV 3, REN, 2, 10 € en VP.
La Rouvre n’ayant pas monté comme nous le souhaitions, nous sommes restés sur la Colmont qui était bien en eau.
Première descente d’échauffement avant le repas. Pique nique très agréable et bien fourni.
Deuxième descente bien slalomée, Bernard lâche les chevaux et passe tout les doigts dans le nez.
Belle journée sur une Colmont au ras des berges.

Patrick

Scorf ,moyen Ellé dimanche 15 avril,
7 téviens au rdv club ce dimanche à 9 h,après un chargement rapide nous prenons la direction du Scorf .
Nous arrivons à Pont Calleck à 11 h et c’est parti pour descendre un petit Scorf printanier,sympa aucun souci.
Après le pique nique à l’endroit habituel sur le bord de la rivière,nous nous dirigeons vers l’embarquement du moyen Ellé.
Après la navette nous entamons la descente ,très agréable,petit niveau 1 m 10 VC à Loge-coucou. 2 passages des roches pour les plus motivés.
Petit gouter agrémenté d’un cake qu’Antoine nous a offert et des cookies que Mathis nous a faits (il s’est levé à 7 heures dimanche matin pour les préparer) .
Au final une superbe journée de kayak,25 euros par personne.
Les participants Elsa,Patrick,Thierry,Mathis, Antoine S,Didier L,Didier G.
Bonne semaine à tous.
DIDIER.

4 teviens 10 €

Premier coup de pagaie midi, un peu d’eau vive dans les veines d’eau de l’île des landes. Passage du Grouin sans encombre. On pique sur la plage du saussaye. Petit shore break qui nous vaudra à Thierry et à moi un petit bain de siège, qui à l’arrivée, qui au départ.
Pique nique agrémenté par le spectacle de naïades qui posaient pour alimenter leur fesse-bouc, sieste.
Nous continuons, certains en rasant les bords, d’autres en cherchant le courant plus au large. On cherche en vain les vagues à l’entrée du havre avant de rejoindre la varde après 15 km de nav.
Météo superbe.

Patrick

Par une journée très ensoleillée, nous avons donc pu tester 4 kayaks sur le Blavet devant chez Idoine:
Le sea Leopard et le sea lion HV d’Aquarius, le Rebel Husky (aquarius aussi) et le Arrow Play de Zegul.
Et notre choix s’est porté sur le Rebel que j’irai chercher le we prochain. Ravies de nos essais et surtout très contentes d’avoir pu trouver le kayak de nos rêves, nous avons été nous balader le long du stade d’eau vive de Lochrist qui était bien en eau avant de naviguer 2h sur le Blavet vers l’amont (2 portages aux écluses).
Belle journée entre filles

13 Teviens pour ce regroupement départemental cdck35 dans le Golfe. Nous retrouvons des pagayeurs de REN, Pont Réan, St Domineuc, St grégoire à la pointe de Kerners par un temps nettement plus maussade que les jours précédents mais qu’importe, l’escadre de 38 pagayeurs se lança dans une circumnavigation de l’île aux Moines et Arz en passant par Gavrinis et Berder!!
L’arrêt picnic se fit dans l’anse de Locqmiquel sur l’ïle aux Moines. Nous mettons l’ambiance sur la petite plage tranquille malgré une petite pluie fourbe et nous repartons sur une mer d’huile.
Quelques Teviens dissidents dont votre serviteur et son équipière shuntérent le tour d’Arz pour rejoindre plus ou moins en direct la pointe de Kerners avec un peu de vent de SO dans le pif. Attente des courageux qui avaient fait le tour complet. Quelques pagayeurs moins aguerris arrivèrent bien rincés et tractés par un bout compatissant. Goûter bienvenu et délicieux cidre de l’ami Christian avant de dire au revoir à nos petits camarades et de remercier Robert de REN, sympathique organisateur de la rencontre. Retour vers 20h15 au club après les encombrements de la presqu’île de Rhuys pour le traditionnel rinçage du matos.

18€ par Tête de Pipe. 144€ pour l’achat de BBR III.

Véro, Martine, Elsa, Bernadette, Yves ,Henri, JP, Marco, Frécho, Christian, Sam, Daniel et François étaient de l’aventure.

les photos d’Henri ici

Le grand parcours (14 M (26 km) environ : 5 M le matin, 9 M l’après-midi))


ps: c’était mon millième message!!! :smiley:

OCF/Ardèche 2018. 27 avril-5 mai

Vendredi
Route sans histoire jusqu’à Mirabel et Blacons avec abandon de Martine à Montmarault pour qu’elle rejoigne ses pénates bourguignones. Nous arrivons à temps pour nous installer dans notre superbe chalet et nous filons écouter les discours d’ouverture avant de nous précipiter vers la dégustation de Clairette de Die. Dégustation de pizzas au chalet et dodo bien mérité après une longue route.

Samedi
Matinée libre pour tous afin de suivre les ateliers du festival : pêche, faune, cuisine de bivouac etc… de papoter avec de vieilles connaissances, d ‘admirer toutes sortes de canoës et de faire quelques emplettes du genre corde de secours, pagaies ou livres.
Après un pique nique au soleil et avant de sombrer dans les bras de Morphée nous embarquons à Saillans pour 10km toniques d’une Drôme bien gavée d’eau. Maryse et Anne font équipage commun et expérimentent la dure loi des drossages pour un premier bain. Nous réajustons les équipages et donnons ainsi à Jean Raymond et Maryse l’occasion d’un nouveau bain dans les branches suite à une tentative de stop dans un contre scabreux. La descente se poursuit sans encombres et après le passage du dévaloir de Mirabel nous débarquons au camping pour une douche bien méritée en attendant le dîner sous le grand tipi. Nous y retrouvons des copains et ingurgitons quelques mesures de la boisson diététique de l’effort recommandée par Patrick. Saucisses et ravioles nous calent et après quelques mesures du groupe les « Green Ducks » qui enchainent les tubes irlandais nous allons nous coucher.

Dimanche
Les eaux étaient hautes et dans son briefing Paul Villecourt avait fermement déconseillé la partie haute de la Drôme aux néophytes. Nous ne fûmes donc que quelques poignées de canoteurs à embarquer au parking de Sainte Croix. Le temps était maussade mais s’améliora un peu pendant la descente. On s’amusa bien dans les nombreux rapides de la rivière et un long piquenique suivi d’une belle sieste requinqua les troupes. On s’arrêta à Saillans après 18 km de descente et l’on attendit le dîner et le tirage au sort avec impatience. Las aucun des 9 canoteurs de notre groupe ne gagna la moindre babiole sans parler du canoë tant convoité.

Lundi
Matin : re ateliers divers puis piquenique collectif autour des tipis avant une petite descente entre Saillans et Ouste où l’on pu constater que les canoteurs et canoteuses avaient pris de l’assurance car aucun bain ne fut à déplorer.
Le soir Jean Raymond nous régala de son célèbre risotto et les divers breuvages ingurgités nous préparèrent pour une nuit réparatrice.

Mardi
La haute Drôme était au programme, le camp s’était vidé de ses festivaliers et il n’y avait plus personne sur la rivière. Après un savoureux piquenique nous embarquâmes à Pont de Quart pour 12 km de la partie la plus sportive de la Drôme : on frisait le III par moments.
Drossages manoeuvriers et petits rapides se succédaient sans cesse forçant l’équipe à une navigation précise pour notre plus grande joie. C’est qu’un canot mal barré dans un rapide ne se redresse pas comme ça et que l’anticipation est obligatoire. Arrivée un peu pluvieuse au parking de Sainte Croix où nous avions laissé le camion de Franck, navette rapide puis redescente à Mirabel pour un repas de fin de Drôme au restaurant du camping : les filles allaient nous quitter le lendemain.

Mercredi
Pendant que les garçons s’agitaient pour nettoyer le chalet je fis une navette vers la gare TGV de Valence pour permettre à Maryse et Anne de regagner la Bretagne et de répondre à l’appel du boulot.
Sur le coup d’onze heures on se transporta sur l’Ardèche et l’on s’installa au camp des gorges, dernier camping avant la réserve naturelle.
Avant d’aller descendre la section Vallon-camp des Gorges nous sommes allés retenir notre bivouac du lendemain à Gournier non sans se moquer gentiment du syndicat d’initiative dont le répondeur donne des informations erronées et vieilles d’un an.
Amusante descente avec au programme la glissière de Vallon, le Charlemagne moins gavé d’eau que l’an dernier mais bien plus sportif qu’en été et le passage du Pont d’Arc toujours aussi spectaculaire. Courses rapides pour les deux jours de Canot camping prévus à partir du lendemain.

Jeudi

Chacun s’affaire autour de ses sacs comme si on partait descendre le Yukon pendant un mois et on case barda et bidons dans les canots. Luc et Claude ainsi que Franck et Jean Pierre continuent à faire équipe. Patrick et Jean Raymond forment un équipage de choc et votre serviteur cale son sac sur l’avant du C1 pour résister aux rafales prévues par météo France. Car si le temps est plutôt beau, il est venté. De dos comme de face le vent sera parfois perturbant surtout pour moi, seul dans mon Vertige. La descente se fait néanmoins sans trop de difficultés et nous doublons quelques sit-on-top zigzaguant sur la rivière. Long piquenique et super sieste au bivouac de Gaud qui n’ouvrira qu’en début juillet et nous arrivons en pleine forme à Gournier. Nous avons pratiquement le bivouac pour nous (14 personnes en tout ce soir là contre 500 certains soirs d’août). Un peu de jus de raisin fermenté (l’alcool est interdit sur le bivouac) nous aide à faire passer le poulet curry, semoule que je concocte sur mon réchaud, tout va bien et on se retire sous la tente de bonne heure.

Vendredi
Lever matinal, porridge, crêpes, brioches, beurre, confiture, café pour caler les estomacs et l’on se prépare pour affronter d’entrée de jeu la célèbre toupine de Gournier, peu effrayante ce jour là à cause d’un niveau d’eau optimal. Avant cela nous accomplissons une mission humanitaire en aidant à traverser une jeune randonneuse solitaire aux charmes abondants. Galant, Jean Raymond l’enveloppe de son gilet et Patrick et moi traversons la damoiselle pour qu’elle rejoigne le GR4.
Nous franchissons la Toupine, nous régalons des nombreux petits rapides avant de faire une pause pour visiter la Maladrerie des Templiers dans le cirque de la Madeleine. L’Ardèche est pour nous, il n’y a pas un chat mais des chèvres peu farouches attendant le pain des randonneurs. Nous nous arrêtons pour un de ces longs piqueniques dont nous avons le secret. Au menu, pâtes à la sardine bien épicées et spectacle comique sur l’autre rive car les randonneurs pédestres doivent franchir une chatière tête la première pour passer du point haut du chemin au point bas. Un gros teuton à chemise à carreaux nous fait beaucoup rire. Nous poursuivons jusqu’à Saint Martin et franchissons en un clin d’oeil la passe à poissons que nous avions déjà franchie l’an dernier avant d’établir notre dernier bivouac au camping du Moulin. La glissière est en effet un piège dangereux qui a fait un mort dans le passé. Soirée pizzas au restau du coin après un apéro/coucher de soleil au bord de la rivière.

Samedi
Lever 6h, départ à 7 et on me lâche à Cluny sur le coup de 10h, affaire rondement menée.
Le reste de la troupe regagne Tizé vers 18h. Nous avons fait un beau voyage.

Les canoteurs : Maryse, Anne, Jean Raymond (Trégastel) Franck et son copain
Jean-Pierre (pays de Loire), les Teviens : Claude, Luc, Patrick et François R1 très serein car très bien accompagné par une équipe de choc.

2 Teviens + 1 KMCE

Jonction avec Jean Luc à midi à Port Pican. Didier L est venu en voisin nous saluer.
Pique nique puis gréage de la voile avec les conseils avisés de jean Luc.
Le vent attendu 4 risées de 5 est bien présent, il nous emmène à grande vitesse en vent arrière vers les Rimains. Le vent contre courant lève une belle houle, il fait faire attention à ne pas enfourner. Nous atteignons les Rimains en un temps record.

Nous les contournons ainsi que le rocher de Cancale avant de retourner contre le vent jusqu’à Port mer. Là nous décidons de refaire le même parcours. Eole est plus calme et c’est un gentil 3 bft qui nous emmène tranquillement aux Rimains.

Le vent se relève au retour. Nous tirons quelques bords, ça remonte pas trop mal au près, avant de taper dans le dur : azimut brutal Port Pican. On attend le maquereau de pied ferme pour une sortie voile / pêche. BDE chez Didier sur le chemin du retour.

Encore un grand merci à Jean Luc et Xavier pour nous avoir associé à ce beau projet voile et pour leur aide à la mise en œuvre.

Patrick

Lundi 28 mai,
Route peinarde par le centre Bretagne et jonction avec Jean Raymond au camping Le Roz en Logonna Daoulas.
Déj. Dans notre mobil home puis après une micro navette on embarque près de l’anse du Roz et on traverse jusqu’au Port du Tinduff avant de longer peinardement la côte jusqu’à l’anse de Lauberlach.
Séquence émotion quand un dauphin qui batifolait dans le port s’approche du kayak Rouge de JR et tombe littéralement en amour et se retourne sur le dos et vient frotter son ventre contre le kayak le soulevant légèrement. Incroyable! Puis le bestiau s’éloigne satisfait.
Retour en mode rapide avant d’aller faire les courses au super U du coin et se goinfrer de poulet curry.

Mardi 29
Il pleut dru et nous restons peinards dans notre home avant une promenade le long de la côte. Aprés un dej. léger nous embarquons au même endroit et mettons le cap sur l’abbaye de Landevenec aidés par la montante. La côte est truffée de petits mouillages et de rias sympas qui méritent une plus ample exploration.
Retour assez rapide malgré un petit courant contraire et nous nous mettons en quête d’un restau. La pizzéria du Faou est sympa et nous rentrons lestés pour une petite conversation désabusée sur l’état du monde autour de quelques gouttes de Vouvray apporté par l’ami Claude.

Mercredi 30
Lever matinal et à 9h nous embarquons par un temps brumeux pour remonter la riviére de Daoulas contre un léger courant de jusant. À un km de Daoulas nous faisons demi tour car le fond se rapproche et nous ne voulons pas nous envaser.
La descendante nous raméne tranquillou à notre point de départ.
Dej. Rangement de nos pénates et retour à Tizé pour 17h avant de partir pour d’autres aventures Bataves ou Parisiennes.

50km en bateau presque 500 en voiture.
Transport 30€ dans la berline de Claude et 87€ de couchage et nourriture.

Trois Teviens: Yves, Claude, François et notre ami Jean Raymond venu de Lannion.

La rade de Brest mérite d’autres sorties. Son faible marnage, la beauté des paysages et la protection qu’elle offre peut permettre de très belles balades même à des pagayeurs néophytes. Le camping du Roz est bien situé et on vous le recommande pour de futures explorations.

Les photos d’Yves ici: http://ovh.to/D498yx

Patrick, Antoine, Claude, Yves, Henri , François au départ de Tizé rejoints par Dominique à la Varde pour une séance voile pour ceux qui avaient la chance d’en avoir une ou de ne pas l’avoir oubliée dans leur auto. Vent de SO virant au NO dans la journée avec un bon petit force 3.
Chacun s’efforçant, à la voile ou à la pagaie de ne point trop s’éloigner les uns des autres. On alla virer le Meinga puis faire le tour des Tintiaux avant d’aller saluer la Crolante du coté de la Varde.
débarquement vers 15h30 et papotage avec des têtes connues de KMCE avant de rejoindre Tizé à temps pour la réunion du CD.

Les photos de l’ami Henri ici

Vogalonga + Croatie 2018


Départ jeudi 17 mai 8h,arrivée Habère Lullin 19h14. Jonction avec nos amis malouins. Rougaille saucisse apporté par nos soins et super plateau de fromages offert par nos hôtes. Camping au chalet à 11.
Vendredi 18 départ pour Venise 8h, la route est chargée mais nous finissons par arriver à Punta Sabioni après avoir fait le tour de la lagune par l’est. Les emplacements sont spacieux et le camping très agréable.
Samedi 19,nous prenons le vaporetto pour Venise afin de retirer nos dossards. La queue est un peu longue, retour par le marché aux poissons et aux légumes.
L’après midi nous avions prévu de naviguer vers Murano mais nous découvrons les réalités de la navigation à Venise, l’accès à la mer difficile, les courants, les bancs de sable, les canots qui foncent à toute allure. Nous nous limitons à repérer la pointe nord ouest de St Erasmo où nous prévoyons d’attendre la course.
Le soir, briefing, Didier et Stéphanie optent pour prendre le départ et shunter Burano, les malouins se voient tout faire et le reste du groupe reste sur le plan de récupérer la course à St Erasmo.
Dimanche 20,c’est le grand jour… Je me lève en même temps que ceux qui prennent le départ et apprends de la bouche du patron du camping, courroucé que nous ayons shunté son briefing que l’accès à la mer ferme à 8h… Branle-bas pour activer le groupe et à 8h nous sommes sur l’eau et rejoignons tranquillement notre point de jonction. Arrêt sur la plage sud de St Erasmo, il est trop tôt pour boire un café au bistrot.
Peu après 9h nous voyons arriver les premières embarcations, avirons, dragons boats, kayaks gondoles, SUP, canoés, gonflables…

L’entrée rétrécie dans le chenal est très disputée. Nous nous engageons en même temps qu’une péniche propulsée par une dizaine de gondoliers avec ragazza et sono à fond. Nous avons un vent de 3 ou 4 bft dans le nez jusqu’à Burano mais quelle ambiance ! Nous sommes vraiment portés par l’énergie qui se dégage de tous ces rameurs et pagayeurs. Quelques collisions sans conséquences avec surtout des avirons qui ont du mal à frayer leur chemin dans cette marée humaine. La traversée de Burano est superbe. À la sortie le chenal s’élargit, les pagayeurs s’espacent, l’énergie se dilue un peu et nous pagayons ainsi jusqu’à Murano. La traversée du canal est animée, chaque dragon boat y allant de sa chanson et de son animation sûrement répétée depuis longtemps.
Nous faisons une pause casse croûte à la sortie de Murano puis nous reprenons la course jusqu’à Venise. L’entrée sur le canal est très disputée, ça bouchonne et ça s’empaille à coups de rame.

Les kayakistes sont déroutés sur le quartier juif. Navigation très agréable. Nous finissons par retrouver le grand canal avant le Rialto.

C’est un grand moment de bonheur que de pagayer jusqu’à Saint Marc où on nous remet une belle médaille. Le débarquement étant très compliqué nous décidons de rentrer au camping par le lido.
La navigation retour camping est compliquée entre vaporetto, canots à moteur, ferrys qui sillonnent la lagune dans tous les sens.
Nous arrivons au camping avant la fermeture de l’accès et bénéficions d’un débarquement assisté très énergique.
BDE au bistrot du camping puis restau tous ensemble pour se raconter et fêter dignement nos exploits.
Lundi 21, les kayaks restent sur la remorque : quartier libre à Venise et arrivée de Cristèle le soir.
Mardi 22, pliage du camp sous la pluie, séparation avec nos amis malouins puis route vers la Slovénie et Cres.
On se plante à Trieste et on se retrouve à traverser l’Istrie. Plan pas si mauvais puisque nous arrivons rapidement à Porozina pour prendre le Ferry. Arrivée vers 18h au camping Kovacine près de la ville de Cres. Montage du camp dans un grand espace dévolu aux groupes à l’ombre des oliviers.
Mercredi 23 nous embarquons du camping pour découvrir la baie de Crès le matin et remonter jusqu’à un oratoire au Nord l’après midi.
Jeudi 24 nous longeons la côte jusqu’à Valun, pique niquons sur la plage du camping pour rentrer en direct.

Avant le débarquement un petit rappel sur les fondamentaux de la navigation en groupe s’avère nécessaire.
Vendredi 25 nous roulons jusqu’à Martinscica pour remonter la côte ouest jusqu’à Lubenice. Là nous visitons qui à la nage qui en kayak la grotte bleue.
Trois courageux attaquent les 400 mètres de dénivelé qui nous séparent du village abandonné sur le plateau afin de faire la jonction avec les marcheuses. Ils seront récompensés de leur effort sur une terrasse ombragée. Au retour les dauphins sont venus fêter l’anniversaire de Stéphanie. On attend la vidéo avec impatience.
Samedi 26, nous embarquons à Beli pour remonter vers le nord. Si les vautours sont absents, moutons acrobates et chevreuils garnissent les falaises. Nous arrêtons 2 km avant la pointe Nord car il commence à se faire tard.

Visite de Beli avant une remontée acrobatique des 18/100 de la rampe d’accès au port qui demandera une certaine organisation : pas question de s’arrêter donc de croiser c’est pourquoi nous bloquons la route.
Dimanche 27 Camp à Baldarin camp mixte textiles / nudistes au sud est de l’île, navigation vespérale pour les amateurs, histoire de repérer le site.
Lundi 28 nous embarquons du camping vers Ozor mais le courant nous freinant plus que prévu nous changeons de plan et traversons vers Nerezine sur l’île de Losînj. Pique-nique, visite, retour à la voile pour le K2.
Mardi 29 nous réalisons un petit exploit logistique en menant simultanément un départ en bivouac et un pliage définitif du camp afin de gagner du temps au départ. Nous laissons le camion en garage mort au camping.
Le premier coup de pagaie se fait à 11h pour remonter la côte vers le Nord. Le rivage est très découpé et nous trouvons rapidement un spot sympa pour le pique-nique. France fait une mauvaise chute et s’entame le cuir chevelu. Heureusement plus de peur que de mal car après un petit soin elle se remet de ses émotions. Nous remontons en longeant les recoins de la côte jusqu’à Punta Kriza où nous trouvons un spot de bivouac sans sangliers, avec peu de moustiques, une terrasse herbeuse spacieuse, un coin de baignade sympa et un foyer.

Repas, feu de camp arrosé à la prune par Steph pour son anniversaire puis dodo.
Mercredi 30, lever et pliage du bivouac.
Nous remontons un peu vers le Nord avant de repiquer vers le camping. Arrêt baignade et pique nique.
Débarquement, rinçage du matos après négociation auprès d’Elvis par notre ambassadrice de charme.
À 200 m du camping, grosse frayeur, la remorque dont la tête de lapin s’est mal verrouillée se détache du camion et s’arrête gentiment dans les arbres… Pas de bobo. Après x essais en tout genre et une sécurisation de la poignée et du chariot de la tête de lapin nous reprenons notre route. Il faudra la changer dès notre retour. Remontée de l’île, ferry, traversée de l’Istrie jusqu’à Momjan où nous avons trouvé un hébergement à la ferme. C’est en fait une ferme auberge en haut d’un village perché de l’Istrie gourmande.

Les aubergistes, prévenus de notre arrivée tardive ont accepté de nous faire à manger. Nous mangeons sur une terrasse avec une vue sur les villages perchés du coin et avec la mer en fond.

Tous les produits viennent de la ferme, même le vin, excellent. Le paiement du repas ainsi de la chambre sur deux caisses séparées avec un mix de Kuna et d’euros est un vrai sketch qui amuse beaucoup nos voisins. Nous dépensons nos derniers Kunas dans le magasin de la ferme auberge.
Le petit déjeuner est excellent et c’est bien lestés que nous reprenons la route. Nous traversons le Nord de l’Italie à bonne allure, arrêtons faire quelques courses à Aoste pour arriver à Habère Lullin avant 19h. Repas avec plateau de fromages et réception des reblochons commandés à Pauline.
Jeudi 1er dernier effort pour rejoindre Thorigné pour arriver vers 19 h, déchargement, rechargement, adieux, dispersion.
Les photos :
Thierry https://drive.google.com/open?id=1xtg_dAxZqwuRqUXdHdyBZZ9RWEDkZ-Hd
Bernadette https://drive.google.com/open?id=1_DsyO73mcnfKAiErsF6U2jPiyVoaXYvJ
Steph …
Les stats :
8 vogalongueurs, 9 croates, la gente féminine représente les 2/3 de l’effectif, un taux rarement atteint.
3830 km parcourus en camion, un prix de 520 euros pour le trip complet se décomposant comme suit : 116 € pour la nourriture, 132 pour le camping, 80 € de péages, ferry …., 192 € pour bébert. Ce à quoi il faut rajouter 3 restaus pour environ 60 € ainsi que les 32 € de la ferme auberge plus ce que nous n’avons pas manqué de dépenser en cartes postales, huile, bistrot, souvenirs …
Solde club : 1010 euros plus un demi plein.

Quelques enseignements à garder en mémoire :
Pour Venise regarder le camping du Lido et punta Fusina de préférence, L’accès à la mer est compliqué à Punta Sabioni même si le camping est très agréable.

Le départ de la Vogalonga, grand moment sûrement, peut être dangereux, casques et protections ne sont pas superflues.

Pour la Croatie, pas besoin de changer des Kunas à l’avance. On en trouve à des taux très intéressants à l’embarquement. On trouve les produits de base facilement sur place.

Pour les courses de fond, le Boulgour n’a plus la cote, par contre le quinoa, hélas introuvable sur place, est très demandé.

Des pentes de 18/100 ça passe avec Bébert chargé mais c’est le maximum et il ne faut surtout pas caler.

Nous étions 9 : 5 teviens et 4 invitées pour descendre la Vilaine aujourd’hui. Objectif , faire découvrir à 4 de mes anciennes collègues Rennes sous un angle différent.
La veille j’ai donné qqs coups de fil pour essayer de se faire écluser à l’écluse des Loges. J’ai bon espoir.
La mise en route est un peu compliquée, le temps de récupérer tout le monde. L’embarquement se fait plaine de Baud passé 11h mais nous sommes 3 mn en avance à l’écluse. Nous sommes accueillis par une charmante et très serviable éclusière qui nous fait descendre en douceur les 2 m du bief. Elle est tellement sympa qu’elle nous a donné son 06 xxxx xxxx qui va, je pense, circuler sous le manteau. Nous remontons vers le déversoir Laennec Robidou.

Nous enchainons sur la traversée de Rennes avec les jardins flottants avant de nous engouffrer sous la voute de République.

La traversée se fait sans encombre. Nous longeons ensuite le Mail pour nous arrêter en face de l’ancien centre France Télécom dédié actuellement à la Breizh Tech …

Le débarquement est facile, nous pique niquons à l’ombre. Repas pantagruélique avec salade grecque, salade verte, fromage, fondants au chocolat, tarte à la rhubarbe … le tout arrosé raisonnablement d’un Morgon et d’un reste de côte du Ventoux.

Nous remontons l’Ille avec opération nettoyage : un leurre de pêche et un ballon Manchester United du plus beau rouge état quasi neuf … Arrêt au déversoir de Bourg l’évêque et redescente tranquille dans une coulée verte au milieu du béton.

Une fois rejoint le lit de la Vilaine nous nous laissons descendre jusqu’à hauteur du parking 2 sur stade rennais. Le débarquement est l’occasion de peaufiner la technique pour quitter son kayak sans se retrouver le derrière dans l’eau.
Navette, chargement puis c’est le 4 heures pour finir la brioche que nous n’avions pas réussi à manger le midi.

Merci à toutes et tous, impétrantes ( AMV, ALG, FRM, CC) comme encadrant.e.s (SG, DC FP, YLH, PC)
Prix de revient 13 € (10 de loc, 1 d’assurance, 2 de transport) x 4 = 52 € pour le club.



Patrick

Participants, 4 : PC, AS, DC, BH
Jonction à 10h45 à Port Pican. Nous embarquons en direction du grouin. Le chenal de la vielle rivière est un peu animé par le vent contre courant mais passe bien. Nous arrivons vite au large. Ça moutonne car le vent est 4 /5 BFT NE. Vent et courant nous poussent gentiment vers l’Ouest. Nous arrivons rapidement sur l’anse du Guesclin. Dom nous trouve une plage orientée SE protégée de la houle et du vent. Pique nique très agréable. Nous rembarquons vers 14h, le vent a monté à 5 de N, la houle aussi. Il faut être vigilant sur les brisants entre les Tintiaux et le Havre. En face du havre nous voyons une dauphin qui plonge presque sous notre pointe. On comprend pourquoi le maquereau se fait discret … Les voiles nous permettent d’accrocher des jolis surfs. L’arrivée sur la Varde se fait à vive allure mais tout se passe bien au débarquement.

Navette, 4 h au chocolat par A. retour club 18h00

Patrick

4 participants PC, MC, LH et HC 300km 23 €
Départ club 23h30 direction St Gildas de Rhuys. Arrivée 1h. On va voir Houat ey Hoëdic à la ^pleine lune.
Lever 7h pour premier coup de pagaie 8h50 (PM + 1). Nous partons vers Hoëdic avec 3 à 4 bft en ¾ arrière, allure pas si simple surtout pour Marc dans le Husky qui se révèle instable dans ces conditions. La voile est très appréciée dans le K2.
A mi parcours nous sommes rattrapés par JR, un ami qui navigue sur un Corsair amarré dans le port de St Gildas de Rhuys. Il nous accompagne jusqu’à Hoëdic. Le vent tombe à 2, 3 Bft nous attaquons le tour de l’île par l’Est et rejoignons JR qui nous attends mouillé en face de l’ancienne station SNSM après 3h30 de kayak (2h30 de traversée et 1h de tour). Nous nous mettons à couple et débarquons sur son bateau où nous sommes bien reçus : la cambuse est bien garnie comme il se doit. Pique nique, retour à terre ; JR fait ses premières armes à l’avant du K2.
Nous partons à pieds pour une petite visite de Hoêdic qui va se limiter au fort, transformé en gîte d’étape, et au bourg avec arrêt bistrot sous un pin parasol au café du repos.
Nous nous séparons avec JR qui rentre sur St Gildas de Rhuys. Il v mettre 3h30 pour rentrer pour cause de pétole ++. Baignade sieste et réembarquement 2h avt PM direction Houat. Le courant n’est pas violent mais sensible. Il nous faut pas loin d’une heure pour traverser. Nous longeons la côte sauvage en explorant ce qui mérite de l’être jusqu’à la pointe de Béniguet où nous nous posons sur la première place au N vers 19h.
On se fait beaux pour aller au restau. Nous atterrissons après diverses péripéties au restaurant des îles : très bon plan.
Retour tardif, montage des tentes à la pile électrique et au dodo. Un peu plus tard c’est l’orage et une des tentes se révèle peu étanche et nous finirons la nuit dans une pataugeoire…
Lever 8 h, déjeuner, un peu d’esquimautage et de sécu pour les plus courageux.se.
Nous réembarquons pour longer la côte N jusqu’à l’Est de l’île où nous pique niquons. Nous mangeons , attendons la basse mer en siestant et faisant un peu de nav. A PM- 6 nous partons direction kercambre au 45. La glisse est bonne, la mer d’huile. Une brise de mer finit par se lever et c’est en 2h10 que nous abattons les 14,5 km du retour où un comité d’accueil nous attend avec la fanfare municipale.
Belle ballade avec d’excellentes conditions, ce qui n’était pas si évident au vu de la météo deux jours auparavant.

Les photos de notre ami HC. https://photos.app.goo.gl/9xNEUogP3PrM1i9m6

Patrick

CR Allier 2018
3ème partie de notre descente de l’Allier démarrée en 2015 sous l’égide du CRBCK.
Pour la première partie nous avions démarré à Langeac jusqu’à Coudes. L’an dernier nous avions repris à Coudes jusqu’à Chatel de Neuvre et cette année nous retrouva le samedi 30 juin au petit camping à l’accueil aimable pour un repas préparé par la propriétaire du camping.
Trois canots et six pagayeurs au départ de cette édition : Franck et Anne dans le superbe Prospecteur bois, fabrication maison de Franck, Maryse et Jean Raymond dans le Prospecteur Royalex de Franck et Martine et moi pour TEV dans mon Pocket Canyon.
Tables, chaises, Tipi et des tonnes de bouffe d’eau et de pinards furent chargés dans les canots et le dimanche 1et juillet sur le coup de 10h on s’élança sur le parcours. L’Allier charriait encore 70 m3/s contre 300 15 jours avant et l’embarquement à Chatel de Neuvre fut un peu sportif car le camping étant situé à l’extérieur de la courbe il n’y avait pratiquement pas de plage.
On avança rapidement jusqu’à un coin de Picnic puis après une longue sieste pour laisser passer la grosse chaleur on poussa jusqu’à Moulins où les trois canots furent passés à la cordelle en rive gauche. La tâche fut un peu compliquée par les baigneurs qui s’amusaient tels des saumons dans le petit rapide mais qui étaient inconscients du danger potentiel d’un canot lourdement chargé les plaquant sur une roche. Moulins passé on se mit en quête d’un 1er bivouac. On s’arrêta malheureusement un peu avant les super bivouacs que l’on vit le lendemain et l’on se fit bien dévorer par les « maringouins » locaux. Qu’importe un bon dîner bien arrosé réconforta les troupes et l’on se mit au lit le cœur joyeux et le ventre plein.
Le lundi 2 ce fut une autre paire de manche : météo France annonçait des orages et des vents jusqu’à 60km heure. On laissa passer un bon coup de vent matinal et on s’embarqua avec des conditions acceptables mais ventées. Le temps s’améliora au fil de la matinée et le courant toujours vif nous poussa jusqu’au Picnic puis après le pont du Veurdre on trouva en rive droite un magnifique bivouac surplombant la rivière. On passa un long moment à se faire masser par le courant et à se rafraîchir avant d’attaquer le dîner.
Mardi 3, beau temps et pliage rapide, les troupes sont rentrées dans la routine du trip et la bonne humeur et les bons mots continuent à fuser. On s’émerveille de la faune aviaire remarquable qui peuple les lieux et surtout des cigognes qui colonisent bon nombre d’arbres avec leurs nids gigantesques. On se croirait en Alsace ! Arrêt à Apremont pour un tour du joli village et un pot en terrasse avant un Picnic et une sieste à l’ombre. Nous rencontrons le président de l’association « Allier sauvage » et échangeons sur la fréquentation faible de l’Allier par les canoteurs et de son désir ne voir cette fréquentation croître que modérément pour préserver l’environnement. Personne n’a envie que l’Allier subisse la même fréquentation que l’Ardèche.
Nous reprenons la descente et franchissons facilement à la cordelle le barrage des Laurins. Prudence en cas de fortes eaux.
Arrivés au Guétin je fais une descente slalomée en solo des passes à poissons et Franck et Jean Raymond font une démonstration de Canot-slalom à deux qui impressionnent les spectateurs.
Nous endommageons malheureusement le beau bateau de Franck dans l’aventure. Il avait déjà un peu souffert au passage du pont qui suivait le barrage des Laurins.
Le bec d’Allier arrive vite e nous nous arrêtons longuement pour profiter de ce site exceptionnel. Le débit de la Loire et de l’Allier sont à peu prés identique ce jour là et on se dit que ce fleuve qui va jusqu’à Saint Nazaire aurait pu s’appeler l’Allier.
Le bras de droite de la Loire que j’avais pris avec Martine quelques années auparavant est désormais à sec et rempli de tonnes de sable. Une immense plage de sable avec de l’ombre pour les tentes nous accueille et nous nous installons. Papotage et bon dîner comme à l’habitude avant une belle nuit à la belle étoile pour certains.
Mercredi 4 après consultation de la météo qui annonce une nette dégradation pour le début d’après- midi je réveille les troupes à 6h45 et nous sommes sur l’eau à 8h30 pour rejoindre la Charité sur Loire et son camping. Navigation paisible mais un peu monotone dans de longues lignes droites avant un arrêt à l’ombre et une arrivée en début d’après midi à la Charité. Le ciel se charge, on passe un peu de temps à reconnaître la passe sous le pont : on veut éviter d’autres mésaventures au bateau de Franck.
Accueil aimable au camping avec ouverture de la sortie de secours par la gardienne pour raccourcir le portage. On monte tentes et tipi en prévision du mauvais temps et Franck et moi partons faire la navette par le TER de 17h. A 9h après un intercité et un taxi nous sommes de retour au camping pour récupérer nos véhicules. Le ciel est de plus en plus menaçant et c’est sous des trombes d’eau que nous rejoignons les copains à la Charité.
Le tipi nous accueille pour un dîner au sec et au chaud et nous allons nous coucher entre deux déluges.
Le lendemain matin, vent et pluie nous proposent de rester dans les duvets et d’attendre que la situation s’améliore. Ce n’est pas le cas et après la sieste il est décidé de rester une deuxième nuit à la Charité et après discussion de mettre carrément un teme à la randonnée et de rentrer vers la Bretagne avec une journée d’avance. L’objectif de terminer la descente de l’Allier ayant été atteint personne n’était frustré et le vendredi matin on se sépara en faisant déjà des plans pour la rando de l’an prochain.

100km de voiture, plus d’une centaine de km sur la rivière. 125€ nourriture et camping, transport environ 80€.
70M3/s au départ baissant à 50. Excellent niveau nous permettant des vitesses d’environ 8km/h.
Ce fut une belle rando.

Faute d’Anglos-normandes on va au Glénan …

Nous étions 4 (3 KMCE, 3TEV) PC, AS, DC, AR à embarquer pointe de Trévignon direction l’île aux moutons pour un premier bivouac. 2h30 et 4 maquereaux plus tard, nous abordons sur l’île aux moutons comme c’est écrit en grand sur le sémaphore , mais en réalité c’est l’île aux oiseaux. En effet il y a ur cette île la plus grande colonie de sternes de France 1500 couples. Ça fait beaucoup de bruit et de mouvements.

Repas agrémenté de filets de maquereau ultra frais, balade digestive où nous rencontrons un jeune homme en service civique venu faire du comptage de sternes. Il nous apprend entre autres que les huitriers pies que nous voyons l’hiver sur le rocher de Cancale sont peut être des touristes anglais ou danois venus en villégiature sur ce qui est pour eux la côte d’azur.

Courte nuit rythmée par les sternes et les huitriers pies.
Nous sommes donc levés tôt pour rejoindre l’archipel par l’Ouest, Drennec, le loch, l’ilot cigogne où nous mangeons à l’ombre des murs. Petite sieste avant de rejoindre Penfret où nous procédons à quelques exercices de sécu, convoyons un moniteur de l’école de voile et faisons pour certains une seconde sieste. Nous rejoignons ensuite notre spot de bivouac sur Bananec avec 4 bft dans le nez. Prémontage du camp avant de rejoindre St Nicolas où nous avons réservé chez Castric. Grosse ambiance à la boucane où nous buvons une mousse : il y a une télé pour le match. C’est plus calme chez Castric mais on y mange mieux …
Nous apprenons par les hurlements la sélection de l’équipe de France : grand moment de communion et d’unité nationale ! Ce avant une nuit relativement bonne.

Premier coup de pagaie 10h pour retour direct Trévignon. Le vent a tourné à l’est mais reste soutenu 4bft. Le passage entre Guiriden et Penfret est assez agité et nous nous demandons assez longtemps si nous avançons vraiment tant Penfret refuse de reculer. Ça finit malgré tout par mollir et nous bouclons notre traversée en 3h pour trouver un Trévignon déserté sans doute à cause du tour de France.

Belle virée avec grand beau soleil et vent très varié

Patrick

Bonjour à tous, ci-dessous le compte rendu du stage dans les Alpes qui s’est déroulé du 7 au 17 Juillet.

Etaient présents: Marco, Elsa, JP, Bernadette, Grand Théo, Théo junior, Mathys, Jérôme, Alan (CNBCK futur TEV), Thierry, Virginie (REN futur TEV), Vincent guilloux, Antoine D, Victor (Acigné), Conrad (Poissons Volants), Maeg (Acigné), Johan (Acigné), Arthur (Acigné)

Programme de navigation:
Samedi 7 Juillet: Départ à 7h15, en route vers les Alpes où nous arriverons à 19h30…
Dimanche 8 Juillet: Clarée
Lundi 9 Juillet: Gyronde, Onde, Gyr
Mardi 10 Juillet: Haute guisane, Basse guisane (DEMI FINALE DE LA COUPE DU MONDE)
Mercredi 11 Juillet: Guil (Combe de Villevieille, Combe de Chateau Queyras, Triple chute - Eboulis, Rapide du tunnel - Maison du Roy)
Jeudi 12 Juillet: Repérage de Malafosse sans navigation, Basse Guisane, partie basse du Guil (canyon de guillestre à Mont Dauphin)
Vendredi 13 Juillet: Guil, embarquement au-dessus de la combe de ville vieille jusqu’à Maison du Roy. Ce fut une bonne journée.
Samedi 14 Juillet: Baignade dans l’étang de la Roche de Rame, Onde, Gyronde jusqu’au SEV de l’argentière
Dimanche 15 Juillet: Guil de la Triple Chute à Maison du Roy, passage de la triple chute du torrent des Oules (en haut de la vallée de la Byaisse), (FINALE DE LA COUPE DU MONDE)
Lundi 16 Juillet: Ubaye, départ de “Les Thuiles” arrivée au Lauzet
Mardi 17 Juillet: Retour dans notre chère Bretagne, arrivée à 22h01.

Classement des Baigneurs:
Virgnie: 4.5 Bains
Mathys: 4 bains
Théo Junior: 3 bains
Elsa: 2.5 bains
Victor, Arthur : 2 Bains
Jérôme, thierry, Antoine D, Vincent, Yohan : 1 Bains
Marco, JP, Bernadette, Maeg, Grand Théo, Alan, Conrad : 0 Bains ==> Félicitations


O Ce fut un très beau stage avec un bon groupe, de bons niveaux d’eaux et une coupe du monde remportée. Merci à Tous. On pourra noter qu’alan et Virginie devraient rejoindre TEV au Mercato estival.

O BBR aura roulé 2881 km durant ce stage dont 881 km de navettes soit environ 40% du trajet aller retour.
Solde de 434€ pour BBR.

Budget par personne:
Camping: 73€ soit 7.3€ /nuit/Personne
Nourriture: 110€ soit 11€/jour/Personne
Péage: 20€/Personne
Transport: 176€/Adulte, 88€ pour Jeunes et Chomeurs

Soit 379€ / Adulte
Soit 291€ / Jeunes/chômeurs

On en parle dans ce sujet.
Jérôme

Compte rendu de la Randonnée Molène, par Bertrand :

On en parle dans ce sujet.

Alain

Compte rendu randonnée Tour de Bretagne, Cap Sizun pointe du Raz, Presqu’ile de Crozon, du 7 au 14 Août 2018
4 Participants : Cristelle, Jean, Jean-Pierre, Bernadette (R1)
2 véhicules : Espace Ducouret avec remorque perso et voiture Cristelle qui nous rejoint sur place.
Mardi 7 Août : RV à 9h au club pour le chargement, route facile, arrivée 12h15 au camping de Primelin près d’Audierne. Navigation l’après midi à partir de l’Anse du Loch jusqu’à la plage de Saint Tugen aux eaux turquoises, vent force 3 +, petit clapot. Puis préparation de la navigation pour le passage de la pointe du Raz le lendemain, la météo Windguru « pointe du Raz » donne 10 nœuds de vent d’ouest et houle de NW de 1 mètre, marée basse à 9h, coefficient 57. C’est un bon créneau. Lecture des cartes des courants. Départ prévu à 8h de l’anse du Loch à 4,5 milles de la pointe du Raz, arrivée prévue à Pors Theolen côte nord du Cap Sizun, premier arrêt possible après la pointe du Van. Reconnaissance en voiture de Pors Theolen, très jolie crique, plage à marée basse exposée NW, un gros rocher au milieu à marée haute, çà passe des deux côtés. Cale et café. Ce soir mouton au curry.
Mercredi 8 Août : lever 7h pour être sur l’eau à 8h.Tout le monde est prêt à l’heure. Le vent et la houle sont conformes à la météo. Petit courant portant vers l’ouest, plus fort en s’éloignant de la côte, parfois zones plus agitées : houle contre courant et hauts fonds sont évités en se rapprochant de la côte. Rencontrons deux petits bateaux de pêche dans la dernière anse avant le Raz. Le courant portant au nord se renforce et les passes entre la pointe du Raz et la Vieille sont très agitées, fort courant avec beaucoup de blanc partout, comme sur les cartes postales ! pas engageant du tout, plutôt stressant ! En se rapprochant de la pointe nous découvrons une passe à terre possible juste entre la pointe et un gros ilot, il y a assez d’eau, de largeur et pas trop de remous. Jean se lance en premier, et nous suivons tous sans problème pour arriver dans la Baie des Trépassés où le calme revient. Super, il est 9h40. Longeons la côte puis la plage, arrêt détente sur une petite plage près de la cale du Vorlen. Premier bain pour Bernadette dans un petit surf mal contrôlé. Réembarquons pour passer la pointe du Van, pas trop de courant et pas de déferlantes avec cette petite houle, profitons d’un paysage remarquable, roches très découpées, très hautes, magnifiques. Arrivée à Pors Theolen assez agitée, car des petits rouleaux se forment à ce niveau de marée, et il faut éviter les rochers. Finalement pas d’aventures à cet accostage, il est midi. Nous arrosons au café le passage réussi de la pointe du Raz, puis pique-niquons sur place. La crique est vraiment sympa sous le soleil. Bain des filles, puis retour au camping, et grande balade à pied vers l’église de Saint Tugen et retour par la côte.
Jeudi 9 Août : Météo Windguru : vent NW 15 nœuds puis W 15 noeuds à 14h, houle 1,20m. La côte nord du Cap Sizun sera exposée à la houle et au vent, et il y a très peu d’abris. Allons voir à Pors Theolen, l’embarquement est musclé. Finalement nous partons de Pors Lanvers, le seul embarquement abrité de la côte nord, et naviguons vers Douarnenez, avec vagues et vent de ¾ arrière, pas très confortable mais maniable. Après 7 milles de navigation, nous arrivons vers 14h dans le port de Tréboul en face de Douarnenez, où nous nous attablons dans une brasserie accueillante. Cristelle avait une grande envie de sardines, mais ce sera moules frites. Pose très confortable qui nous permet de discuter du retour, soit retour en kayak contre le vent et les vagues, soit retour en auto stop pour aller rechercher les voitures. Finalement les deux filles partent chercher un autobus dans Douarnenez, il est déjà parti, puis marchent jusqu’à la sortie de la ville pour trouver la D7 qui va vers la pointe du Van. La première voiture sollicitée nous prend, faut dire qu’on a des bonnes têtes toutes les deux !!! Navette puis retour au camping. Ce soir c’est la fête au village, sur le port de Primelin. Nous allons y faire un tour à pied, et nous perdons au retour, dans le noir entre le GR34 et le PR, sûrement une bonne heure de marche, de retour au camping à minuit nous admirons le beau feu d’artifice.
Vendredi 10 Août : Météo : vent d’W 15 nœuds, temps couvert, houle de NW 1,40m. Pour la côte nord, c’est faisable mais plus fort qu’hier, on ne pourra pas s’approcher des côtes. La navigation côte sud est privilégiée, car demain les vents prévus sont de Sud et la côte nord sera protégée. Partons de Sainte Evette près d’Audierne et naviguons vers l’ouest jusqu’à la plage de Saint Tugen où nous renonçons à débarquer dans les grosses vagues à surf. Retour à Sainte Evette pour le pique nique. Après midi navigation à l’abri sur le Goyen à marée montante jusqu’à Pont-Croix, visite de l’église et de quelques expos. Ce soir Cristelle nous quitte pour 24h.
Samedi 11 Août : Météo vent de Sud 15 nœuds avec rafales, houle W 1,40m, bonnes conditions pour terminer le tour du Cap Sizun, de Pors Theolen à Pors Lanvers environ 12 milles. Pliage rapide du camp, embarquement vers 11h, nous pouvons longer la côte de près à l’abri du vent. La côte est splendide, très haute, roches très découpées, magnifiques. Seuls les petits bateaux peuvent en profiter. Après 2 heures de navigation, nous nous dirigeons vers la plage de Lesven réputée pour ses débarquements hasardeux à mi-marée, car il y a des rochers. Aujourd’hui tout semble calme, la marée est assez basse et le débarquement facile. Pique nique agréable à l’abri du vent. La dernière partie avant Pors Lanvers est haute et très découpée et le rase-cailloux est un plaisir. Arrivée à Pors Lanvers vers 15h. JP et B partent à pied et en stop récupérer la voiture. Jean garde le matériel. Stop difficile sur la petite route avant Beuzec Cap Sizun, puis très facile au rond point de Beuzec sur la D7.
Le tour du cap Sizun est terminé, il faudra y retourner c’est splendide, sauvage et peu touristique. Ce soir changement de camp, nous partons sur la presqu’ile de Crozon, camping des pins réservé à Crozon, sur la route de la pointe de Dinan. Arrivée vers 18h30. Très bel et grand emplacement bien abrité du vent. Le mauvais temps est annoncé pour 5h du matin, pluie et vents forts jusqu’à midi.
Dimanche 12 Août : Météo : Pluies et vent de S/SW 15 nœuds, houle d’W 1,40m. Repos le matin en attendant que la pluie s’arrête, Cristelle nous rejoint à midi. Navigation prévue à l’abri du vent et de la mer : du port du Fret à l’est de l’Ile Longue à la presqu’ile de Quelern. Partons vent dans le dos jusqu’à la pointe nord de l’Ile Longue, surveillés par un zodiac de l’armée. Puis pointons vers l’ouest pour rejoindre la presqu’ile de Quelern par fort vent de travers, avec juste un petit clapot. Remontons jusqu’à la pointe des Espagnols, puis retour vers le sud en longeant la presqu’ile pour s’abriter au maximum du vent. Décidons d’aller vers le fond de la baie plutôt que de rentrer au Fret, pour éviter la longue traversée puis la remontée contre le vent. Nous ferons la navette en stop. A partir de la cale de Quelern où nous débarquons, nous pointons au sud de l’Ile des Morts (zone militaire entretenue par quelques chèvres), un débarquement possible est en vue au sud de l’ile Longue à Rostellec. Débarquement sans problème dans un cimetière de vieux bateaux. JP se fait prendre en stop très rapidement.
Lundi 13 Août : Météo : vent W 12 nœuds, houle d’W 1,90m, marée basse à 13h30 fort coefficient 109. Une longue navigation est prévue, car c’est notre dernière journée complète de navigation. Ce sera le tour du cap de la Chèvre. Embarquement à Kerloc’h au nord de l’anse de Dinan, les vagues qui se déroulent à l’embarquement ne sont pas impressionnantes. Long portage et embarquement vers 11h. Forte houle en traversant l’anse de Dinan, mais le vent est faible et la houle lisse. Pas de problème, mais nous ne pourrons pas nous approcher trop près de la côte ouest du cap, çà pète fort sur la plage de La Palud. En arrivant vers la pointe du cap, on voit des déferlantes assez loin en mer et nous ferons donc un grand détour (environ un mille de plus en mer) pour tout éviter. Nous commençons à avoir faim car il est 14h. Après la zone difficile, nous nous rapprochons de la côte Est du cap pour chercher un arrêt, superbe côte avec des superpositions de couches de roches, très tourmentées. Arrêt bien mérité vers 15h sur une plage de galet après avoir parcouru 8,5 milles. Pique-nique et petite sieste, la partie restante jusqu’à Morgat est assez courte (3,5 milles) et facile, abritée du vent et de la houle, nous en profitons. Arrivée à Morgat vers 17h. Manip et chargement dans le grand bazar touristique ! Barbe à papa glaces etc……Ce soir resto à Camaret pour terminer cette belle rando.
Mardi 14 Août : Nous décidons de faire une courte navigation le matin avant de rentrer au bercail. Ce sera le tour de la pointe de Pen Hir, de Camaret à l’anse de Dinan. Météo NW 10 nœuds, houle W 1m, temps couvert. En fait il crachine bien, nous plions le camp sous le crachin, et en arrivant à Camaret, la visibilité est très mauvaise, les troupes sont peu motivées… mais la navigation prévue permet de terminer le tour de la presqu’Ile de Crozon, et on est sur place et le temps peut changer ! Aller c’est parti pour la dernière étape. Le temps se dégage un peu pour passer la pointe du Grand Gouin. JP se fait avoir en passant sous une arche ou un rocher découvre dans le bas de la vague. Damned le voilà à l’eau ! L’équipe de secours fait le tour de l’ilôt, Jean va récupérer le nageur, et les deux filles s’occupent du bateau. L’exercice de récupération est réussi. Repartons vers la pointe du Toulinguet, puis vers la pointe de Pen Hir en longeant la plage de Pen Hat. Le haut de la pointe est dans le nuage, on ne voit qu’une dizaine de mètres au pied de la falaise. Pas de grimpeurs ce matin ! Passons entre la pointe et le premier des Tas de Pois. Grand calme après la pointe dans l’anse de Pen Hir où nous décidons de faire un arrêt pique nique. Très belle plage, le temps s’éclaire, petite pause café au bistrot de la plage. Repartons en longeant la côte vers notre point d’arrivée : Kerloc’h au nord de l’anse de Dinan. Un jeune phoque nous attend sur un rocher, il n’est pas décidé à bouger, il attend la photo. Arrivée sans problème à grande marée basse, nous chariotons nos kayaks car le portage est très long. Vive le chariot ! Manip et chargement. Nous quittons Cristelle vers 16h, elle rentre de son côté à Larmor.
Retour à TF par la route centrale Châteaulin, Carhaix, Loudéac. En 3h10 nous sommes au club. Grand rinçage des kayaks. Et séparation des troupes.
Commentaires : Zones exposées à la houle et au vent, très peu d’arrêt possibles si houle. Peu d’oiseaux sauf cormorans très abondants et goélands. Campings très sympas et peu cher 5€ à 7,5€/p/j. Coût du séjour pour une personne transportée : 92€ de bouffe dont un resto, camping 7 nuits 45€, transport 864km (dont 240km de navettes) 55€.
Lien photos : https://drive.google.com/open?id=1Yw9J3mFAdM9flhr9_wVSO4TYC1YIhlp9

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